La commune de Belouizdad a, selon son président Mohamed Agoun, tracé un programme particulièrement ambitieux pour l'année 2010. Il faut dire que 2009 a été également un excellent cru en matière de contrétisation de divers importants projets. Le souci majeur dans cette commune, reste sans conteste, le logement. L'offre est en effet loin de répondre aux milliers de demandes. La commune de Belouizdad a, selon son président Mohamed Agoun, tracé un programme particulièrement ambitieux pour l'année 2010. Il faut dire que 2009 a été également un excellent cru en matière de contrétisation de divers importants projets. Le souci majeur dans cette commune, reste sans conteste, le logement. L'offre est en effet loin de répondre aux milliers de demandes. L'année 2010 a débuté sur une bonne note au sein de la commune de Belouizdad. En effet il y est enregistré une augmantation notable du budget. Ce dernier est passé à 59 milliards de centimes alors qu'il n'était que de 37 milliards en 2007 et 2008 avant d'atteindre 44 milliards de centimes en 2009. Les "Covilles" ont commencé leur activité dans la commune de Belouizdad, tout de suite après la déclaration du budget annuel de l'APC pour cette année. Les "Covilles" sont des réunions se tenant entre les membres de l'assemblée populaire communale et les représentants des différents secteurs. L'objectif de ces réunions étant de négocier les grandes lignes des projets à réaliser au cours de l'année, valoriser et faire le point sur ce qui a été réalisé durant l'année écoulée, ou encore ce qui n'a pu être réalisé... en tirer les conclusions et tenter de rectifier le tir. Les "Covilles" servent également à transmettre aux élus les besoins et attentes des citoyens et rapprocher ainsi l'administration du citoyen. La commune de Belouizdad a commencé ces réunions depuis, nous dira le P/APC, la fin du mois dernier soit le 23 janvier, avec le secteur cultuel. Il nous expliquera que lors de ces réunions les représentants du secteur ont tracé leur programme et ont à l'occasion transmis leur ambitions pour cette nouvelle année. Le 30 de ce même mois (janvier) a été consacré au secteur du sport, le 6 février pour la culture et le 20 février prochain sera consacré à l'urbanisme et à l'environnement. Le logement, épine dans le pied des élus le secteur du logement reste le souci majeur des membres de la commune. «la commune, hélas n'arrive pas à répondre à l'importante demande des citoyens. Cette demande dépasse les 4 mille par an alors que le quota de la commune ne peut malheureusement couvrir que 15% de cette demande. Notre quota a été de 470 logements seulement dans le cadre du logement participatif», nous explique M. Agoun. Le problème majeur de la commune ajoute notre interlocuteur reste "le manque flagrant d'assiettes de terrain, ce qui empêche tout projet de construction de logements". En ce qui concerne les projets de logements participatifs, M. Agoun a tenu à nous expliquer que les projets de constructions des cités 150-Lgts et 720-Lgts localisées à Aïn Benian et appartenant à la commune de Belouizdad, n'ont débuté qu'à fin janvier alors qu'ils étaient prévus pour 2005. Ce retard a suscité l'ire des bénéficiaires, qui attendent depuis plus de quatre ans. Le maire de Belouizdad a, à cet effet, lancé un appel aux autorités concernées pour revoir les procédures appliquées jusque-là. En ce qui concerne les logements sociaux, M. Agoun nous affirme que la commune de Belouizdad, du moins depuis qu'il est à ses commandes, «n'a bénéficié d'aucun quota de logements sociaux. Elle a bénéficié d'un quota de 60 logements social durant le mandat de mon prédecesseur alors que la demande était déjà de 6 mille logements». Habitat précaire, 20 immeubles recensés Concernant l'éradication des habitations précaires dans la commune de Belouizdad, le P/APC nous dira que 20 immeubles ont été classés "Rouge" au sein de la commune. "La procédure administrative a été effectuée auprès de la wilaya d'Alger et nous attendons simplement les décisions de relogement des familles avant de procéder à la démolition de ces immeubles. Ce qui nous permettra en outre de récupérer des terrains", nous dira M. Agoun. Ce dernier, en outre, dans le même sens, affirme que plus de 80% des habitations précaires dans la localité appartiennent à des privés. Ce qui explique les difficultés rencontrées pour les procédures de démolition, mais également leur vétusté en l'absence de tout entretien. Il est à noter que plus de 160 familles ont déjà été relogées dans des chalets en attendant leur relogement définitif. M. Agoun a tenu à nous affirmer que ses services sont à l'écoute de tout citoyen demandeur de logement ou résidant dans des immeubles classés précaires. Il ne manquera pas d'aborder le dossier sensible des 83 familles expulsées de leurs logements par les propriétaires. Il nous indiquera que ce dossier est à l'étude et que ses services attendent une décision de justice, seule à pouvoir trancher. Cette situation, inédite dans la commune, est hélas le résultat de l'anarchie enregistrée dans le secteur privé et l'absence de directives et mesures strictes concernant les droits et devoirs aussi bien des locataires que des propriétaires. Le