Beaucoup d'Algérois n'ont découvert la localité de Hraoua qu'au lendemain du dramatique seisme de 2003. Hraoua a en effet accueilli sur ses terrains inexploités les projets de construction de plusieurs cités pour les relogement des milliers de sinistrés. Beaucoup d'Algérois n'ont découvert la localité de Hraoua qu'au lendemain du dramatique seisme de 2003. Hraoua a en effet accueilli sur ses terrains inexploités les projets de construction de plusieurs cités pour les relogement des milliers de sinistrés. La commune de Hraoua, Aïn Taya, à 25 kilomètres de la capitale végète dans un total abandon. Hraoua se classe en effet parmi les localités les plus pauvres en matière d'infrastructures et de projets de développement local. Bien que cette commune connaisse une importante expansion, ses terrains vierges ont été en effet choisis, en 2003, pour la réalisation de plusieurs cités servant au relogement des sinistrés du tragique séisme de la même année. Elle abrite également plusieurs sites AADL, deux projets de logements sociaux. On est en fait passé de 15 mille habitants à plus de 27 mille au cours de l'année 2009. En dépit de cette extansion phénoménale, Hraoua reste extrêmement pauvre en matière de budget et souffre de graves déficits dans tous les secteurs. Hormis quelques modestes projets et la relance de quelques uns : restauration du marché communal, du siège de l'APC, la bibliothèque communale et la maison de jeunes, les secteurs essentiels restent toujours privés d'infrastructuresessentielles, à l'instar de celles scolaires ou de santé et ce dans les trois cycles. En plus de la faiblesse du budget ne dépassant pas 10 à 12 milliards de dinars, selon un responsable au sein de cette commune, cette dernière est confrontée, ces dernières années, au manque du foncier pour la réalisation des différents projets de développement local, elle rejoint ainsi les autres localités algéroises. Plusieurs projets inscrits dans les programmes des services communaux ne peuvent voir le jour en l'absence de foncier. Plusieurs infrastructures éducatives devaient pourtant se construire pour soulager les peines des habitants notamment ceux des quartiers un peu isolés dépourvus d'établissements de santé et d'écoles à l'instar des quartiers El Arbi Braidia, dans la localité d'Aïn El Kahla, et le quartiet dit Ouled Maâmar où des écoles devaient être construites. Les études techniques de plusieurs projets de ce genre ont été pourtant effectuées, mais sans suite pour le moment, affirme le responsable. L'absence d'un lycée pénalise cruellement les lycéens qui sont contraints de se déplacer sur des kilomètres jusqu'aux communes voisines pour poursuivre leurs études. Le secteur de la santé, de son côté connaît un grave déficit puisqu'il n'existe qu'une seule polyclinique et deux salles de soins à l'échelle de tout le territoire. Le secteur du transport ne se porte pas mieux puisque la commune de Hraoua n'a même pas de gare routière ou de station de bus afin de pouvoir y réglementer le transport. Ces problèmes est bien d'autres encore font que les résidants de Hraoua affirment que le statut de leur localité est loin de réfléter celui d'une localité algéroise, ils demeurent en effet enclavée au sein d'une région,au départ à vocation agricole, et qui peine à s'urbaniser. C. K. La commune de Hraoua, Aïn Taya, à 25 kilomètres de la capitale végète dans un total abandon. Hraoua se classe en effet parmi les localités les plus pauvres en matière d'infrastructures et de projets de développement local. Bien que cette commune connaisse une importante expansion, ses terrains vierges ont été en effet choisis, en 2003, pour la réalisation de plusieurs cités servant au relogement des sinistrés du tragique séisme de la même année. Elle abrite également plusieurs sites AADL, deux projets de logements sociaux. On est en fait passé de 15 mille habitants à plus de 27 mille au cours de l'année 2009. En dépit de cette extansion phénoménale, Hraoua reste extrêmement pauvre en matière de budget et souffre de graves déficits dans tous les secteurs. Hormis quelques modestes projets et la relance de quelques uns : restauration du marché communal, du siège de l'APC, la bibliothèque communale et la maison de jeunes, les secteurs essentiels restent toujours privés d'infrastructuresessentielles, à l'instar de celles scolaires ou de santé et ce dans les trois cycles. En plus de la faiblesse du budget ne dépassant pas 10 à 12 milliards de dinars, selon un responsable au sein de cette commune, cette dernière est confrontée, ces dernières années, au manque du foncier pour la réalisation des différents projets de développement local, elle rejoint ainsi les autres localités algéroises. Plusieurs projets inscrits dans les programmes des services communaux ne peuvent voir le jour en l'absence de foncier. Plusieurs infrastructures éducatives devaient pourtant se construire pour soulager les peines des habitants notamment ceux des quartiers un peu isolés dépourvus d'établissements de santé et d'écoles à l'instar des quartiers El Arbi Braidia, dans la localité d'Aïn El Kahla, et le quartiet dit Ouled Maâmar où des écoles devaient être construites. Les études techniques de plusieurs projets de ce genre ont été pourtant effectuées, mais sans suite pour le moment, affirme le responsable. L'absence d'un lycée pénalise cruellement les lycéens qui sont contraints de se déplacer sur des kilomètres jusqu'aux communes voisines pour poursuivre leurs études. Le secteur de la santé, de son côté connaît un grave déficit puisqu'il n'existe qu'une seule polyclinique et deux salles de soins à l'échelle de tout le territoire. Le secteur du transport ne se porte pas mieux puisque la commune de Hraoua n'a même pas de gare routière ou de station de bus afin de pouvoir y réglementer le transport. Ces problèmes est bien d'autres encore font que les résidants de Hraoua affirment que le statut de leur localité est loin de réfléter celui d'une localité algéroise, ils demeurent en effet enclavée au sein d'une région,au départ à vocation agricole, et qui peine à s'urbaniser. C. K.