Les habitants de Mezzaz-Lahmar, relevant de la commune de la municipalité de Bouhadjar, se plaignent du manque de moyens de transport ainsi que du manque d'une route carrossable. Celle qui se trouvait à proximité de ce hameau sur la RN 82, donnant sur les localités de Souk Ahras, a été transférée plusieurs kilomètres plus loin ce qui a mis en colère toute la population de ce lieu-dit. Auparavant, la chaussée se trouvait à moins de cent mètres. Les habitants de ce hameau, selon les dires de leur délégué, sont quasiment ignorés par l'administration et les élus locaux, à tel point que le transport n'a jamais existé dans cet endroit depuis la nuit des temps. Les jeunes écoliers font des kilomètres à pied pour rejoindre les collèges à Bouhadjar ou Oued Zitoun ou le lycée au chef-lieu de daïra Bouhadjar. Les familles de ce lieu, qui se disent marginalisés, lancent un appel pressant au premier responsable de la wilaya et aux responsables des transports pour trouver une solution à leur calvaire. Selon ces habitants, les transporteurs sont quasiment inexistants à cause de l'impraticabilité du semblant de la chaussée. A cela, s'ajoutent le peu d'éclairage, le manque du réseau d'assainissement et l'entassement des ordures ménagères. Le hameau en question, de plus de cent cinquante familles, est complètement dans l'oubli, selon toujours les citoyens de la localité qui vivent dans des situations déplorables. M. S. Les habitants de Mezzaz-Lahmar, relevant de la commune de la municipalité de Bouhadjar, se plaignent du manque de moyens de transport ainsi que du manque d'une route carrossable. Celle qui se trouvait à proximité de ce hameau sur la RN 82, donnant sur les localités de Souk Ahras, a été transférée plusieurs kilomètres plus loin ce qui a mis en colère toute la population de ce lieu-dit. Auparavant, la chaussée se trouvait à moins de cent mètres. Les habitants de ce hameau, selon les dires de leur délégué, sont quasiment ignorés par l'administration et les élus locaux, à tel point que le transport n'a jamais existé dans cet endroit depuis la nuit des temps. Les jeunes écoliers font des kilomètres à pied pour rejoindre les collèges à Bouhadjar ou Oued Zitoun ou le lycée au chef-lieu de daïra Bouhadjar. Les familles de ce lieu, qui se disent marginalisés, lancent un appel pressant au premier responsable de la wilaya et aux responsables des transports pour trouver une solution à leur calvaire. Selon ces habitants, les transporteurs sont quasiment inexistants à cause de l'impraticabilité du semblant de la chaussée. A cela, s'ajoutent le peu d'éclairage, le manque du réseau d'assainissement et l'entassement des ordures ménagères. Le hameau en question, de plus de cent cinquante familles, est complètement dans l'oubli, selon toujours les citoyens de la localité qui vivent dans des situations déplorables. M. S.