A la veille du mois sacré du Ramadhan, les prix des fruits et légumes semblent se stabiliser au niveau de quelques agglomérations de la wilaya mais ils sont brûlants au niveau des localités de Ain Assel, El Kala, Dréan, en Mhidi et Bouhadjar. Mêmes les légumes et fruits de saison n'échappent pas. Le raisin fruit de saison est à plus de 200 dinars le kilo, même la montée du mercure est à l'origine de ces hausses illicites . Les prix demeurent hors de portée des couches sociales modestes. A El Tarf, les ménagères pour pouvoir trouver le bon prix doivent être patientes et attendre le jour du marché hebdomadaire. Chez les marchands ambulants ainsi qu'au détail la pomme de terre dépassait les 40 DA/kg , la moins chère se situe aux environs de 35 voire 55 DA/kg à El Kala. Cette dernière agglomération, une ville balnéaire qui accueille plus de deux millions d'estivants par an, est jugée la ville la plus chère d'Algérie. Un simple plat cuisiné coûte les yeux de la tête et sans que personne ne puisse bouger le petit doigt. L'oignon pour sa part en cette première semaine du mois d'août ne descend toujours pas sous la barre des 30 DA/kg, alors que les aubergines sont cédées à 55 DA/kg. Les navets, la salade verte et les carottes affichent des prix oscillant de 40 à 80 DA/kg. Le piment qui, au début de cet été, se vendait à plus de 120 DA/kg, a vu son prix osciller jusqu'à 140DA/kg. Quant au citron, il est toujours proposé à 300 DA/kg. Les prix des fruits sont également en légère baisse, mais souvent insignifiante. La pomme Golden à 230 DA, la pomme locale à 90 dinars le kilo, la banane à 150 dinars, le melon à 60 dinars/kg, la poire à 170 dinars le kilo. Même à ces prix, il est impossible de trouver sur les étals des légumes et des fruits de bonne qualité. Au niveau des bouchers, les prix sont depuis hier brûlants, la viande rouge à 900 dinars, le poulet grimpe subitement à 300 dinars le kilo. Les ménagères ne savent plus où donner de la tête. A la veille du mois sacré du Ramadhan, les prix des fruits et légumes semblent se stabiliser au niveau de quelques agglomérations de la wilaya mais ils sont brûlants au niveau des localités de Ain Assel, El Kala, Dréan, en Mhidi et Bouhadjar. Mêmes les légumes et fruits de saison n'échappent pas. Le raisin fruit de saison est à plus de 200 dinars le kilo, même la montée du mercure est à l'origine de ces hausses illicites . Les prix demeurent hors de portée des couches sociales modestes. A El Tarf, les ménagères pour pouvoir trouver le bon prix doivent être patientes et attendre le jour du marché hebdomadaire. Chez les marchands ambulants ainsi qu'au détail la pomme de terre dépassait les 40 DA/kg , la moins chère se situe aux environs de 35 voire 55 DA/kg à El Kala. Cette dernière agglomération, une ville balnéaire qui accueille plus de deux millions d'estivants par an, est jugée la ville la plus chère d'Algérie. Un simple plat cuisiné coûte les yeux de la tête et sans que personne ne puisse bouger le petit doigt. L'oignon pour sa part en cette première semaine du mois d'août ne descend toujours pas sous la barre des 30 DA/kg, alors que les aubergines sont cédées à 55 DA/kg. Les navets, la salade verte et les carottes affichent des prix oscillant de 40 à 80 DA/kg. Le piment qui, au début de cet été, se vendait à plus de 120 DA/kg, a vu son prix osciller jusqu'à 140DA/kg. Quant au citron, il est toujours proposé à 300 DA/kg. Les prix des fruits sont également en légère baisse, mais souvent insignifiante. La pomme Golden à 230 DA, la pomme locale à 90 dinars le kilo, la banane à 150 dinars, le melon à 60 dinars/kg, la poire à 170 dinars le kilo. Même à ces prix, il est impossible de trouver sur les étals des légumes et des fruits de bonne qualité. Au niveau des bouchers, les prix sont depuis hier brûlants, la viande rouge à 900 dinars, le poulet grimpe subitement à 300 dinars le kilo. Les ménagères ne savent plus où donner de la tête.