L'Algérie n'étant pas en reste des autres pays dans le monde compte adopter le nouveau protocole IPv6. Ce passage de l'IPv4 à l'IPv6 permettra au pays, dans le cadre du programme e-Algérie 2013 de se mettre au diapason des autres nations, notamment européennes, qui se sont déjà lancées dans l'aventure. Le ministère de la Poste et des Technologies de l'Information et de la Communication (MPTIC), a élaboré un plan national pour la mise en œuvre de ce protocole dans les deux années à venir. Dans la perspective de vulgariser davantage ce procédé, une conférence internationale sur l'IPV6, sera organisée le 31 mars au niveau du cyberparc de Sidi Abdallah. Celle-ci verra la participation de plus de 120 experts et d'éminentes personnalités du monde de l'Internet qui présenteront les expériences de déploiement de l'IPV6 au niveau mondial, annonce-t-on. Un tutorial sur l'IPV6 s'y tiendra également à la veille de la conférence au niveau du ministère de la Poste et des Technologies de l'Information et de la Communication. Les experts, pour leur part, ont souligné, à maintes reprises, la nécessité de passer à l'IPv6. Ces derniers, qui affirment que l'IPv4, qui permet d'utiliser 4,29 milliards d'adresses, sera épuisé en 2011. Il ne reste que 10% actuellement, a-t-on soutenu. Le point négatif de ce protocole est qu'il n'est pas évolutif. «Il était inimaginable au démarrage d'imaginer qu'il y aurait autant de connexions pour créer une certaine saturation», a-t-on expliqué. Pour garantir une mise en application totale du programme e-Algérie 2013, le recours au protocole IPv6 est exigé, a-t-on expliqué auprès du département de Bessalah. Selon le département de Bessalah, la demande d'adresse IP est appelée à encore augmenter dans les mois à venir. Autre raison qui nécessite l'introduction de ce protocole, l'ambition des pouvoirs publics d'atteindre les six millions d'abonnés à l'Internet dans le pays. L'introduction de ce protocole permettra à l'administration algérienne, qui compte introduire près de 400 nouveaux services, inscrits dans la stratégie e-Algérie 2013, de voir ces projets concrétisés et ces services opérationnels, affirme-t-on auprès de la tutelle. Le passage vers ce nouveau protocole L'IPv6, apporte beaucoup d'avantages, à savoir, l'auto-configuration, ce qui permet de mettre l'Internet à la portée de tous, garantit une meilleure notion de sécurité ainsi qu'une simplicité de l'archivage. Les objectifs principaux de ce nouveau protocole comme annoncés sont de supporter des milliards d'ordinateurs, dans le monde particulièrement, en se libérant de l'inefficacité de l'espace des adresses IP actuelles. Il permettra, entre autres, de réduire la taille des tables de routage, de simplifier le protocole, pour que les routeurs puissent router les datagrammes plus rapidement, en fournissant une meilleure sécurité (authentification et confidentialité) que l'actuel protocole IPv4. Il est à rappeler, cependant, que l'introduction de ce protocole (IPv6) se fera de manière graduelle, selon le ministre de MPTIC. Elle ne sera complète qu'au bout de dix ans, a-t-il affirmé. M. B. L'Algérie n'étant pas en reste des autres pays dans le monde compte adopter le nouveau protocole IPv6. Ce passage de l'IPv4 à l'IPv6 permettra au pays, dans le cadre du programme e-Algérie 2013 de se mettre au diapason des autres nations, notamment européennes, qui se sont déjà lancées dans l'aventure. Le ministère de la Poste et des Technologies de l'Information et de la Communication (MPTIC), a élaboré un plan national pour la mise en œuvre de ce protocole dans les deux années à venir. Dans la perspective de vulgariser davantage ce procédé, une conférence internationale sur l'IPV6, sera organisée le 31 mars au niveau du cyberparc de Sidi Abdallah. Celle-ci verra la participation de plus de 120 experts et d'éminentes personnalités du monde de l'Internet qui présenteront les expériences de déploiement de l'IPV6 au niveau mondial, annonce-t-on. Un tutorial sur l'IPV6 s'y tiendra également à la veille de la conférence au niveau du ministère de la Poste et des Technologies de l'Information et de la Communication. Les experts, pour leur part, ont souligné, à maintes reprises, la nécessité de passer à l'IPv6. Ces derniers, qui affirment que l'IPv4, qui permet d'utiliser 4,29 milliards d'adresses, sera épuisé en 2011. Il ne reste que 10% actuellement, a-t-on soutenu. Le point négatif de ce protocole est qu'il n'est pas évolutif. «Il était inimaginable au démarrage d'imaginer qu'il y aurait autant de connexions pour créer une certaine saturation», a-t-on expliqué. Pour garantir une mise en application totale du programme e-Algérie 2013, le recours au protocole IPv6 est exigé, a-t-on expliqué auprès du département de Bessalah. Selon le département de Bessalah, la demande d'adresse IP est appelée à encore augmenter dans les mois à venir. Autre raison qui nécessite l'introduction de ce protocole, l'ambition des pouvoirs publics d'atteindre les six millions d'abonnés à l'Internet dans le pays. L'introduction de ce protocole permettra à l'administration algérienne, qui compte introduire près de 400 nouveaux services, inscrits dans la stratégie e-Algérie 2013, de voir ces projets concrétisés et ces services opérationnels, affirme-t-on auprès de la tutelle. Le passage vers ce nouveau protocole L'IPv6, apporte beaucoup d'avantages, à savoir, l'auto-configuration, ce qui permet de mettre l'Internet à la portée de tous, garantit une meilleure notion de sécurité ainsi qu'une simplicité de l'archivage. Les objectifs principaux de ce nouveau protocole comme annoncés sont de supporter des milliards d'ordinateurs, dans le monde particulièrement, en se libérant de l'inefficacité de l'espace des adresses IP actuelles. Il permettra, entre autres, de réduire la taille des tables de routage, de simplifier le protocole, pour que les routeurs puissent router les datagrammes plus rapidement, en fournissant une meilleure sécurité (authentification et confidentialité) que l'actuel protocole IPv4. Il est à rappeler, cependant, que l'introduction de ce protocole (IPv6) se fera de manière graduelle, selon le ministre de MPTIC. Elle ne sera complète qu'au bout de dix ans, a-t-il affirmé. M. B.