Un Office national de lutte contre la cybercriminalité va être bientôt créé, a déclaré Djamel Benzertini, Directeur général du Centre de Recherche Juridique et Judiciaire. Cet Office, vient compléter les moyens et les outils mis en oeuvre par l'Etat pour lutter contre ce phénomène. Un Office national de lutte contre la cybercriminalité va être bientôt créé, a déclaré Djamel Benzertini, Directeur général du Centre de Recherche Juridique et Judiciaire. Cet Office, vient compléter les moyens et les outils mis en oeuvre par l'Etat pour lutter contre ce phénomène. «En 2013, il y aura 6 millions d'internautes en Algérie» et sans doute, "le développement du crime informatique, que ce soit par l'intrusion illégale dans les systèmes d'information ou la commission d'infractions classiques dont l'escroquerie, le financement et la propagande du terrorisme ou encore la pédophilie", a indiqué, hier, Djamel Bouzertini, Directeur général du Centre de recherche juridique et judiciaire (CRJJ) à l'ouverture du séminaire international sur la lutte contre la cybercriminalité qui tient ses travaux à Alger et qui dureront deux jours. L'objectif assigné à ce séminaire qui réunit outre le CRJJ, des magistrat, des représentants de la Gendarmerie Nationale et de la DGSN, un représentant d'Interpol et des expets Américains, Français et Britanniques, est, selon le Dg du CRJJ "la coordination entre les différentes institutions et la lutte contre la cybercriminalité", en ce sens, a-t-il souligné, qu' "à l'instar d'autres pays qui commencent à connaître l'émergence de la cybercriminalité, l'Algérie commence à connaître la propagation de ce phénomène surtout après le début de l'utilisation des nouvelles technologies d'information et de la communication dans tous les domaines". Selon, lui, "le phénomène n'est pas encore très développé en Algérie car notre pays n'est encore outillé pour l'utilisation à grande échelle, des cartes d'accès aux comptes bancaires, le haut débit est limité". Il n'empêche qu'il faut se préparer dès maintenant et l'échéance de 2013 est toute proche. Le directeur général du CRJJ qui rappelle "l'arsenal juridique" promulgué pour lutter contre la cybercriminalité, assure que les services de sécurité (GN et DGSN), disposent déjà de cyberenquéteurs ayant une solide formation et que 50 magistrats, dispatchés dans les différents pôles judiciaires, ont reçu une formation qui les habilite à cette mission. Il reste, dira-t-il que "ces lois prendront un certain temps pour s'intégrer dans le paysage", et le plus important, observe-t-il, "et avant de parler de lutte, il y a lieu de parler de prévention et de formation, l'idée est de ne fermer ou d'interdire l'accès à Internet mais de l'encourager dans la mesure où cet outil devient incontournable de nos jours", et il constate qu'"un ordinateur est plus facilement accessible aux attaques et par conséquent facilite la prolifération de la cybercriminalité lorsqu'il n'est pas protégé ou sécurisé". «En 2013, il y aura 6 millions d'internautes en Algérie» et sans doute, "le développement du crime informatique, que ce soit par l'intrusion illégale dans les systèmes d'information ou la commission d'infractions classiques dont l'escroquerie, le financement et la propagande du terrorisme ou encore la pédophilie", a indiqué, hier, Djamel Bouzertini, Directeur général du Centre de recherche juridique et judiciaire (CRJJ) à l'ouverture du séminaire international sur la lutte contre la cybercriminalité qui tient ses travaux à Alger et qui dureront deux jours. L'objectif assigné à ce séminaire qui réunit outre le CRJJ, des magistrat, des représentants de la Gendarmerie Nationale et de la DGSN, un représentant d'Interpol et des expets Américains, Français et Britanniques, est, selon le Dg du CRJJ "la coordination entre les différentes institutions et la lutte contre la cybercriminalité", en ce sens, a-t-il souligné, qu' "à l'instar d'autres pays qui commencent à connaître l'émergence de la cybercriminalité, l'Algérie commence à connaître la propagation de ce phénomène surtout après le début de l'utilisation des nouvelles technologies d'information et de la communication dans tous les domaines". Selon, lui, "le phénomène n'est pas encore très développé en Algérie car notre pays n'est encore outillé pour l'utilisation à grande échelle, des cartes d'accès aux comptes bancaires, le haut débit est limité". Il n'empêche qu'il faut se préparer dès maintenant et l'échéance de 2013 est toute proche. Le directeur général du CRJJ qui rappelle "l'arsenal juridique" promulgué pour lutter contre la cybercriminalité, assure que les services de sécurité (GN et DGSN), disposent déjà de cyberenquéteurs ayant une solide formation et que 50 magistrats, dispatchés dans les différents pôles judiciaires, ont reçu une formation qui les habilite à cette mission. Il reste, dira-t-il que "ces lois prendront un certain temps pour s'intégrer dans le paysage", et le plus important, observe-t-il, "et avant de parler de lutte, il y a lieu de parler de prévention et de formation, l'idée est de ne fermer ou d'interdire l'accès à Internet mais de l'encourager dans la mesure où cet outil devient incontournable de nos jours", et il constate qu'"un ordinateur est plus facilement accessible aux attaques et par conséquent facilite la prolifération de la cybercriminalité lorsqu'il n'est pas protégé ou sécurisé".