Les Nations unies ont fait part hier de leur inquiétude du nombre élevé des victimes des violences en Somalie, notamment dans la capitale Mogadiscio, théâtre d'affrontements entre les forces gouvernementales somaliennes et les insurgés. Depuis le 1er février, près de 8.300 personnes ont été déplacées, dont 5.700 ont quitté la capitale somalienne, principalement en direction du corridor d'Afgooye, alors que 2.400 autres se sont déplacées vers des zones plus sûres à l'intérieur de la ville, d'après les estimation de l'Onu. Le gouvernement de transition somalien envisage de lancer prochainement, avec le soutien de la force de paix de l'Union africaine (Amisom), une grande opération militaire à Mogadiscio contre les insurgés "shebab", qui contrôlent la majeure partie de la ville. Les Nations unies ont fait part hier de leur inquiétude du nombre élevé des victimes des violences en Somalie, notamment dans la capitale Mogadiscio, théâtre d'affrontements entre les forces gouvernementales somaliennes et les insurgés. Depuis le 1er février, près de 8.300 personnes ont été déplacées, dont 5.700 ont quitté la capitale somalienne, principalement en direction du corridor d'Afgooye, alors que 2.400 autres se sont déplacées vers des zones plus sûres à l'intérieur de la ville, d'après les estimation de l'Onu. Le gouvernement de transition somalien envisage de lancer prochainement, avec le soutien de la force de paix de l'Union africaine (Amisom), une grande opération militaire à Mogadiscio contre les insurgés "shebab", qui contrôlent la majeure partie de la ville.