Au cours d'une conférence régionale tenue, jeudi dernier dans la wilaya de Annaba, au sein de l'Institut spécialisé de formation professionnelle (INSFP) de Bouhdid, des spécialistes ont longuement débattu la question de la formation professionnelle en Algérie, les exigences actuelles des employeurs de même que la nécessité de l'adaptation de la formation aux besoins réels de l'économie nationale. L'accompagnement des grands chantiers, lancés dans le cadre des programmes de développements, passe par «un terrain d'entente» entre la formation et les employeurs du secteur économique, ont-ils souligné. Mettant en exergue, dans ce cadre, la nécessité d'une main d'œuvre qualifiée, les participants à cette rencontre consacrée au secteur de la formation professionnelle, ont souligné que la détermination des «besoins réels» en matière de main d'oeuvre compétente «dépend du rendement des différentes instances de consultation et de coopération, en collaboration avec le secteur de la formation professionnelle». L'implication de différents autres acteurs, dont le secteur économique, est également «indispensable» afin de permettre une prise en charge réelle et efficace des besoins du marché de travail, a expliqué dans son intervention Akila Chergou, présidente de la rencontre. Outre la modernisation de la gestion des ressources humaines et la généralisation de l'utilisation des Technologies de l'information et de la communication (TIC) à travers les établissements de la formation professionnelle, les participants à cette conférence ont eu également à discuter des mécanismes à même de promouvoir les filières de la formation professionnelle durant les prochaines sessions. L'adaptation de la formation classique avec les transformations économiques et sociales, ainsi que la nécessité de mettre en oeuvre un «procédé de formation spécial» destiné aux catégories sociales particulières comme les personnes incarcérées et la femme au foyer, figurent parmi les thèmes ayant dominé les travaux de cette rencontre. Le thème de l'encouragement et l'exploitation des métiers agricoles et artisanaux, a, lui aussi, figuré parmi les préoccupations des intervenants. C. K. Au cours d'une conférence régionale tenue, jeudi dernier dans la wilaya de Annaba, au sein de l'Institut spécialisé de formation professionnelle (INSFP) de Bouhdid, des spécialistes ont longuement débattu la question de la formation professionnelle en Algérie, les exigences actuelles des employeurs de même que la nécessité de l'adaptation de la formation aux besoins réels de l'économie nationale. L'accompagnement des grands chantiers, lancés dans le cadre des programmes de développements, passe par «un terrain d'entente» entre la formation et les employeurs du secteur économique, ont-ils souligné. Mettant en exergue, dans ce cadre, la nécessité d'une main d'œuvre qualifiée, les participants à cette rencontre consacrée au secteur de la formation professionnelle, ont souligné que la détermination des «besoins réels» en matière de main d'oeuvre compétente «dépend du rendement des différentes instances de consultation et de coopération, en collaboration avec le secteur de la formation professionnelle». L'implication de différents autres acteurs, dont le secteur économique, est également «indispensable» afin de permettre une prise en charge réelle et efficace des besoins du marché de travail, a expliqué dans son intervention Akila Chergou, présidente de la rencontre. Outre la modernisation de la gestion des ressources humaines et la généralisation de l'utilisation des Technologies de l'information et de la communication (TIC) à travers les établissements de la formation professionnelle, les participants à cette conférence ont eu également à discuter des mécanismes à même de promouvoir les filières de la formation professionnelle durant les prochaines sessions. L'adaptation de la formation classique avec les transformations économiques et sociales, ainsi que la nécessité de mettre en oeuvre un «procédé de formation spécial» destiné aux catégories sociales particulières comme les personnes incarcérées et la femme au foyer, figurent parmi les thèmes ayant dominé les travaux de cette rencontre. Le thème de l'encouragement et l'exploitation des métiers agricoles et artisanaux, a, lui aussi, figuré parmi les préoccupations des intervenants. C. K.