Pour lutter contre la culture de l'oubli à l'égard des artistes et comédiens qui sont rarement honorés de leur vivant, la wilaya de Bordj a rendu hommage à l'un des monuments du théâtre algérien, en l'occurence M'hamed Benguettaf. Ce dernier après un parcours hors du commun sur les planches, a été désigné à la tête du TNA. L'accueil réservé à cette grande figure du quatrième art dans la wilaya de Bordj, dont il est originaire, a été à la hauteur des rôles qu'il a incarnés durant quarante-trois ans "côté cour, côté jardin". Ces rôles sont consacrés à redresser les torts de la société et à éveiller les consciences léthargiques dans un style simple et unique qui le démarquait des autres artistes. Comme tous les grands du théâtre et de la littérature, Benguettaf fait de son environnement une source d'inspiration perpétuelle. Il réside dans un quartier populaire de la capitale, près de l'hôpital central et non loin d'un souk. Un milieu propice pour forger les talents de comédien qui lui ont valu sa notoriété. L'universalité de ses œuvres, notamment Les martyrs sont de retour cette semaine, est telle qu'elles ont été traduites dans plusieurs langues : en français, espagnol, italien et même en bulgare. "Grâce à l'implication de la presse, surtout écrite, avec ses louanges et ses critiques constructives, nous avons pu nous perfectionner en raflant plusieurs titres internationaux" nous dira-t-il. À ses débuts d'artiste M'hamed Benguettaf était un fervent fan de El Anka et de la chanson chaabie, mais sa passion était bien plus forte pour Molière et Scheakspeare en incarnant à merveille Hamlet avec M'hamed Ouriche et d'autres chefs d'œuvres avec Sonia, Medjoubi, Ziani et Chérif… Sous l'œil attentif du grand maître, la troupe locale a joué une courte pièce traitant d'une époque sombre de l'histoire contemporaine de l'Algérie, pour clore la représentation sur une note d'espoir. Il dira au cours de sa brêve prise de parole "je ne sais parler et bavarder que sur scène...". Benguettaf ému par la "standing ovation", a tenu à remercier tous ceux qui ont participé à cet hommage. Pour lutter contre la culture de l'oubli à l'égard des artistes et comédiens qui sont rarement honorés de leur vivant, la wilaya de Bordj a rendu hommage à l'un des monuments du théâtre algérien, en l'occurence M'hamed Benguettaf. Ce dernier après un parcours hors du commun sur les planches, a été désigné à la tête du TNA. L'accueil réservé à cette grande figure du quatrième art dans la wilaya de Bordj, dont il est originaire, a été à la hauteur des rôles qu'il a incarnés durant quarante-trois ans "côté cour, côté jardin". Ces rôles sont consacrés à redresser les torts de la société et à éveiller les consciences léthargiques dans un style simple et unique qui le démarquait des autres artistes. Comme tous les grands du théâtre et de la littérature, Benguettaf fait de son environnement une source d'inspiration perpétuelle. Il réside dans un quartier populaire de la capitale, près de l'hôpital central et non loin d'un souk. Un milieu propice pour forger les talents de comédien qui lui ont valu sa notoriété. L'universalité de ses œuvres, notamment Les martyrs sont de retour cette semaine, est telle qu'elles ont été traduites dans plusieurs langues : en français, espagnol, italien et même en bulgare. "Grâce à l'implication de la presse, surtout écrite, avec ses louanges et ses critiques constructives, nous avons pu nous perfectionner en raflant plusieurs titres internationaux" nous dira-t-il. À ses débuts d'artiste M'hamed Benguettaf était un fervent fan de El Anka et de la chanson chaabie, mais sa passion était bien plus forte pour Molière et Scheakspeare en incarnant à merveille Hamlet avec M'hamed Ouriche et d'autres chefs d'œuvres avec Sonia, Medjoubi, Ziani et Chérif… Sous l'œil attentif du grand maître, la troupe locale a joué une courte pièce traitant d'une époque sombre de l'histoire contemporaine de l'Algérie, pour clore la représentation sur une note d'espoir. Il dira au cours de sa brêve prise de parole "je ne sais parler et bavarder que sur scène...". Benguettaf ému par la "standing ovation", a tenu à remercier tous ceux qui ont participé à cet hommage.