Il est agréable de constater qu'il existe à El Kala autre chose qui capte l'esprit des communs des mortels que les marchands de chiffons et de «bouffe». Ces derniers depuis longtemps ont déserté la cité vers d'autres cieux d'autres gains sans le moindre efforts. En effet, le visiteur sera agréablement surpris de découvrir à proximité de l'Hôtel de ville, la place située à deux pas de la mer, pas très loin de la place juste à droite du siège des services des examens, à l'intérieur de l'église de magnifiques cadeaux artisanaux à offrir. En ce lieu grouillant de monde, il y a des jeunes, des deux sexes d'ailleurs, exposant des objets de l'artisanat à la vente. Ce qui surprend le plus, ce sont l'amabilité et la gentillesse de ces jeunots de commerçants pas comme les autres. Ils prennent le temps sans se gêner de discuter avec vous, pour vous dire avec des expressions mielleuses propres aux gens de la région comment ils travaillent. Dès que vous leur dites que vous êtes journalistes ils entament un autre genre de discussion en exposant leurs préoccupations, les aléas qu'ils franchissent pour arriver à confectionner ces jolis cadeaux à offrir à une personne chère comme la poterie qu'on expose le long des routes de la chère Kabylie. Quant aux produits que l'on peut y trouver, ce sont surtout de petits bibelots servant à la décoration en céramique, en terre cuite, en bois ou en verre, des coquillages, des petits bateaux, des pipes de la bruyère travaillés de leurs propres mains d'artistes etc. A cet endroit précis, il y a même un marchand d'oiseaux qui vient s'installer en cet endroit chaque année. La fabrication se fait généralement dans de petits ateliers familiaux implantés dans les petites villes limitrophes de cette ville balnéaire. C'est pendant l'organisation de la fête de la ville que ces jeunes de conditions écoulent à des prix symboliques leurs marchandises mais combien précieux après avoir passé des journées merveilleuses dans cette ville où l'on gardera des souvenirs vivaces. Il est agréable de constater qu'il existe à El Kala autre chose qui capte l'esprit des communs des mortels que les marchands de chiffons et de «bouffe». Ces derniers depuis longtemps ont déserté la cité vers d'autres cieux d'autres gains sans le moindre efforts. En effet, le visiteur sera agréablement surpris de découvrir à proximité de l'Hôtel de ville, la place située à deux pas de la mer, pas très loin de la place juste à droite du siège des services des examens, à l'intérieur de l'église de magnifiques cadeaux artisanaux à offrir. En ce lieu grouillant de monde, il y a des jeunes, des deux sexes d'ailleurs, exposant des objets de l'artisanat à la vente. Ce qui surprend le plus, ce sont l'amabilité et la gentillesse de ces jeunots de commerçants pas comme les autres. Ils prennent le temps sans se gêner de discuter avec vous, pour vous dire avec des expressions mielleuses propres aux gens de la région comment ils travaillent. Dès que vous leur dites que vous êtes journalistes ils entament un autre genre de discussion en exposant leurs préoccupations, les aléas qu'ils franchissent pour arriver à confectionner ces jolis cadeaux à offrir à une personne chère comme la poterie qu'on expose le long des routes de la chère Kabylie. Quant aux produits que l'on peut y trouver, ce sont surtout de petits bibelots servant à la décoration en céramique, en terre cuite, en bois ou en verre, des coquillages, des petits bateaux, des pipes de la bruyère travaillés de leurs propres mains d'artistes etc. A cet endroit précis, il y a même un marchand d'oiseaux qui vient s'installer en cet endroit chaque année. La fabrication se fait généralement dans de petits ateliers familiaux implantés dans les petites villes limitrophes de cette ville balnéaire. C'est pendant l'organisation de la fête de la ville que ces jeunes de conditions écoulent à des prix symboliques leurs marchandises mais combien précieux après avoir passé des journées merveilleuses dans cette ville où l'on gardera des souvenirs vivaces.