En effectuant une virée en Kabylie ces derniers jours, on s'apercevra du dur quotidien des villageois. Plus on monte vers les sommets, plus le mercure baisse, et plus on découvre et on admire ce beau manteau blanc revêtant les crêtes du Djurdjura, à l'instar de Aïn El Hammam, Larbâa Nath Irathen, Bouzguene, les Ouacifs et d'autres localités connues par leur altitude. «il n'a pas cessé de neiger durant toute la nuit de jeudi à vendredi», nous dira un vieux abordé aux Ouacifs, emmitouflé dans son Burnous. Que du bonheur pour les enfants lesquels, eux, en profitent pour faire des bonhommes de neige, cela d'autant que les chutes de neige ont coïncidé avec le week-end. Les adultes, quant à eux, grelottant de froid, affichent leur inquiétude en calculant le prix du bois, du gasoil, des bonbonnes de gaz butane. Tous ces prix sont montés en flèche profitant de la perturbation du trafic routier et de la difficulté d'accès vers les villages enclavés. Les résidants de ces villages appréhendent un total isolement, la perturbation des réseaux d'eau et d'électricité, mais également les glissement de terrains dus aux intempéries. Ces «malheureux» du grand Djurdjura essaient, tant bien que mal, de lutter contre le froid en se regroupant autour d'un feu de bois payé au prix fort, tout en continuant à remercier Dieu pour sa bénédiction et sa générosité. Il faut noter qu'aucun incident notable n'a été enregistré, jusque là, par les services de la Protection civile de la wilaya de Tizi-Ouzou K. A. En effectuant une virée en Kabylie ces derniers jours, on s'apercevra du dur quotidien des villageois. Plus on monte vers les sommets, plus le mercure baisse, et plus on découvre et on admire ce beau manteau blanc revêtant les crêtes du Djurdjura, à l'instar de Aïn El Hammam, Larbâa Nath Irathen, Bouzguene, les Ouacifs et d'autres localités connues par leur altitude. «il n'a pas cessé de neiger durant toute la nuit de jeudi à vendredi», nous dira un vieux abordé aux Ouacifs, emmitouflé dans son Burnous. Que du bonheur pour les enfants lesquels, eux, en profitent pour faire des bonhommes de neige, cela d'autant que les chutes de neige ont coïncidé avec le week-end. Les adultes, quant à eux, grelottant de froid, affichent leur inquiétude en calculant le prix du bois, du gasoil, des bonbonnes de gaz butane. Tous ces prix sont montés en flèche profitant de la perturbation du trafic routier et de la difficulté d'accès vers les villages enclavés. Les résidants de ces villages appréhendent un total isolement, la perturbation des réseaux d'eau et d'électricité, mais également les glissement de terrains dus aux intempéries. Ces «malheureux» du grand Djurdjura essaient, tant bien que mal, de lutter contre le froid en se regroupant autour d'un feu de bois payé au prix fort, tout en continuant à remercier Dieu pour sa bénédiction et sa générosité. Il faut noter qu'aucun incident notable n'a été enregistré, jusque là, par les services de la Protection civile de la wilaya de Tizi-Ouzou K. A.