L'Union nationale des étudiants algériens (Unea) tire la sonnette d'alarme concernant la dégradation continuelle des conditions de vie des étudiants dans différentes résidences universitaire du pays. Elle dénonce entre autres, le laisser-aller de la tutelle dans la gestion des résidences universitaire. Dans un communiqué rendu public, elle interpelle le ministère de tutelle, à réagir face à cette situation qu'elle juge «alarmante». L'organisation citera, à cet effet, plusieurs exemples de dégradation notés dans nombre de résidences dans différentes wilayas du pays, à l'instar d'Ouargla, d'Alger, de Mila, de Skikda et de Sidi Bel- Abbès. Pour les résidences concernées de la capitale, l'Union cite en l'occurrence, celles de Sidi Abdellah et de Dely Brahim, insistant sur l'insécurité qui y persiste. L'insécurité, le manque ou l'absence totale de conditions d'hygiène, la restauration, la dégradation des conditions et commodités de vie en tous genres (transport défaillant, bibliothèques absentes, etc.) au sein des résidences universitaire dans bon nombre de villes du pays, font le quotidien difficile de chaque étudiant, peut-on déduire du communiqué de l'Unea. L'organisation estudiantine appelle les autorités à intervenir en vue d'améliorer les conditions de vie des étudiants dans les plus brefs délais. Sans quoi, a-t-elle fait remarquer, «une catastrophe humaine est à craindre au sein de l'université algérienne». Massinissa Benlakehal L'Union nationale des étudiants algériens (Unea) tire la sonnette d'alarme concernant la dégradation continuelle des conditions de vie des étudiants dans différentes résidences universitaire du pays. Elle dénonce entre autres, le laisser-aller de la tutelle dans la gestion des résidences universitaire. Dans un communiqué rendu public, elle interpelle le ministère de tutelle, à réagir face à cette situation qu'elle juge «alarmante». L'organisation citera, à cet effet, plusieurs exemples de dégradation notés dans nombre de résidences dans différentes wilayas du pays, à l'instar d'Ouargla, d'Alger, de Mila, de Skikda et de Sidi Bel- Abbès. Pour les résidences concernées de la capitale, l'Union cite en l'occurrence, celles de Sidi Abdellah et de Dely Brahim, insistant sur l'insécurité qui y persiste. L'insécurité, le manque ou l'absence totale de conditions d'hygiène, la restauration, la dégradation des conditions et commodités de vie en tous genres (transport défaillant, bibliothèques absentes, etc.) au sein des résidences universitaire dans bon nombre de villes du pays, font le quotidien difficile de chaque étudiant, peut-on déduire du communiqué de l'Unea. L'organisation estudiantine appelle les autorités à intervenir en vue d'améliorer les conditions de vie des étudiants dans les plus brefs délais. Sans quoi, a-t-elle fait remarquer, «une catastrophe humaine est à craindre au sein de l'université algérienne». Massinissa Benlakehal