Le secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre, chargé de la Communication, Azeddine Mihoubi, a annoncé, jeudi à Alger, l'organisation, le 5 mai, d'ateliers thématiques consacrés à l'examen de 5 volets du métier de journaliste. Dans son allocution d'ouverture de la journée d'études sur la presse nationale organisée sous le thème "Professionnalisme dans l'information et efficacité dans la communication", Mihoubi a indiqué que ces ateliers concerneront l'évaluation de l'expérience médiatique algérienne depuis la promulgation en 1990 du code de l'information, le sondage, la publicité, l'éthique et les volets audiovisuel et électronique. Ces domaines «doivent être bien élucidés», a-t-il ajouté précisant que ces ateliers seront «un espace ouvert» aux spécialistes et aux professionnels qui pourront «nous présenter des idées nouvelles» pour que l'Algérie «ne soit pas en marge de l'évolution médiatique que connaît le monde». Dans ce contexte, le Secrétaire d'Etat a souligné la nécessité de développer les institutions médiatiques algériennes et la législation relative au secteur soulignant à tous les professionnels "l'impératif pour la famille médiatique algérienne de mieux s'organiser". Concernant cette journée d'études initiée par son département, Mihoubi a souligné que les conférences qui seront animées lors de cette rencontre par une pléiade de chercheurs et d'universitaires «constitueront un important document de travail et une matière scientifique pouvant servir dans plus d'un domaine». «Nous avons invité des experts pour nous imprégner de leurs idées et évaluer notre capacité à consacrer le professionnalisme, seul garant de la pérennité des médias», a estimé M. Mihoubi rappelant que les idées soumises «seront prises en compte lors de l'examen des lois relatives au secteur». Cette journée d'études, ajoute M. Mihoubi, concerne l'état actuel et futur de la presse écrite en Algérie qui a connu «un bel essor» à travers les nouveaux titres parus sur la scène médiatique. La réalité de la presse aujourd'hui, a-t-il dit, «diffère de celle des années 90 notamment, avec l'évolution des médias et des moyens de communication et l'émergence de la presse électronique». Par ailleurs, Mihoubi, s'est engagé à ne ménager «aucun effort» pour promouvoir la profession de journaliste à travers la consolidation des aspects juridiques et législatifs. Il a également insisté sur le volet formation, relevant, à cet égard, des lacunes ayant conduit des journalistes à commettre des erreurs professionnelles, allant jusqu'à la diffamation, déplorant, d'autre part, le non respect des relations de travail au sein d'entreprises de presse. Le secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre, chargé de la Communication, Azeddine Mihoubi, a annoncé, jeudi à Alger, l'organisation, le 5 mai, d'ateliers thématiques consacrés à l'examen de 5 volets du métier de journaliste. Dans son allocution d'ouverture de la journée d'études sur la presse nationale organisée sous le thème "Professionnalisme dans l'information et efficacité dans la communication", Mihoubi a indiqué que ces ateliers concerneront l'évaluation de l'expérience médiatique algérienne depuis la promulgation en 1990 du code de l'information, le sondage, la publicité, l'éthique et les volets audiovisuel et électronique. Ces domaines «doivent être bien élucidés», a-t-il ajouté précisant que ces ateliers seront «un espace ouvert» aux spécialistes et aux professionnels qui pourront «nous présenter des idées nouvelles» pour que l'Algérie «ne soit pas en marge de l'évolution médiatique que connaît le monde». Dans ce contexte, le Secrétaire d'Etat a souligné la nécessité de développer les institutions médiatiques algériennes et la législation relative au secteur soulignant à tous les professionnels "l'impératif pour la famille médiatique algérienne de mieux s'organiser". Concernant cette journée d'études initiée par son département, Mihoubi a souligné que les conférences qui seront animées lors de cette rencontre par une pléiade de chercheurs et d'universitaires «constitueront un important document de travail et une matière scientifique pouvant servir dans plus d'un domaine». «Nous avons invité des experts pour nous imprégner de leurs idées et évaluer notre capacité à consacrer le professionnalisme, seul garant de la pérennité des médias», a estimé M. Mihoubi rappelant que les idées soumises «seront prises en compte lors de l'examen des lois relatives au secteur». Cette journée d'études, ajoute M. Mihoubi, concerne l'état actuel et futur de la presse écrite en Algérie qui a connu «un bel essor» à travers les nouveaux titres parus sur la scène médiatique. La réalité de la presse aujourd'hui, a-t-il dit, «diffère de celle des années 90 notamment, avec l'évolution des médias et des moyens de communication et l'émergence de la presse électronique». Par ailleurs, Mihoubi, s'est engagé à ne ménager «aucun effort» pour promouvoir la profession de journaliste à travers la consolidation des aspects juridiques et législatifs. Il a également insisté sur le volet formation, relevant, à cet égard, des lacunes ayant conduit des journalistes à commettre des erreurs professionnelles, allant jusqu'à la diffamation, déplorant, d'autre part, le non respect des relations de travail au sein d'entreprises de presse.