Les exportations hors hydrocarbures constituent toujours le parent pauvre du commerce extérieur de l'Algérie dont les recettes en devises dépendent, à plus de 98%, de la vente de produits pétroliers. Ainsi, le volume des exportations hors hydrocarbures a chuté en 2009 de «40%, soit 1,4 milliard de dollars seulement», selon Mohamed Bennini, DG de l'Agence nationale de promotion du commerce extérieur, invité, hier, de la radio Chaîne III. Les exportations hors hydrocarbures constituent toujours le parent pauvre du commerce extérieur de l'Algérie dont les recettes en devises dépendent, à plus de 98%, de la vente de produits pétroliers. Ainsi, le volume des exportations hors hydrocarbures a chuté en 2009 de «40%, soit 1,4 milliard de dollars seulement», selon Mohamed Bennini, DG de l'Agence nationale de promotion du commerce extérieur, invité, hier, de la radio Chaîne III. Il a estimé que les raisons de cette baisse sont multiples comme les conséquences de la crise économiques mondiales et la «chute de l'euro». Mais il n'y a pas que cela, car la qualité des produits algériens, hormis ceux de l'agriculture, sont loin de pouvoir concurrencer ceux de l'Union européenne notamment. «En dehors de l'agroalimentaire, l'Algérie a peu de produits manufacturés à mettre en concurrence sur les marchés extérieurs», a-t-il expliqué.Pour lui, il faut une nouvelle «organisation du commerce extérieur si on veut atteindre l'objectif des 3 milliards de dollars d'exportation hors hydrocarbures». Pour y arriver, il annonce la création d'une «structure d'exportation aussi bien au niveau des entreprises qu'au niveau des institutions». Sa mission sera axée essentiellement sur l'accompagnement des entreprises exportatrices. Celles-ci trouveront ainsi plus de moyens notamment financiers à travers le Fonds national de soutien à l'exportation, créé en 2007, appelé, «désormais à soutenir toutes les activités». L'accompagnement sera centré autour du «transport et des études du marché dont 44 entreprises bénéficieront», a-t-il précisé. Mais pour Mohamed Bennini, les entreprises algériennes n'ont pas «acquis la culture de l'exportation» et doivent ainsi faire plus d'efforts en «modernisant leur management, car il faut une meilleure organisation et une meilleure professionnalisation des activités liées à l'exportation». Le travail de prospection n'est pas en reste pour arriver à hisser le volume des exportations hors hydrocarbures. Dans ce registre, Algex a décidé de regarder ailleurs que vers les marchés de l'Union européenne. «A l'avenir nous explorerons mieux les marchés africains et arabes», a déclaré le DG d'Algex. L. B. Il a estimé que les raisons de cette baisse sont multiples comme les conséquences de la crise économiques mondiales et la «chute de l'euro». Mais il n'y a pas que cela, car la qualité des produits algériens, hormis ceux de l'agriculture, sont loin de pouvoir concurrencer ceux de l'Union européenne notamment. «En dehors de l'agroalimentaire, l'Algérie a peu de produits manufacturés à mettre en concurrence sur les marchés extérieurs», a-t-il expliqué.Pour lui, il faut une nouvelle «organisation du commerce extérieur si on veut atteindre l'objectif des 3 milliards de dollars d'exportation hors hydrocarbures». Pour y arriver, il annonce la création d'une «structure d'exportation aussi bien au niveau des entreprises qu'au niveau des institutions». Sa mission sera axée essentiellement sur l'accompagnement des entreprises exportatrices. Celles-ci trouveront ainsi plus de moyens notamment financiers à travers le Fonds national de soutien à l'exportation, créé en 2007, appelé, «désormais à soutenir toutes les activités». L'accompagnement sera centré autour du «transport et des études du marché dont 44 entreprises bénéficieront», a-t-il précisé. Mais pour Mohamed Bennini, les entreprises algériennes n'ont pas «acquis la culture de l'exportation» et doivent ainsi faire plus d'efforts en «modernisant leur management, car il faut une meilleure organisation et une meilleure professionnalisation des activités liées à l'exportation». Le travail de prospection n'est pas en reste pour arriver à hisser le volume des exportations hors hydrocarbures. Dans ce registre, Algex a décidé de regarder ailleurs que vers les marchés de l'Union européenne. «A l'avenir nous explorerons mieux les marchés africains et arabes», a déclaré le DG d'Algex. L. B.