L'été pointe son nez et avec lui son cortège de tracas dont les piqûres d'insectes et autres hyménoptères. Les enfants, qui passent leur journée dehors, en sont les premières victimes. Que faire en cas de piqûres ? Quand suspecter une allergie ? L'été pointe son nez et avec lui son cortège de tracas dont les piqûres d'insectes et autres hyménoptères. Les enfants, qui passent leur journée dehors, en sont les premières victimes. Que faire en cas de piqûres ? Quand suspecter une allergie ? Le principal danger est celui qui guette l'allergique... qui s'ignore. Soyez donc vigilants : toute réaction anormale- sudation importante, bouffées d'angoisse - peut être évocatrice de la première manifestation d'une allergie. Ne la négligez pas, car une piqûre ultérieure pourrait avoir des conséquences graves. Donc si votre enfant ressent une impression de malaise, s'il épouve une gêne à la respiration ou paraît soudain « gonfler », emmenez-le d'urgence chez le médecin... ou aux urgences. Il vient de se faire piquer ? Si la réaction reste locale, ne vous inquiétez pas détendez-le ! L'application d'une pommade calmera la douleur. Cependant, vérifiez toujours que l'insecte n'a pas laissé son dard dans la peau... Faites attention à bien le saisir à sa base avec une pince à épiler. Vous éviterez ainsi de presser la poche à venin qui, parfois, lui reste attachée. Désinfectez ensuite avec un antiseptique et appliquez une compresse rafraîchissante. Et au moindre signe de réaction inhabituelle, consultez d'urgence un médecin. Prévention des piqûres de moustiques Les moustiques prolifèrent c'est bien connu, dans les eaux stagnantes. A la maison, commencez donc par éliminer tous les réservoirs extérieurs susceptibles de constituer un site de reproduction. C'est le cas des réservoirs pour la récupération des eaux de pluie et de tous les récipients artificiels : soucoupes, cache-pots, jouets…Souvenez-vous que les moustiques sont plus actifs à la tombée du jour. Pour profiter des longues soirées estivales, portez des vêtements longs et de couleurs claires. Et n'oubliez pas de couvrir les parties sensibles, comme les bras et les chevilles. Vous pouvez également recourir aux répulsifs, en les appliquant directement sur la peau (en insistant sur le visage et la nuque) mais également sur les vêtements. L'Organisation mondiale de la Santé (OMS) recommande principalement ceux qui renferment du DEET (N-diéthyl-3-méthylbenzamide), de l'IR3535 (esther éthylique de l'acide 3-[N-acétyl-N-butyl]-aminopropionique) ou de l'icaridine (1-piperidinecarboxylic acid, 2-(2-hydroxyethyl)- 1-méthylpropylester). Recherchez donc ces produits dans la liste des composants avant de faire votre choix. Toujours selon l'OMS, les spirales anti-moustiques et autres vaporisateurs (à la citronnelle par exemple) « peuvent aussi réduire les piqûres à l'intérieur des bâtiments ». Et pour dormir tranquille enfin, l'idéal reste d'entourer votre lit (ou celui de votre enfant) d'une moustiquaire imprégnée d'insecticides. Source CREAPHARM Le principal danger est celui qui guette l'allergique... qui s'ignore. Soyez donc vigilants : toute réaction anormale- sudation importante, bouffées d'angoisse - peut être évocatrice de la première manifestation d'une allergie. Ne la négligez pas, car une piqûre ultérieure pourrait avoir des conséquences graves. Donc si votre enfant ressent une impression de malaise, s'il épouve une gêne à la respiration ou paraît soudain « gonfler », emmenez-le d'urgence chez le médecin... ou aux urgences. Il vient de se faire piquer ? Si la réaction reste locale, ne vous inquiétez pas détendez-le ! L'application d'une pommade calmera la douleur. Cependant, vérifiez toujours que l'insecte n'a pas laissé son dard dans la peau... Faites attention à bien le saisir à sa base avec une pince à épiler. Vous éviterez ainsi de presser la poche à venin qui, parfois, lui reste attachée. Désinfectez ensuite avec un antiseptique et appliquez une compresse rafraîchissante. Et au moindre signe de réaction inhabituelle, consultez d'urgence un médecin. Prévention des piqûres de moustiques Les moustiques prolifèrent c'est bien connu, dans les eaux stagnantes. A la maison, commencez donc par éliminer tous les réservoirs extérieurs susceptibles de constituer un site de reproduction. C'est le cas des réservoirs pour la récupération des eaux de pluie et de tous les récipients artificiels : soucoupes, cache-pots, jouets…Souvenez-vous que les moustiques sont plus actifs à la tombée du jour. Pour profiter des longues soirées estivales, portez des vêtements longs et de couleurs claires. Et n'oubliez pas de couvrir les parties sensibles, comme les bras et les chevilles. Vous pouvez également recourir aux répulsifs, en les appliquant directement sur la peau (en insistant sur le visage et la nuque) mais également sur les vêtements. L'Organisation mondiale de la Santé (OMS) recommande principalement ceux qui renferment du DEET (N-diéthyl-3-méthylbenzamide), de l'IR3535 (esther éthylique de l'acide 3-[N-acétyl-N-butyl]-aminopropionique) ou de l'icaridine (1-piperidinecarboxylic acid, 2-(2-hydroxyethyl)- 1-méthylpropylester). Recherchez donc ces produits dans la liste des composants avant de faire votre choix. Toujours selon l'OMS, les spirales anti-moustiques et autres vaporisateurs (à la citronnelle par exemple) « peuvent aussi réduire les piqûres à l'intérieur des bâtiments ». Et pour dormir tranquille enfin, l'idéal reste d'entourer votre lit (ou celui de votre enfant) d'une moustiquaire imprégnée d'insecticides. Source CREAPHARM