Le tribunal criminel de Tizi-Ouzou a prononcé la peine capitale à l'encontre de A. A. pour avoir assassiné, avec préméditation, S.Kamel et avoir grièvement blessé une deuxième personne. S. Kamel était étudiant et était âgé d'à peine 19 ans au moment des faits. Les faits de cette affaire remontent au 24 septembre 2009. Ce jour-là la victime était chez elle en compagnie des membres de la famille de son oncle paternel, père de la deuxième victime grièvement blessée. Toute la famille était rassemblée quand une voix à l'extérieur s'est élevée pour proférer des insanités et des insultes. La victime S. Karim sort pour demander à l'énergumène de contrôler ses propos. Mais une fois dehors, il trouve l'accusé armé d'un grand couteau. Ce dernier lui affirme qu'il va tuer toute sa famille avant de lui asséner un coup au bras gauche. Le cousin de la première victime arrive à la rescousse, aussitôt l'accusé porte trois coup mortels à Karim avant de prendre la fuite précipitamment. Les deux personnes blessées ont été transportées vers l'hôpital de Tizi-Ouzou où l'une d'elles a succombé. Aux environs de 22 h, les éléments de la Gendarmerie nationale d'Irdjen ont reçu l'appel téléphonique d'un garde communal d'Ath Agouacha les informant de la tragédie. Des gendarmes se sont déplacés aussitôt à l'hôpital. A 1h du matin, les mêmes gendarmes reçoivent un second coup de fil de citoyens du village Tighilt Tgemounine (commune de Larbaa Nath Irathen) les informant qu'il ont réussi à arrêter le meurtrier. Lors de l'enquête, menée par les services de la gendarmerie, l'accusé a reconnu les faits, il affirme qu'il ne regrette pas son geste. Il explique même qu'il préparait son coup depuis plusieurs semaines. En effet le couteau du crime a été acheté trois semaines avant le jour de l'assassinat. Plus tard, l'accusé reviendra sur ses déclarations. Lors du procès, l'accusé est toutefois revenu à la première version justifiant son crime par le fait qu'il détestait la mère de la victime. Cette dernière a affirmé au cours du procès qu'il n'y avait pratiquement aucune relation entre sa famille et l'agresseur. Le procureur de la République a insisté au cours de son réquisitoire sur le fait que l'accusé avait bel et bien l'intention de tuer et qu'il «ne regrettait pas son crime». Le procureur a ajouté que le fait que l'accusé ait affirmé avoir acheté le couteau quelques semaines avant de passer à l'acte est une autre preuve accablante. Le tribunal criminel de Tizi-Ouzou a prononcé la peine capitale à l'encontre de A. A. pour avoir assassiné, avec préméditation, S.Kamel et avoir grièvement blessé une deuxième personne. S. Kamel était étudiant et était âgé d'à peine 19 ans au moment des faits. Les faits de cette affaire remontent au 24 septembre 2009. Ce jour-là la victime était chez elle en compagnie des membres de la famille de son oncle paternel, père de la deuxième victime grièvement blessée. Toute la famille était rassemblée quand une voix à l'extérieur s'est élevée pour proférer des insanités et des insultes. La victime S. Karim sort pour demander à l'énergumène de contrôler ses propos. Mais une fois dehors, il trouve l'accusé armé d'un grand couteau. Ce dernier lui affirme qu'il va tuer toute sa famille avant de lui asséner un coup au bras gauche. Le cousin de la première victime arrive à la rescousse, aussitôt l'accusé porte trois coup mortels à Karim avant de prendre la fuite précipitamment. Les deux personnes blessées ont été transportées vers l'hôpital de Tizi-Ouzou où l'une d'elles a succombé. Aux environs de 22 h, les éléments de la Gendarmerie nationale d'Irdjen ont reçu l'appel téléphonique d'un garde communal d'Ath Agouacha les informant de la tragédie. Des gendarmes se sont déplacés aussitôt à l'hôpital. A 1h du matin, les mêmes gendarmes reçoivent un second coup de fil de citoyens du village Tighilt Tgemounine (commune de Larbaa Nath Irathen) les informant qu'il ont réussi à arrêter le meurtrier. Lors de l'enquête, menée par les services de la gendarmerie, l'accusé a reconnu les faits, il affirme qu'il ne regrette pas son geste. Il explique même qu'il préparait son coup depuis plusieurs semaines. En effet le couteau du crime a été acheté trois semaines avant le jour de l'assassinat. Plus tard, l'accusé reviendra sur ses déclarations. Lors du procès, l'accusé est toutefois revenu à la première version justifiant son crime par le fait qu'il détestait la mère de la victime. Cette dernière a affirmé au cours du procès qu'il n'y avait pratiquement aucune relation entre sa famille et l'agresseur. Le procureur de la République a insisté au cours de son réquisitoire sur le fait que l'accusé avait bel et bien l'intention de tuer et qu'il «ne regrettait pas son crime». Le procureur a ajouté que le fait que l'accusé ait affirmé avoir acheté le couteau quelques semaines avant de passer à l'acte est une autre preuve accablante.