A Tazmalt comme dans de nombreuses localités à travers le territoire national, le feuilleton de l'été a souvent pour titre "l'eau potable" pour ne pas dire portable. Non que les citoyens en bénéficient, surtout de celle salée, mais parce que cette denrée est souvent aux abonnés absents en cette période ou l'on en a le plus besoin. À tazmalt, commune de la wilaya de Bejaia la chronique sera sans doute défrayée cet été. En effet les abonnésau réseau de l'eau potable ont tous été destinataires de lettres de "menaces", dont des copies nous sont parvenues. Ces lettres reprennent les montants des impayés en la matière. Jusque là rien de plus normal, le proverbe bien de chez nous chez nous ne dit-il pas : «Celui qui a mangé doit payer»... , mais voilà justement c'est là où le bat blesse. En effet ces impayés remontent, pratiquement tous, à l'année 2001. Dans ce chapitre deux principaux points sont à relever, le premier étant celui de la prescription qui ne saurait excéder les cinq années même en matière fiscale. Le second point, et non des moindes, c'est que la majorité des compteurs d'eau ne fonctionnent pas et les quelques rares en bon état ne brassent que de l'air; attendu que l'eau manque même en période hivernale. Comment dans ces conditions cette administration a-t-elle pu relever ces sommes avec une exactitude allant jusqu'aux centimes. Ceci dit, un autre pourquoi de la chose peut être avancé. Comment fixer un ultimatum au 31 aout prochain alors que les robinets restent à sec. Que doit payer ce citoyen ? Pour certain l'ironie ira jusqu'à dire qu'ils (les abonnés) iront s'acquitter de ces dettes auprès des propriétaires de puits qui les ont laissé s'y alimenter tout au long de l'année. Pour le moment la grogne est éparse, mais le pire n'est pas à écarter si le nécessaire n'est pas fait car les écritures semblent être passées et enrolées auprès du trésorier communal. L'administration approchée, répond quant à elle, de façon évasive et l'on croit savoir qu'un ralentissement dans l'envoi des lettres est observé et que la solution finale a ce problème crucial devrait être trouvée dès le retour de congés du président de l'assemblée communale. A Tazmalt comme dans de nombreuses localités à travers le territoire national, le feuilleton de l'été a souvent pour titre "l'eau potable" pour ne pas dire portable. Non que les citoyens en bénéficient, surtout de celle salée, mais parce que cette denrée est souvent aux abonnés absents en cette période ou l'on en a le plus besoin. À tazmalt, commune de la wilaya de Bejaia la chronique sera sans doute défrayée cet été. En effet les abonnésau réseau de l'eau potable ont tous été destinataires de lettres de "menaces", dont des copies nous sont parvenues. Ces lettres reprennent les montants des impayés en la matière. Jusque là rien de plus normal, le proverbe bien de chez nous chez nous ne dit-il pas : «Celui qui a mangé doit payer»... , mais voilà justement c'est là où le bat blesse. En effet ces impayés remontent, pratiquement tous, à l'année 2001. Dans ce chapitre deux principaux points sont à relever, le premier étant celui de la prescription qui ne saurait excéder les cinq années même en matière fiscale. Le second point, et non des moindes, c'est que la majorité des compteurs d'eau ne fonctionnent pas et les quelques rares en bon état ne brassent que de l'air; attendu que l'eau manque même en période hivernale. Comment dans ces conditions cette administration a-t-elle pu relever ces sommes avec une exactitude allant jusqu'aux centimes. Ceci dit, un autre pourquoi de la chose peut être avancé. Comment fixer un ultimatum au 31 aout prochain alors que les robinets restent à sec. Que doit payer ce citoyen ? Pour certain l'ironie ira jusqu'à dire qu'ils (les abonnés) iront s'acquitter de ces dettes auprès des propriétaires de puits qui les ont laissé s'y alimenter tout au long de l'année. Pour le moment la grogne est éparse, mais le pire n'est pas à écarter si le nécessaire n'est pas fait car les écritures semblent être passées et enrolées auprès du trésorier communal. L'administration approchée, répond quant à elle, de façon évasive et l'on croit savoir qu'un ralentissement dans l'envoi des lettres est observé et que la solution finale a ce problème crucial devrait être trouvée dès le retour de congés du président de l'assemblée communale.