La ville de Koléa abritera du 22 au 27 mars prochains la première édition du festival culturel maghrébin de la musique andalouse. C'est ce qui a été annoncé par M. Abdelhamid Benblidia, commissaire de la manifestation, lors d'une conférence de presse animée hier au Théâtre national algérien (TNA). La ville de Koléa abritera du 22 au 27 mars prochains la première édition du festival culturel maghrébin de la musique andalouse. C'est ce qui a été annoncé par M. Abdelhamid Benblidia, commissaire de la manifestation, lors d'une conférence de presse animée hier au Théâtre national algérien (TNA). «Le festival culturel maghrébin de musique andalouse entame, aujourd'hui, sa première édition et signe, ainsi, son acte de naissance», déclare le commissaire en ajoutant que cette manifestation «s'inscrit dans la continuité des autres festivals déjà institutionnalisés par le ministère de la Culture pour promouvoir cette musique, d'autant plus qu'il manquait l'élément maghrébin». Ainsi, pour M. Benblidia, cet événement «revêt une importance capitale car il exprime la volonté tenace des pouvoirs public, plus précisément de la ministre de la culture, Mme Kahlida Toumi, non seulement de sauvegarder ce patrimoine cultuel ancestral, mais de lui insuffler une dynamique capable de lui redonner sa véritable dimension dans les traditions culturelles et artistiques de notre pays». Le conférencier souligne également que le festival «résume, à lui seul, la dimension communautaire du Maghreb, car partagé par l'ensemble des sociétés de cette région». Cette conférence de presse a également permis de mettre en lumière le programme de cette manifestation qui verra la participation de plusieurs troupes prestigieuses de l'andalou à l'instar la troupe Chabab El andalous de Rabat avec la direction de Mohamed Amine Debbi, de Syrine Benmoussa et l'Orchestre de Testour de Tunisie. Le festival verra également la participation de plusieurs personnalités de renom tel que la soirée inaugurale avec la direction du grand maitre Sid Ahmed Serri, ou encore l'ouverture de la manifestation par Beihdja Rahal et l'ensemble régional de musique andalouse d'Alger. Pour le commissaire de cette première édition, le festival est également une occasion pour «échanger les expériences avec des responsables de festival de Tunisie et du Maroc, avec lesquels aussi on pourra initier des collaborations et des coopérations dans le futur. Il est à souligner que pour cette première édition, une distinction sera rendue à un autre maitre de la musique andalouse, Mustapha El Hassar. Enfin, concernant la ville sélectionnée pour la tenue de l'événement, le commissaire souligne que cela a été suggéré par la ministre, d'autant plus que pour lui ce «choix n'est pas fortuit car cette «cité», au passé culturel et historique très riche, constitue un véritable bastion (Kalla) qui a, depuis la nuit temps, et à l'instar de nombreuses autres cités, su conserver, jalousement, une musique d'une richesse infinie». K. H. «Le festival culturel maghrébin de musique andalouse entame, aujourd'hui, sa première édition et signe, ainsi, son acte de naissance», déclare le commissaire en ajoutant que cette manifestation «s'inscrit dans la continuité des autres festivals déjà institutionnalisés par le ministère de la Culture pour promouvoir cette musique, d'autant plus qu'il manquait l'élément maghrébin». Ainsi, pour M. Benblidia, cet événement «revêt une importance capitale car il exprime la volonté tenace des pouvoirs public, plus précisément de la ministre de la culture, Mme Kahlida Toumi, non seulement de sauvegarder ce patrimoine cultuel ancestral, mais de lui insuffler une dynamique capable de lui redonner sa véritable dimension dans les traditions culturelles et artistiques de notre pays». Le conférencier souligne également que le festival «résume, à lui seul, la dimension communautaire du Maghreb, car partagé par l'ensemble des sociétés de cette région». Cette conférence de presse a également permis de mettre en lumière le programme de cette manifestation qui verra la participation de plusieurs troupes prestigieuses de l'andalou à l'instar la troupe Chabab El andalous de Rabat avec la direction de Mohamed Amine Debbi, de Syrine Benmoussa et l'Orchestre de Testour de Tunisie. Le festival verra également la participation de plusieurs personnalités de renom tel que la soirée inaugurale avec la direction du grand maitre Sid Ahmed Serri, ou encore l'ouverture de la manifestation par Beihdja Rahal et l'ensemble régional de musique andalouse d'Alger. Pour le commissaire de cette première édition, le festival est également une occasion pour «échanger les expériences avec des responsables de festival de Tunisie et du Maroc, avec lesquels aussi on pourra initier des collaborations et des coopérations dans le futur. Il est à souligner que pour cette première édition, une distinction sera rendue à un autre maitre de la musique andalouse, Mustapha El Hassar. Enfin, concernant la ville sélectionnée pour la tenue de l'événement, le commissaire souligne que cela a été suggéré par la ministre, d'autant plus que pour lui ce «choix n'est pas fortuit car cette «cité», au passé culturel et historique très riche, constitue un véritable bastion (Kalla) qui a, depuis la nuit temps, et à l'instar de nombreuses autres cités, su conserver, jalousement, une musique d'une richesse infinie». K. H.