P/APC explique également qu'un programme a été initié pour lutter contre les quelques habitations illicites et bidonvilles. La commune a tracé un programme strict pour stopper ce phénomène, sans toutefoir recourir à la démolition des maisons déjà érigées, mais en empêchant tout projet similaire, pour cela un contrôle permanant est nécessaire, nous explique-t-on. C. K. L'année 2010 a débuté sur une bonne note au sein de la commune de Belouizdad. En effet il y est enregistré une augmantation notable du budget. Ce dernier est passé à 59 milliards de centimes alors qu'il n'était que de 37 milliards en 2007 et 2008 avant d'atteindre 44 milliards de centimes en 2009. Les "Covilles" ont commencé leur activité dans la commune de Belouizdad, tout de suite après la déclaration du budget annuel de l'APC pour cette année. Les "Covilles" sont des réunions se tenant entre les membres de l'assemblée populaire communale et les représentants des différents secteurs. L'objectif de ces réunions étant de négocier les grandes lignes des projets à réaliser au cours de l'année, valoriser et faire le point sur ce qui a été réalisé durant l'année écoulée, ou encore ce qui n'a pu être réalisé... en tirer les conclusions et tenter de rectifier le tir. Les "Covilles" servent également à transmettre aux élus les besoins et attentes des citoyens et rapprocher ainsi l'administration du citoyen. La commune de Belouizdad a commencé ces réunions depuis, nous dira le P/APC, la fin du mois dernier soit le 23 janvier, avec le secteur cultuel. Il nous expliquera que lors de ces réunions les représentants du secteur ont tracé leur programme et ont à l'occasion transmis leur ambitions pour cette nouvelle année. Le 30 de ce même mois (janvier) a été consacré au secteur du sport, le 6 février pour la culture et le 20 février prochain sera consacré à l'urbanisme et à l'environnement. Le logement, épine dans le pied des élus le secteur du logement reste le souci majeur des membres de la commune. «la commune, hélas n'arrive pas à répondre à l'importante demande des citoyens. Cette demande dépasse les 4 mille par an alors que le quota de la commune ne peut malheureusement couvrir que 15% de cette demande. Notre quota a été de 470 logements seulement dans le cadre du logement participatif», nous explique M. Agoun. Le problème majeur de la commune ajoute notre interlocuteur reste "le manque flagrant d'assiettes de terrain, ce qui empêche tout projet de construction de logements". En ce qui concerne les projets de logements participatifs, M. Agoun a tenu à nous expliquer que les projets de constructions des cités 150-Lgts et 720-Lgts localisées à Aïn Benian et appartenant à la commune de Belouizdad, n'ont débuté qu'à fin janvier alors qu'ils étaient prévus pour 2005. Ce retard a suscité l'ire des bénéficiaires, qui attendent depuis plus de quatre ans. Le maire de Belouizdad a, à cet effet, lancé un appel aux autorités concernées pour revoir les procédures appliquées jusque-là. En ce qui concerne les logements sociaux, M. Agoun nous affirme que la commune de Belouizdad, du moins depuis qu'il est à ses commandes, «n'a bénéficié d'aucun quota de logements sociaux. Elle a bénéficié d'un quota de 60 logements social durant le mandat de mon prédecesseur alors que la demande était déjà de 6 mille logements». Habitat précaire, 20 immeubles recensés Concernant l'éradication des habitations précaires dans la commune de Belouizdad, le P/APC nous dira que 20 immeubles ont été classés "Rouge" au sein de la commune. "La procédure administrative a été effectuée auprès de la wilaya d'Alger et nous attendons simplement les décisions de relogement des familles avant de procéder à la démolition de ces immeubles. Ce qui nous permettra en outre de récupérer des terrains", nous dira M. Agoun. Ce dernier, en outre, dans le même sens, affirme que plus de 80% des habitations précaires dans la localité appartiennent à des privés. Ce qui explique les difficultés rencontrées pour les procédures de démolition, mais également leur vétusté en l'absence de tout entretien. Il est à noter que plus de 160 familles ont déjà été relogées dans des chalets en attendant leur relogement définitif. M. Agoun a tenu à nous affirmer que ses services sont à l'écoute de tout citoyen demandeur de logement ou résidant dans des immeubles classés précaires. Il ne manquera pas d'aborder le dossier sensible des 83 familles expulsées de leurs logements par les propriétaires. Il nous indiquera que ce dossier est à l'étude et que ses services attendent une décision de justice, seule à pouvoir trancher. Cette situation, inédite dans la commune, est hélas le résultat de l'anarchie enregistrée dans le secteur privé et l'absence de directives et mesures strictes concernant les droits et devoirs aussi bien des locataires que des propriétaires. Le P/APC explique également qu'un programme a été initié pour lutter contre les quelques habitations illicites et bidonvilles. La commune a tracé un programme strict pour stopper ce phénomène, sans toutefoir recourir à la démolition des maisons déjà érigées, mais en empêchant tout projet similaire, pour cela un contrôle permanant est nécessaire, nous explique-t-on. C. K.