Cette ultime étape connaîtra une continuité dans son exécution jusqu'à ce que le dernier bidonville soit rasé. Dans cette perspective, le premier magistrat de la wilaya a assuré que tous les moyens, humains et matériels, pour la réussite de cette «fin de programme» sont mis en place. Cette ultime étape connaîtra une continuité dans son exécution jusqu'à ce que le dernier bidonville soit rasé. Dans cette perspective, le premier magistrat de la wilaya a assuré que tous les moyens, humains et matériels, pour la réussite de cette «fin de programme» sont mis en place. A partir d'aujourd'hui, Constantine entamera sa dernière ligne droite en matière d'éradication de l'habitat précaire. C'est la date butoir arrêtée par les autorités pour boucler une opération qui perdure depuis plus d'une décennie. Selon le chef de l'exécutif, Abdelmalek Boudiaf, cette ultime étape connaîtra une continuité dans son exécution jusqu'à ce que le dernier bidonville soit rasé. Dans cette perspective, le premier magistrat de la wilaya a, dans ses déclarations à la presse, assuré que tous les moyens, humains et matériels, pour la réussite de cette «fin de programme» sont mis en place. La disponibilité des quotas de logements pour accueillir les quelque 8 mille familles recensées à cet effet ne pose aucun problème. Les services administratifs ainsi que ceux sécuritaires sont, de leur côté, fin prêts pour accomplir leur mission. Ces opérations, ponctuées par des troubles, parfois graves, provoqués par des personnes s'estimant lésées, nécessitent un dispositif sécuritaire conséquent. Le dernier incident en date est celui du 4 mars dernier, survenu à l'avenue de Roumanie où des échauffourées entre riverains et forces de l'ordre ont causé des blessures à 31 personnes, dont 28 policiers et le chef du cabinet du wali (lire le Midi du 11 mars 2010). Douze émeutiers ont été jugés et condamnés, dont quatre à deux ans de prison ferme. Pour éluder ce genre de dérapage, les autorités sont amenées à déployer des dispositifs drastiques. Dans ce même bidonville, le travail n'est pas terminé. Il reste encore 800 familles concernées par le programme de relogement, selon les autorités. Pour les riverains, ce chiffre serait plutôt de l'ordre de 1.400. L'écart entre les deux statistiques ne sera pas pris en compte. Pour les responsables, ce résultat est obtenu après plusieurs opérations de recensement. Les «intrus» n'ouvrent aucunement droit à ce programme de relogement. Le phénomène de bidonvilisation a longtemps défiguré et enlaidi la capitale de l'Est. Des efforts incommensurables et autant d'enveloppes financières ont été déployés sur les plans national et local pour gommer ces imperfections urbanistiques, dont certaines remontent à l'époque coloniale. Après Bardo, le Polygone, Sidi-Mabrouk, Oued El-Had, la cité Abbas…, la liste des bidonvilles à endiguer se rétrécit au fur et à mesure que 2011 se rapproche. N. D. A partir d'aujourd'hui, Constantine entamera sa dernière ligne droite en matière d'éradication de l'habitat précaire. C'est la date butoir arrêtée par les autorités pour boucler une opération qui perdure depuis plus d'une décennie. Selon le chef de l'exécutif, Abdelmalek Boudiaf, cette ultime étape connaîtra une continuité dans son exécution jusqu'à ce que le dernier bidonville soit rasé. Dans cette perspective, le premier magistrat de la wilaya a, dans ses déclarations à la presse, assuré que tous les moyens, humains et matériels, pour la réussite de cette «fin de programme» sont mis en place. La disponibilité des quotas de logements pour accueillir les quelque 8 mille familles recensées à cet effet ne pose aucun problème. Les services administratifs ainsi que ceux sécuritaires sont, de leur côté, fin prêts pour accomplir leur mission. Ces opérations, ponctuées par des troubles, parfois graves, provoqués par des personnes s'estimant lésées, nécessitent un dispositif sécuritaire conséquent. Le dernier incident en date est celui du 4 mars dernier, survenu à l'avenue de Roumanie où des échauffourées entre riverains et forces de l'ordre ont causé des blessures à 31 personnes, dont 28 policiers et le chef du cabinet du wali (lire le Midi du 11 mars 2010). Douze émeutiers ont été jugés et condamnés, dont quatre à deux ans de prison ferme. Pour éluder ce genre de dérapage, les autorités sont amenées à déployer des dispositifs drastiques. Dans ce même bidonville, le travail n'est pas terminé. Il reste encore 800 familles concernées par le programme de relogement, selon les autorités. Pour les riverains, ce chiffre serait plutôt de l'ordre de 1.400. L'écart entre les deux statistiques ne sera pas pris en compte. Pour les responsables, ce résultat est obtenu après plusieurs opérations de recensement. Les «intrus» n'ouvrent aucunement droit à ce programme de relogement. Le phénomène de bidonvilisation a longtemps défiguré et enlaidi la capitale de l'Est. Des efforts incommensurables et autant d'enveloppes financières ont été déployés sur les plans national et local pour gommer ces imperfections urbanistiques, dont certaines remontent à l'époque coloniale. Après Bardo, le Polygone, Sidi-Mabrouk, Oued El-Had, la cité Abbas…, la liste des bidonvilles à endiguer se rétrécit au fur et à mesure que 2011 se rapproche. N. D.