Selon le président de l'association «Iqraa» de la wilaya de Tizi-ouzou, 17% sur une population de 1,2 million d'habitants sont des analphabètes, soit environ 200 mille personnes dont 6.000 inscrits aux classes d'alphabétisation pour cette année 2009-2010. Ce nombre est réparti sur 22 divisions pédagogiques implantées sur le territoire de la wilaya et encadrées par 280 instituteurs. Selon le même responsable, « le nombre d'encadreurs doit augmenter si on veut éradiquer l'analphabétisme dans la wilaya de Tizi-ouzou.» M. Khelid propose pour cela l'ouverture de nouvelles classes pédagogiques qui seront en mesure d'accueillir le nombre de personnes de plus en plus nombreuse, surtout la gente féminine, à chercher le savoir. « Chercher la connaissance n'est plus un tabou pour les femmes de la région. Elles viennent sans complexe se mettre en classe dans le but d'arriver à lire et à écrire » note M. Khelid. Il estime que la wilaya de Tizi-Ouzou peut réellement relever le défi d'arriver à venir à bout de l'analphabétisme dans les six années à venir. Néanmoins, beaucoup reste à faire au niveau des villages enclavés où il n'est pas évident de réunir le nombre d'apprenants nécessaire pour l'ouverture d'une classe d'alphabétisation des adultes. Dans ce sens, beaucoup d'efforts sont fournis pour la sensibilisation les populations de ces zones. Selon le président de l'association «Iqraa» de la wilaya de Tizi-ouzou, 17% sur une population de 1,2 million d'habitants sont des analphabètes, soit environ 200 mille personnes dont 6.000 inscrits aux classes d'alphabétisation pour cette année 2009-2010. Ce nombre est réparti sur 22 divisions pédagogiques implantées sur le territoire de la wilaya et encadrées par 280 instituteurs. Selon le même responsable, « le nombre d'encadreurs doit augmenter si on veut éradiquer l'analphabétisme dans la wilaya de Tizi-ouzou.» M. Khelid propose pour cela l'ouverture de nouvelles classes pédagogiques qui seront en mesure d'accueillir le nombre de personnes de plus en plus nombreuse, surtout la gente féminine, à chercher le savoir. « Chercher la connaissance n'est plus un tabou pour les femmes de la région. Elles viennent sans complexe se mettre en classe dans le but d'arriver à lire et à écrire » note M. Khelid. Il estime que la wilaya de Tizi-Ouzou peut réellement relever le défi d'arriver à venir à bout de l'analphabétisme dans les six années à venir. Néanmoins, beaucoup reste à faire au niveau des villages enclavés où il n'est pas évident de réunir le nombre d'apprenants nécessaire pour l'ouverture d'une classe d'alphabétisation des adultes. Dans ce sens, beaucoup d'efforts sont fournis pour la sensibilisation les populations de ces zones.