Dans le but de «faire la lumière» sur le monde du travail en Algérie, qui connaît aujourd'hui plusieurs tensions, le Front de libération national (FLN) a organisé, jeudi, une conférence sous le thème «Travail décent en Algérie», animé par des experts et spécialistes du monde du travail et des législations inhérentes à celui-ci, rapporte l'Agence de presse algérienne. Intervenant à l'ouverture de cette rencontre, le secrétaire général de l'instance exécutive du FLN, Abdelaziz Belkhadem, a insisté sur le sens exact du concept de «travail décent en Algérie». Belkhadem a souligné devant des cadres du parti et des représentants de syndicats et de fédérations relevant de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA) que l'objectif de telles conférences était de «définir les perspectives en abordant les conditions de travail à la faveur de l'ouverture du travail et du pluralisme syndical afin de parvenir à une meilleure maîtrise du monde du travail». Le concept du travail décent signifie, ajoute le secrétaire général de l'instance exécutive du parti et selon l'Organisation internationale du travail (OIT), que «toute personne doit avoir un travail qui lui convient, percevoir un salaire juste et jouir de tous ses droits matériels et moraux». Belkhadem a évoqué, à cette occasion, les tensions sociales et les grèves que connaît le pays et à travers lesquelles les travailleurs revendiquent l'amélioration de leur situation sociale au moyen de la valorisation des salaires. Le terme de «travail décent» dans les législations internationales, a-t-il poursuivi, «est essentiellement axé autour de la possibilité d'obtenir un poste de travail équivalant avec un salaire juste, la réalisation de la paix sociale et la résolution des tensions qui interviennent dans différents domaines du travail». Dans son intervention, Louzir Hachemi, expert en législation du travail auprès de l'UGTA, a tenu à expliquer que le concept de «travail décent» reposait sur quatre fondements : «L'emploi, les droits, la protection sociale et le dialogue social». Ces quatre points, a-t-il ajouté, doivent être soutenus par une conviction profonde de réaliser le développement social et économique, mettant en exergue le rôle du dialogue efficace dans la réalisation de la cohésion. Le travail décent, enchaîne-t-il, est «un travail essentiel à la réalisation du développement économique», c'est pourquoi il faut, ajoute-t-il, «accorder une plus grande importance à l'entreprise, considérée comme la clef du développement et de l'emploi». C.K. Dans le but de «faire la lumière» sur le monde du travail en Algérie, qui connaît aujourd'hui plusieurs tensions, le Front de libération national (FLN) a organisé, jeudi, une conférence sous le thème «Travail décent en Algérie», animé par des experts et spécialistes du monde du travail et des législations inhérentes à celui-ci, rapporte l'Agence de presse algérienne. Intervenant à l'ouverture de cette rencontre, le secrétaire général de l'instance exécutive du FLN, Abdelaziz Belkhadem, a insisté sur le sens exact du concept de «travail décent en Algérie». Belkhadem a souligné devant des cadres du parti et des représentants de syndicats et de fédérations relevant de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA) que l'objectif de telles conférences était de «définir les perspectives en abordant les conditions de travail à la faveur de l'ouverture du travail et du pluralisme syndical afin de parvenir à une meilleure maîtrise du monde du travail». Le concept du travail décent signifie, ajoute le secrétaire général de l'instance exécutive du parti et selon l'Organisation internationale du travail (OIT), que «toute personne doit avoir un travail qui lui convient, percevoir un salaire juste et jouir de tous ses droits matériels et moraux». Belkhadem a évoqué, à cette occasion, les tensions sociales et les grèves que connaît le pays et à travers lesquelles les travailleurs revendiquent l'amélioration de leur situation sociale au moyen de la valorisation des salaires. Le terme de «travail décent» dans les législations internationales, a-t-il poursuivi, «est essentiellement axé autour de la possibilité d'obtenir un poste de travail équivalant avec un salaire juste, la réalisation de la paix sociale et la résolution des tensions qui interviennent dans différents domaines du travail». Dans son intervention, Louzir Hachemi, expert en législation du travail auprès de l'UGTA, a tenu à expliquer que le concept de «travail décent» reposait sur quatre fondements : «L'emploi, les droits, la protection sociale et le dialogue social». Ces quatre points, a-t-il ajouté, doivent être soutenus par une conviction profonde de réaliser le développement social et économique, mettant en exergue le rôle du dialogue efficace dans la réalisation de la cohésion. Le travail décent, enchaîne-t-il, est «un travail essentiel à la réalisation du développement économique», c'est pourquoi il faut, ajoute-t-il, «accorder une plus grande importance à l'entreprise, considérée comme la clef du développement et de l'emploi». C.K.