Le ministre des Finances Karim Djoudi a affirmé qu'il n'y a aucun traitement de faveur pour les investisseurs emiratis. Le ministre, qui s'exprimait en marge de la séance plénière du Conseil de la nation consacrée à l'examen du projet de loi relatif aux professions d'expert comptable, de commissaire aux comptes et de comptable agréé, faisait allusion à la récente réunion de la 8e session de la commission mixte algéro-émiratie. Le ministre des Finances Karim Djoudi a affirmé qu'il n'y a aucun traitement de faveur pour les investisseurs emiratis. Le ministre, qui s'exprimait en marge de la séance plénière du Conseil de la nation consacrée à l'examen du projet de loi relatif aux professions d'expert comptable, de commissaire aux comptes et de comptable agréé, faisait allusion à la récente réunion de la 8e session de la commission mixte algéro-émiratie. Le ministre des Finances a clairement indiqué que le gouvernement algérien ne privilégie aucun investisseur par rapport à un autre et ce, quel que soit sa nationalité. Karim Djoudi a, dans ce contexte, affirmé qu'«il n'y a aucun traitement de faveur pour les investisseurs emiratis». Le ministre des Finances, qui s'exprimait en marge de la séance plénière du Conseil de la nation consacrée à l'examen du projet de loi relatif aux professions d'expert comptable, de commissaire aux comptes et de comptable agréé, faisait allusion à la récente réunion de la 8e session de la commission mixte algéro-émiratie et aux supputations selon lesquelles l'Algérie s'apprêterait à privilégier les investisseurs de ce pays du Golfe. Cette session de la commission mixte s'est achevée par la conclusion de deux mémorandums d'entente portant respectivement sur la promotion des exportations et le transfert des capitaux et la lutte contre le blanchiment d'argent. Pour Djoudi toutefois «cela ne veut point dire que les Emiratis vont profiter de mesures exceptionnelles, vu que comme c'est le cas pour les investisseurs d'autres pays, ils seront soumis aux dispositions de la loi de finances complémentaire 2009». Le premier argentier du pays, qui s'est refusé à tout commentaire sur la situation du groupe Emmar qui aurait abandonné ses projets d'investissements en Algérie, dira encore : «Nous voulons de tous les investisseurs qu'ils respectent la législation algérienne». Par ailleurs dans sa réponse aux préoccupations exprimées par les sénateurs lors du débat portant sur le projet de loi relatif aux professions d'expert comptable, de commissaire aux comptes et de comptable agréé, adopté pour rappel la semaine dernière par la chambre basse du Parlement, Karim Djoudi a défendu la démarche de son département ministériel s'agissant du bien fondé de ce texte. Ce dernier, a-t-il précisé devant les membres du Conseil de la nation, «s'adapte aux réformes engagées par les pays, considérés comme les plus libéraux, ayant promulgué de nouveaux textes en vue de renforcer le contrôle financier des entreprises, notamment dans le cadre des retombées de la crise économique mondiale». Il dira, encore une fois, que ce projet tend à réorganiser ces trois professions dans l'objectif de les adapter aux exigences de la bonne gestion des entreprises publiques et privées. Interpellé lors du débat sur les raisons qui ont poussé son département à interdire aux étrangers l'exercice de ces professions Karim Djoudi a soutenu que cela vise «à mettre à niveau les cadres algériens en vue de faire face à la concurrence internationale dans ce domaine». Cela vise, en outre, a-t-il ajouté, «à protéger les données économiques et financières des entreprises stratégiques». Ce texte de loi va permettre aux pouvoirs publics d'avoir la haute main sur un secteur qui vit, depuis le début des années 90, dans une situation «anarchique» marquée par l'absence de l'Etat. Ce dernier aura, par le biais du ministère des Finances, une fois le projet de loi promulgué, la prérogative d'accorder l'agrément pour l'exercice de ces trois professions. Notons enfin que le ministre a indiqué qu'il y a 2.017 professionnels dont 561 experts comptables, 524 commissaires aux comptes et 932 comptables agréés. Le ministre des Finances a clairement indiqué que le gouvernement algérien ne privilégie aucun investisseur par rapport à un autre et ce, quel que soit sa nationalité. Karim Djoudi a, dans ce contexte, affirmé qu'«il n'y a aucun traitement de faveur pour les investisseurs emiratis». Le ministre des Finances, qui s'exprimait en marge de la séance plénière du Conseil de la nation consacrée à l'examen du projet de loi relatif aux professions d'expert comptable, de commissaire aux comptes et de comptable agréé, faisait allusion à la récente réunion de la 8e session de la commission mixte algéro-émiratie et aux supputations selon lesquelles l'Algérie s'apprêterait à privilégier les investisseurs de ce pays du Golfe. Cette session de la commission mixte s'est achevée par la conclusion de deux mémorandums d'entente portant respectivement sur la promotion des exportations et le transfert des capitaux et la lutte contre le blanchiment d'argent. Pour Djoudi toutefois «cela ne veut point dire que les Emiratis vont profiter de mesures exceptionnelles, vu que comme c'est le cas pour les investisseurs d'autres pays, ils seront soumis aux dispositions de la loi de finances complémentaire 2009». Le premier argentier du pays, qui s'est refusé à tout commentaire sur la situation du groupe Emmar qui aurait abandonné ses projets d'investissements en Algérie, dira encore : «Nous voulons de tous les investisseurs qu'ils respectent la législation algérienne». Par ailleurs dans sa réponse aux préoccupations exprimées par les sénateurs lors du débat portant sur le projet de loi relatif aux professions d'expert comptable, de commissaire aux comptes et de comptable agréé, adopté pour rappel la semaine dernière par la chambre basse du Parlement, Karim Djoudi a défendu la démarche de son département ministériel s'agissant du bien fondé de ce texte. Ce dernier, a-t-il précisé devant les membres du Conseil de la nation, «s'adapte aux réformes engagées par les pays, considérés comme les plus libéraux, ayant promulgué de nouveaux textes en vue de renforcer le contrôle financier des entreprises, notamment dans le cadre des retombées de la crise économique mondiale». Il dira, encore une fois, que ce projet tend à réorganiser ces trois professions dans l'objectif de les adapter aux exigences de la bonne gestion des entreprises publiques et privées. Interpellé lors du débat sur les raisons qui ont poussé son département à interdire aux étrangers l'exercice de ces professions Karim Djoudi a soutenu que cela vise «à mettre à niveau les cadres algériens en vue de faire face à la concurrence internationale dans ce domaine». Cela vise, en outre, a-t-il ajouté, «à protéger les données économiques et financières des entreprises stratégiques». Ce texte de loi va permettre aux pouvoirs publics d'avoir la haute main sur un secteur qui vit, depuis le début des années 90, dans une situation «anarchique» marquée par l'absence de l'Etat. Ce dernier aura, par le biais du ministère des Finances, une fois le projet de loi promulgué, la prérogative d'accorder l'agrément pour l'exercice de ces trois professions. Notons enfin que le ministre a indiqué qu'il y a 2.017 professionnels dont 561 experts comptables, 524 commissaires aux comptes et 932 comptables agréés.