Plus de 12 mille enfants sont concernés par les festivités qui se préparent activement, pour leur plus grand bonheur, à travers la capitale. Plus de 12 mille enfants sont concernés par les festivités qui se préparent activement, pour leur plus grand bonheur, à travers la capitale. Comme chaque année, les petits algérois auront toute l'attention des adultes, l'espace d'une journée, en l'occurence leur Fête, célébrée à travers le monde le 1er juin de chaque année. La Direction de la jeunesse et des sports en collaboration avec celle de la culture avec l'aide de plusieurs daïras et communes, ont concocté un riche programme pour nos chérubins. Ambiance et découvertes seront au rendez-vous durant tout le mois de juin et non uniquement la journée du 1er. Excursions, théâtre, animation, sorties de découverte, campagnes de sensibilisation contre certaines maladies et les phénomènes sociaux : drogue, cigarette et la violence sous toutes ses formes. Il est prévu, égalemnt une réedition du programme «Les enfants fêtent le printemps», organisé par la Direction de la jeunesse et des sport au mois de mars dernier. Plusieurs excursions seront organisées durant tout le mois de juin, des animations et des pièces de théâtre seront proposées au TNA ainsi que dans plusieurs salles de cinéma. Plus de 12 mille enfants sont concernés par ces festivités. La Journée mondiale de l'enfance, qui coïncide avec l'ouverture officielle de la saison estivale, permettra aux enfants de profiter de la mer. Des excursions vers les régions montagneuses sont programmées «dans le but de sensibiliser les jeunes enfants de l'importance de l'environnement et l'obligation de sa protection pour une vie meilleure», nous dit-on. «Ces programmes permettent aux enfants de faire des échanges augmentant ainsi leurs chances d'ouverture sur l'extérieur et leur confiance en soi», nous dira un encadreur choisi pour guider un groupe d'enfants en cette journée. L'association, «Pour une enfance heureuse» de Saïda, participera au programme de sensibilisation prévu dans la capitale. Son président nous dira à ce propos, «les enfants chez nous continuent d'être exposés à boucoup de dangers. Même les nombreuses lois, votées depuis l'Indépendance, sont restées sans effet, compte tenu du fait qu'il n'existe pas d'organisme officiel chargé de prendre en charge leurs problèmes». «Cette situation a atteint des proportions alarmantes. La loi n'a encore pas déterminé l'âge à partir duquel un enfant cesse d'être un enfant», explique M. Touffani. Il faut dire que l'enfance algéroise, à quelques exceptions, fête sa Journée mondiale dans des conditions désolantes ; exploitations, violence et analphabétisme, des enfants nés sous X et abandonnés. «3 mille enfants sont abandonnés, chaque année, dans la seule capitale», nous dit-on. «5 mille cas de maltraitance sont signalés à Alger seulement», précise M. Touffani. Ce dernier nous explique que ces chiffres représentent, les cas recensés et qu'il ne faut surtout pas oublier les multiples cas, qui pour diverses raisons, n'ont jamais été comptabilisés. Cela sans parler des décès prématurés, en l'absence d'une bonne couverture médicale. Des spécialistes annoncent le chiffre de «2 mille enfants n'arrivent pas à terme, 2 mille autres meurent avant l'âge d'1 an alors que la malnutrition affecte plus de 800 mille ». Selon des statistiques officieux «Plus de 300 mille enfants sont utilisés dans les sablières pour des travaux dangereux et dans la prostitution, plus de 25% des enfants algériens ont touché à la drogue, 5% en consomment régulièrement. 15 mille à 20 mille enfants sont SDF ne bénéficiant, de surcroît, d'aucune sorte d'intérêt de la part de la société», ce constat est proprement alarmant et la sonnette d'alarme est tirée. Tout le monde doit y mettre du sien pour offrir à nos enfants la vie qu'ils méritent. Comme chaque année, les petits algérois auront toute l'attention des adultes, l'espace d'une journée, en l'occurence leur Fête, célébrée à travers le monde le 1er juin de chaque année. La Direction de la jeunesse et des sports en collaboration avec celle de la culture avec l'aide de plusieurs daïras et communes, ont concocté un riche programme pour nos chérubins. Ambiance et découvertes seront au rendez-vous durant tout le mois de juin et non uniquement la journée du 1er. Excursions, théâtre, animation, sorties de découverte, campagnes de sensibilisation contre certaines maladies et les phénomènes sociaux : drogue, cigarette et la violence sous toutes ses formes. Il est prévu, égalemnt une réedition du programme «Les enfants fêtent le printemps», organisé par la Direction de la jeunesse et des sport au mois de mars dernier. Plusieurs excursions seront organisées durant tout le mois de juin, des animations et des pièces de théâtre seront proposées au TNA ainsi que dans plusieurs salles de cinéma. Plus de 12 mille enfants sont concernés par ces festivités. La Journée mondiale de l'enfance, qui coïncide avec l'ouverture officielle de la saison estivale, permettra aux enfants de profiter de la mer. Des excursions vers les régions montagneuses sont programmées «dans le but de sensibiliser les jeunes enfants de l'importance de l'environnement et l'obligation de sa protection pour une vie meilleure», nous dit-on. «Ces programmes permettent aux enfants de faire des échanges augmentant ainsi leurs chances d'ouverture sur l'extérieur et leur confiance en soi», nous dira un encadreur choisi pour guider un groupe d'enfants en cette journée. L'association, «Pour une enfance heureuse» de Saïda, participera au programme de sensibilisation prévu dans la capitale. Son président nous dira à ce propos, «les enfants chez nous continuent d'être exposés à boucoup de dangers. Même les nombreuses lois, votées depuis l'Indépendance, sont restées sans effet, compte tenu du fait qu'il n'existe pas d'organisme officiel chargé de prendre en charge leurs problèmes». «Cette situation a atteint des proportions alarmantes. La loi n'a encore pas déterminé l'âge à partir duquel un enfant cesse d'être un enfant», explique M. Touffani. Il faut dire que l'enfance algéroise, à quelques exceptions, fête sa Journée mondiale dans des conditions désolantes ; exploitations, violence et analphabétisme, des enfants nés sous X et abandonnés. «3 mille enfants sont abandonnés, chaque année, dans la seule capitale», nous dit-on. «5 mille cas de maltraitance sont signalés à Alger seulement», précise M. Touffani. Ce dernier nous explique que ces chiffres représentent, les cas recensés et qu'il ne faut surtout pas oublier les multiples cas, qui pour diverses raisons, n'ont jamais été comptabilisés. Cela sans parler des décès prématurés, en l'absence d'une bonne couverture médicale. Des spécialistes annoncent le chiffre de «2 mille enfants n'arrivent pas à terme, 2 mille autres meurent avant l'âge d'1 an alors que la malnutrition affecte plus de 800 mille ». Selon des statistiques officieux «Plus de 300 mille enfants sont utilisés dans les sablières pour des travaux dangereux et dans la prostitution, plus de 25% des enfants algériens ont touché à la drogue, 5% en consomment régulièrement. 15 mille à 20 mille enfants sont SDF ne bénéficiant, de surcroît, d'aucune sorte d'intérêt de la part de la société», ce constat est proprement alarmant et la sonnette d'alarme est tirée. Tout le monde doit y mettre du sien pour offrir à nos enfants la vie qu'ils méritent.