L'importance du diagnostic précoce a été soulignée lors des journées d'information et de sensibilisation sur le cancer du sein, ouvertes samedi après-midi à Oran. Organisées à l'initiative de la section de l'Union générale des étudiants libres (UGEL) de la résidence universitaire des filles Saïd-Belbouri d'Oran, ces journées, qui se tiennent du 23 au 26 janvier, ont pour objectif de sensibiliser le maximum d'universitaires. L'importance du diagnostic précoce a été soulignée lors des journées d'information et de sensibilisation sur le cancer du sein, ouvertes samedi après-midi à Oran. Organisées à l'initiative de la section de l'Union générale des étudiants libres (UGEL) de la résidence universitaire des filles Saïd-Belbouri d'Oran, ces journées, qui se tiennent du 23 au 26 janvier, ont pour objectif de sensibiliser le maximum d'universitaires. "Cette tranche de la société peut jouer un important rôle de médiateur dans leur environnement familial et social, afin de réduire le taux d'incidence", a souligné le Dr Abdelmalek Bouzid, cardio-chirurgien au nouvel établissement hospitalo-universitaire 1er-Novembre 1954, sis à USTO (Bir El-Djir), dans une allocution d'ouverture. Il a également souligné que le cancer du sein chez la femme évolue "deux fois plus vite que les autres cancers". S'exprimant devant une assistance formée pour l'essentiel d'étudiantes, de patients, de spécialistes en oncologie, de biologistes, d'épidémiologistes et de chirurgiens, le Dr Bouzid a indiqué que "le taux d'apparition du cancer du sein est multiplié par deux depuis dix ans", en observant que 50% des femmes touchées par cette pathologie sont âgées entre 40 et 70 ans et 25% ont moins de 40 ans. "Cette pathologie peut être guérie, si elle est prise en charge précocement", a-t-il assuré en exhortant les femmes âgées de plus de 40 ans à faire une mammographie, une fois par an. Dr Bouzid a évoqué au passage l'existence d'un programme national conjoint entre les ministères du Travail et de la Sécurite sociale et de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière pour la prise en charge du cancer du sein. Face à l'augmentation de l'incidence, il est suggéré une alimentation équilibrée et un suivi rigoureux pour permettre un dépistage précoce de cette affection. Les causes, les moyens thérapeutiques existants, le diagnostic, la prise en charge des malades ainsi que d'autres thèmes seront débattus durant ces journées, a souligné Fatima Belouadi, présidente du comité de l'UGEL de la résidence universitaire des filles Saïd-Belbouri. "Cette tranche de la société peut jouer un important rôle de médiateur dans leur environnement familial et social, afin de réduire le taux d'incidence", a souligné le Dr Abdelmalek Bouzid, cardio-chirurgien au nouvel établissement hospitalo-universitaire 1er-Novembre 1954, sis à USTO (Bir El-Djir), dans une allocution d'ouverture. Il a également souligné que le cancer du sein chez la femme évolue "deux fois plus vite que les autres cancers". S'exprimant devant une assistance formée pour l'essentiel d'étudiantes, de patients, de spécialistes en oncologie, de biologistes, d'épidémiologistes et de chirurgiens, le Dr Bouzid a indiqué que "le taux d'apparition du cancer du sein est multiplié par deux depuis dix ans", en observant que 50% des femmes touchées par cette pathologie sont âgées entre 40 et 70 ans et 25% ont moins de 40 ans. "Cette pathologie peut être guérie, si elle est prise en charge précocement", a-t-il assuré en exhortant les femmes âgées de plus de 40 ans à faire une mammographie, une fois par an. Dr Bouzid a évoqué au passage l'existence d'un programme national conjoint entre les ministères du Travail et de la Sécurite sociale et de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière pour la prise en charge du cancer du sein. Face à l'augmentation de l'incidence, il est suggéré une alimentation équilibrée et un suivi rigoureux pour permettre un dépistage précoce de cette affection. Les causes, les moyens thérapeutiques existants, le diagnostic, la prise en charge des malades ainsi que d'autres thèmes seront débattus durant ces journées, a souligné Fatima Belouadi, présidente du comité de l'UGEL de la résidence universitaire des filles Saïd-Belbouri.