Plus de 10 mille personnes pratiquent le tennis de table à travers le pays dans un cadre non structuré, soit comme simple hobby, a indiqué vendredi à Boumerdès le directeur technique national (DTN) de la Fédération algérienne de tennis de table, Mounir Mesbah. "Ces pongistes (hommes et femmes) ne sont affiliés à aucun club ni association, et n'ont jamais pris part à une quelconque compétition officielle" a précisé M. Mesbah dans une déclaration à l'APS, en marge des compétitions du championnat national de tennis de table ouvertes ce jeudi à Boumerdès. Il a ajouté que ces jeunes amateurs de ping-pong pratiquent généralement ce sport au niveau des maisons de jeunes et autres salles polyvalentes disséminées à travers l'ensemble des communes et cités populaires du pays. C'est pourquoi M. Mesbah a estimé impérative la mise en place d'un "cadre légal qui permettra la mobilisation de moyens humains et matériels pour la structuration de ce nombre considérable de pongistes que la Fédération ne peut pas prendre en charge, car dénuée de tels moyens", a-t-il déploré. Parallèlement, il a fait part d'un effectif global de cinq mille adhérents à la Fédération nationale de tennis de table, coiffant des clubs et associations sportifs recensés à travers le pays, a-t-il indiqué. "Avec des moyens limités, la Fédération est néanmoins arrivée, en 2009, à lancer plusieurs écoles de formation au profit des toutes jeunes catégories, notamment à Mascara, Biskra, Ain Defla et Tiaret' afin, a-t-il dit, "d'aider à la promotion de cette discipline sportive qui a grandement besoin d'un cadre légal qui lui assurera un soutien pour assurer sa pérennisation". Pour sa part, le président de la Fédération de tennis de table, Brahim Nouioua, a signalé une multiplication des compétitions en tous genres (tournois, championnats), en plus de l'intensification des stages de perfectionnement (en Algérie et a l'étranger) au profit des éléments de la sélection nationale de tennis de table, depuis 2009, en vue du relèvement du niveau de cette discipline. Ce responsable a également fait cas d'efforts consentis en vue de la consécration de la nouvelle stratégie de la Fédération visant à "étendre la pratique de ce sport à travers le pays, par la signature de conventions avec différentes fédérations et organismes, dont les Scouts musulmans algériens (SMA), en vue d'assurer un meilleur encadrement et organisation à cette discipline". "Notre stratégie s'appuie principalement sur l'investissement dans la formation de l'élément humain spécialisé, seul apte à contribuer au développement et promotion des clubs de tennis de table, qui constituent le vivier de l'équipe nationale" a estimé M. Nouioua. Plus de 10 mille personnes pratiquent le tennis de table à travers le pays dans un cadre non structuré, soit comme simple hobby, a indiqué vendredi à Boumerdès le directeur technique national (DTN) de la Fédération algérienne de tennis de table, Mounir Mesbah. "Ces pongistes (hommes et femmes) ne sont affiliés à aucun club ni association, et n'ont jamais pris part à une quelconque compétition officielle" a précisé M. Mesbah dans une déclaration à l'APS, en marge des compétitions du championnat national de tennis de table ouvertes ce jeudi à Boumerdès. Il a ajouté que ces jeunes amateurs de ping-pong pratiquent généralement ce sport au niveau des maisons de jeunes et autres salles polyvalentes disséminées à travers l'ensemble des communes et cités populaires du pays. C'est pourquoi M. Mesbah a estimé impérative la mise en place d'un "cadre légal qui permettra la mobilisation de moyens humains et matériels pour la structuration de ce nombre considérable de pongistes que la Fédération ne peut pas prendre en charge, car dénuée de tels moyens", a-t-il déploré. Parallèlement, il a fait part d'un effectif global de cinq mille adhérents à la Fédération nationale de tennis de table, coiffant des clubs et associations sportifs recensés à travers le pays, a-t-il indiqué. "Avec des moyens limités, la Fédération est néanmoins arrivée, en 2009, à lancer plusieurs écoles de formation au profit des toutes jeunes catégories, notamment à Mascara, Biskra, Ain Defla et Tiaret' afin, a-t-il dit, "d'aider à la promotion de cette discipline sportive qui a grandement besoin d'un cadre légal qui lui assurera un soutien pour assurer sa pérennisation". Pour sa part, le président de la Fédération de tennis de table, Brahim Nouioua, a signalé une multiplication des compétitions en tous genres (tournois, championnats), en plus de l'intensification des stages de perfectionnement (en Algérie et a l'étranger) au profit des éléments de la sélection nationale de tennis de table, depuis 2009, en vue du relèvement du niveau de cette discipline. Ce responsable a également fait cas d'efforts consentis en vue de la consécration de la nouvelle stratégie de la Fédération visant à "étendre la pratique de ce sport à travers le pays, par la signature de conventions avec différentes fédérations et organismes, dont les Scouts musulmans algériens (SMA), en vue d'assurer un meilleur encadrement et organisation à cette discipline". "Notre stratégie s'appuie principalement sur l'investissement dans la formation de l'élément humain spécialisé, seul apte à contribuer au développement et promotion des clubs de tennis de table, qui constituent le vivier de l'équipe nationale" a estimé M. Nouioua.