"L'axe Annaba-Tunis, en matière de coopération économique et d'investissements fonctionne dans l'intérêt réciproque des uns et des autres. Après Capromet, société algéro-tunisienne qu'on peut, à juste titre d'ailleurs, considérer comme le pionnier tunisien à Annaba, de nouvelles perspectives, notamment dans le tourisme et la PME-PMI, s'affichent pour un meilleur développement de la région d'Annaba, qui attire de plus en plus les hommes d'affaires tunisiens…", c'est en ces termes plein d'optimisme, que le premier responsable de la chambre de commerce Seybouse de Annaba, confirme la relance de projets mixtes algéro-tunisiens, dans divers créneaux dans la 4e ville du pays. Pour Rachid Ghimouz, qui a eu à présider avant-hier au niveau du siège de la chambre Seybouse une importante rencontre entre les opérateurs économique tunisiens et leurs partenaires annabis, il y a une dynamique réelle et porteuse de croissance et de valeur ajoutée dans les joints ventures créés ou en voie de l'être entre opérateurs tunisiens et leurs homologues algériens à Annaba. Cette rencontre qui, comme le précise le numéro 1 de la Chambre de commerce d'Annaba, entre dans la convention de jumelage entre les deux villes : Bizerte et Annaba, a permis surtout aux deux parties d'identifier les différentes opportunités que présentent les deux marchés respéctifs en Tunisie et en Algérie pour nouer des partenariats spécifiques capables de booster les relations d'investissement dépassant le simple fait des échanges commerciaux. "Le tourisme, l'agro-alimentaire et l'artisanat sont les secteurs de prédilection ouverts au savoir-faire et à l'expérience des opérateurs tunisiens", explique M. Djouini un industriel tunisien, qui compte lancer prochainement, avec le concours d'industriels annabis, une usine de fabrication de verre dans la région. "La coopération avec des partenaires tunisiens est un grand avantage pour nous, investisseurs algériens. De nombreux paramètres plaidant pour le renforcement de cette coopération comme la proximité géographique et les besoins très proches du marchés locaux", confie un opérateur annabi versé dans la production de la tomate industrielle. "L'axe Annaba-Tunis, en matière de coopération économique et d'investissements fonctionne dans l'intérêt réciproque des uns et des autres. Après Capromet, société algéro-tunisienne qu'on peut, à juste titre d'ailleurs, considérer comme le pionnier tunisien à Annaba, de nouvelles perspectives, notamment dans le tourisme et la PME-PMI, s'affichent pour un meilleur développement de la région d'Annaba, qui attire de plus en plus les hommes d'affaires tunisiens…", c'est en ces termes plein d'optimisme, que le premier responsable de la chambre de commerce Seybouse de Annaba, confirme la relance de projets mixtes algéro-tunisiens, dans divers créneaux dans la 4e ville du pays. Pour Rachid Ghimouz, qui a eu à présider avant-hier au niveau du siège de la chambre Seybouse une importante rencontre entre les opérateurs économique tunisiens et leurs partenaires annabis, il y a une dynamique réelle et porteuse de croissance et de valeur ajoutée dans les joints ventures créés ou en voie de l'être entre opérateurs tunisiens et leurs homologues algériens à Annaba. Cette rencontre qui, comme le précise le numéro 1 de la Chambre de commerce d'Annaba, entre dans la convention de jumelage entre les deux villes : Bizerte et Annaba, a permis surtout aux deux parties d'identifier les différentes opportunités que présentent les deux marchés respéctifs en Tunisie et en Algérie pour nouer des partenariats spécifiques capables de booster les relations d'investissement dépassant le simple fait des échanges commerciaux. "Le tourisme, l'agro-alimentaire et l'artisanat sont les secteurs de prédilection ouverts au savoir-faire et à l'expérience des opérateurs tunisiens", explique M. Djouini un industriel tunisien, qui compte lancer prochainement, avec le concours d'industriels annabis, une usine de fabrication de verre dans la région. "La coopération avec des partenaires tunisiens est un grand avantage pour nous, investisseurs algériens. De nombreux paramètres plaidant pour le renforcement de cette coopération comme la proximité géographique et les besoins très proches du marchés locaux", confie un opérateur annabi versé dans la production de la tomate industrielle.