Sur décision du Premier ministre, M.Ahmed Ouyahia, une soixantaine de familles de la cité Tabriht, située au sud-est de la commune d'El Milia, 65 km à l'Est du chef lieu de wilaya de Jijel, ont été relogées, jeudi dernier dans de nouvelles habitations. Cette opération de relogement, chapeautée par les services de l'OPGI de Jijel, intervient moins de quinze jours après le sit-in de protestation de ces familles, organisé le lundi 17 mai devant le siège de la wilaya. Par cette action, les contestataires ont voulu attirer l'attention des autorités locales sur les dangers qui pèsent sur leurs têtes, du fait des fissures importantes ayant affecté leurs habitations situées au niveau des blocs de logements 20 et 21. Il convient de rappeler que le problème de ces familles a fait son apparition en 2007 et, depuis le temps, plusieurs requêtes ont été adressées aux responsables locaux de la wilaya qui, à leur tour, ont informé les autorités centrales compétentes de leurs doléances ainsi que des risques encourus par les locataires des deux immeubles. Ces derniers menaçaient de s'effondrer à tout moment. Les experts, dépêchés sur le terrain par le passé pour établir un diagnostic ont fait état d'une instabilité du sol sur lequel ont été construits les deux immeubles, en plus de deux autres, à savoir les blocs 5 et 6 qui, fort heureusement, n'ont pas été livrés à leurs propriétaires. On ne finira pas sans dire que le geste des autorités tant locales que centrales a été chaleureusement accueilli par les familles concernées et qu'un drame a pu être ainsi évité. Sur décision du Premier ministre, M.Ahmed Ouyahia, une soixantaine de familles de la cité Tabriht, située au sud-est de la commune d'El Milia, 65 km à l'Est du chef lieu de wilaya de Jijel, ont été relogées, jeudi dernier dans de nouvelles habitations. Cette opération de relogement, chapeautée par les services de l'OPGI de Jijel, intervient moins de quinze jours après le sit-in de protestation de ces familles, organisé le lundi 17 mai devant le siège de la wilaya. Par cette action, les contestataires ont voulu attirer l'attention des autorités locales sur les dangers qui pèsent sur leurs têtes, du fait des fissures importantes ayant affecté leurs habitations situées au niveau des blocs de logements 20 et 21. Il convient de rappeler que le problème de ces familles a fait son apparition en 2007 et, depuis le temps, plusieurs requêtes ont été adressées aux responsables locaux de la wilaya qui, à leur tour, ont informé les autorités centrales compétentes de leurs doléances ainsi que des risques encourus par les locataires des deux immeubles. Ces derniers menaçaient de s'effondrer à tout moment. Les experts, dépêchés sur le terrain par le passé pour établir un diagnostic ont fait état d'une instabilité du sol sur lequel ont été construits les deux immeubles, en plus de deux autres, à savoir les blocs 5 et 6 qui, fort heureusement, n'ont pas été livrés à leurs propriétaires. On ne finira pas sans dire que le geste des autorités tant locales que centrales a été chaleureusement accueilli par les familles concernées et qu'un drame a pu être ainsi évité.
