Le mariage palestinien, une pièce de la troupe palestinienne "Aouda lilfounoun châabiya", a captivé le public à l'occasion de la première soirée du Festival national de théâtre amateur de Mostaganem. Cette troupe qui a donné le ton, samedi en soirée, à la 43e édition du Festival de Mostaganem, a émerveillé les spectateurs par la qualité et l'originalité de sa prestation. La pièce, écrite et mise en scène par Nadhir Haddad, traduit, notamment, la détermination des Palestiniens à vivre dans la dignité malgré la politique d'oppression et de persécution menée à leur encontre par l'occupant sioniste. "L'histoire, inspirée du vécu des Palestiniens, reflète les souffrances et les aspirations de tout un peuple, dont les rares moments de bonheur se manifestent à l'occasion des célébrations nuptiales", a expliqué un des comédiens de cette troupe. Au milieu de ces événements, se tisse une histoire d'amour entre un jeune couple palestinien qui aboutit au mariage. La pièce met en avant, près d'une heure de représentation, la douleur vécue au quotidien par ce peuple meurtri, mais aussi la fermeté de sa résistance face à l'occupation. Le public a apprécié ce spectacle en vibrant au rythme de la "taktouka" (musique), de la "debka" (danse) et des chants patriotiques palestiniens entonnés sur les planches de la Maison de la culture Ould Abderrahmane-Kaki. La troupe "Aouda lilfounoun chaâbiya" a à son actif plusieurs œuvres théâtrales, dont Jourh la yamout (blessure éternelle) qui traite également de la souffrance du peuple palestinien. Cette 43e édition du Festival national de théâtre amateur donnera lieu à 40 représentations théâtrales de troupes algériennes et étrangères qui se produiront, durant dix jours, à la Maison de la culture Ould Abderrahmane-Kaki et aux sièges des associations Ichara et El-Moudja. Des pièces de théâtre seront aussi jouées hors concours sur la scène du Théâtre régional Abdelkader-Alloula d'Oran (TRO). APS Le mariage palestinien, une pièce de la troupe palestinienne "Aouda lilfounoun châabiya", a captivé le public à l'occasion de la première soirée du Festival national de théâtre amateur de Mostaganem. Cette troupe qui a donné le ton, samedi en soirée, à la 43e édition du Festival de Mostaganem, a émerveillé les spectateurs par la qualité et l'originalité de sa prestation. La pièce, écrite et mise en scène par Nadhir Haddad, traduit, notamment, la détermination des Palestiniens à vivre dans la dignité malgré la politique d'oppression et de persécution menée à leur encontre par l'occupant sioniste. "L'histoire, inspirée du vécu des Palestiniens, reflète les souffrances et les aspirations de tout un peuple, dont les rares moments de bonheur se manifestent à l'occasion des célébrations nuptiales", a expliqué un des comédiens de cette troupe. Au milieu de ces événements, se tisse une histoire d'amour entre un jeune couple palestinien qui aboutit au mariage. La pièce met en avant, près d'une heure de représentation, la douleur vécue au quotidien par ce peuple meurtri, mais aussi la fermeté de sa résistance face à l'occupation. Le public a apprécié ce spectacle en vibrant au rythme de la "taktouka" (musique), de la "debka" (danse) et des chants patriotiques palestiniens entonnés sur les planches de la Maison de la culture Ould Abderrahmane-Kaki. La troupe "Aouda lilfounoun chaâbiya" a à son actif plusieurs œuvres théâtrales, dont Jourh la yamout (blessure éternelle) qui traite également de la souffrance du peuple palestinien. Cette 43e édition du Festival national de théâtre amateur donnera lieu à 40 représentations théâtrales de troupes algériennes et étrangères qui se produiront, durant dix jours, à la Maison de la culture Ould Abderrahmane-Kaki et aux sièges des associations Ichara et El-Moudja. Des pièces de théâtre seront aussi jouées hors concours sur la scène du Théâtre régional Abdelkader-Alloula d'Oran (TRO). APS