La destination Sidi Fredj en période estivale est devenue le point noir des automobilistes qui veulent se rendre aux plages des abords immédiats ou encore au port pour y déambuler ou prendre des glaces en famille. Le bouchon commence à se profiler à la première bretelle de La Bridja à la faveur du barrage de la gendarmerie au niveau du carrefour qui mène vers Staouéli. Les voitures roulent au pas quand ce n'est pas pare-choc contre pare-choc. L'entrée au complexe de L'EGT de Sidi Fredj ralentie par le péage du parking au niveau de la brigade de la Gendarmerie nationale demande aux conducteurs d'avoir des nerfs d'acier pour prendre leur mal en patience pour rallier une place pas vraiment de leur choix, « mais qu'importe, l'essentiel est d'être là», confie un automobiliste exténué au bout de la longue attente. Mais il y a pire affirme Mohamed «le soir, avec les activités artistiques du Casif il faut s'y prendre deux heures à l'avance si on veut arriver sans encombre». Il est vrai que le plan de circulation est devenu obsolète attendu un flux de voitures en constante augmentation. Une seule entrée, la même, utilisée pour sortir quand en fin d'après midi les plagistes rentrent chez eux exacerbent les famillles qui mettent un temps fou juste pour sortir de la petite route qui débouche sur l'Autoroute. Même la déviation du week-end n'arrange pas grand-chose, les usagers de la route restent parfois coincés jusqu'à minuit «de quoi vous faire regretter votre sortie» pour Ali père de famille. «Je fais le maximum pour faire plaisir à mes enfants, mais le prix à payer quelquefois est trop cher, les autorités devraient se pencher sérieusement sur ce problème», nous dira-t-il. Cette surconcentration de la population, du fait que les plages comme la Thalasso, Sidi Fredj, Plage Ouest et l'Hotel Ryad étant proches de la capitale, occasionne ainsi bon nombre de déboires aux automobilistes empruntant cette route. La destination Sidi Fredj en période estivale est devenue le point noir des automobilistes qui veulent se rendre aux plages des abords immédiats ou encore au port pour y déambuler ou prendre des glaces en famille. Le bouchon commence à se profiler à la première bretelle de La Bridja à la faveur du barrage de la gendarmerie au niveau du carrefour qui mène vers Staouéli. Les voitures roulent au pas quand ce n'est pas pare-choc contre pare-choc. L'entrée au complexe de L'EGT de Sidi Fredj ralentie par le péage du parking au niveau de la brigade de la Gendarmerie nationale demande aux conducteurs d'avoir des nerfs d'acier pour prendre leur mal en patience pour rallier une place pas vraiment de leur choix, « mais qu'importe, l'essentiel est d'être là», confie un automobiliste exténué au bout de la longue attente. Mais il y a pire affirme Mohamed «le soir, avec les activités artistiques du Casif il faut s'y prendre deux heures à l'avance si on veut arriver sans encombre». Il est vrai que le plan de circulation est devenu obsolète attendu un flux de voitures en constante augmentation. Une seule entrée, la même, utilisée pour sortir quand en fin d'après midi les plagistes rentrent chez eux exacerbent les famillles qui mettent un temps fou juste pour sortir de la petite route qui débouche sur l'Autoroute. Même la déviation du week-end n'arrange pas grand-chose, les usagers de la route restent parfois coincés jusqu'à minuit «de quoi vous faire regretter votre sortie» pour Ali père de famille. «Je fais le maximum pour faire plaisir à mes enfants, mais le prix à payer quelquefois est trop cher, les autorités devraient se pencher sérieusement sur ce problème», nous dira-t-il. Cette surconcentration de la population, du fait que les plages comme la Thalasso, Sidi Fredj, Plage Ouest et l'Hotel Ryad étant proches de la capitale, occasionne ainsi bon nombre de déboires aux automobilistes empruntant cette route.