Le commerce informel ne cesse ces dernières années, d'étendre, telle une pieuvre, ses tentacules dans toutes les directions du territoire de la wilaya de Tizi-Ouzou, notamment au niveau du chef-lieu de wilaya envahi par une kyrielle de "trabendistes" en tous genres, qui ont squatté la quasi-totalité des places publiques, dévoyées de leur vocation première. Le commerce informel ne cesse ces dernières années, d'étendre, telle une pieuvre, ses tentacules dans toutes les directions du territoire de la wilaya de Tizi-Ouzou, notamment au niveau du chef-lieu de wilaya envahi par une kyrielle de "trabendistes" en tous genres, qui ont squatté la quasi-totalité des places publiques, dévoyées de leur vocation première. Ce constat peut être aisément vérifié par le commun des mortels au niveau du boulevard Lamali, longeant le CHU et menant vers le Campus universitaire de Hasnaoua I, baptisé par la vox populi de "Boulevard-plage", appellation fantaisiste mais assez significative pour rendre compte de la grande anarchie y régnant à longueur d'année. Cette appellation, ce lieu la doit aux nombreux parasols et tentes dressés par des vendeurs occasionnels sur les trottoirs bordant le boulevard, pour y étaler leurs marchandises, où se côtoient articles d'habillement, quincaillerie, fournitures scolaires, accessoires de plages, denrées alimentaires et autres produits de pacotille, occupant le moindre recoin de ce bazar à ciel ouvert, et obligeant souvent les passants à slalomer entre des objets hétéroclites pour se frayer un chemin, tout en prenant garde de ne pas cogner contre le "butin" au risque de s'attirer les foudres du propriétaire. Seul le gain semble compter pour ces vendeurs, s'insurgent des citoyens. En squattant cet axe et en y entravant la circulation, déplorent nombre d'entre eux, ils ne se rendent même pas compte que "leur incivisme doublé de cupidité" peut entraîner la mort de malades évacués en urgence par des ambulances vers ce CHU, à vocation régionale et sollicité par un bassin de population de plus de 4 millions de personnes. Pourtant, nul n'ignore qu'une minute de gagnée dans la prise en charge d'un malade peut sauver une vie, alors que la perte du même intervalle de temps pourrait être fatale pour un blessé atteint d'hémorragie, a-t-on relevé. Malheureusement, ces "commerçants demeurent insensibles" devant le hurlement des sirènes des ambulances, déclenché dans le but de dégager la voie à la circulation. Le même "spectacle" prévaut également au niveau de la rue Chafai jouxtant la polyclinique Nabila Djahnine de M'douha, où l'évacuation des malades est devenue, de par l'encombrement y sévissant, un exercice périlleux, une course contre la montre et la mort, particulièrement pour les femmes transportées pour y accoucher. Cette situation est également préjudiciable, à plus d'un titre, pour la santé et la sécurité des consommateurs, sans compter les multiples nuisances et atteintes à l'environnement et à l'ordre public, ainsi que le manque à gagner pour le fisc et l'APC de Tizi-Ouzou, qui semble, en tout cas, déplorent beaucoup de citoyens, avoir définitivement perdu le contrôle de ces espaces devenus, par habitude et la force des choses, des "no man's land" très sollicités par les gens de petite condition à la recherche d'une "bonne affaire" qu'ils ne peuvent dénicher au niveau des magasins, pratiquant des prix jugés inabordables. Pourtant, ces vendeurs ont été chassés à plusieurs reprises par la police de ces lieux publics, mais ils finissent toujours par s'y réinstaller, à la moindre occasion, confirmant ainsi l'adage disant "chasser le naturel il revient au galop". Devant la persistance de ce phénomène et à défaut de pouvoir restituer ces lieux à leur vocation initiale, d'aucuns vont jusqu'à suggérer de "délocaliser" l'hôpital et la polyclinique. D'autres soulignent la nécessité de réaliser des espaces commerciaux appropriés pour l'accueil et la régularisation de ces activités informelles. "Quand devra-t-on réagir pour que la ville de Tizi-Ouzou retrouve son lustre d'antan et ne devienne pas un dépotoir ?", s'interrogent de nombreux citoyens indisposés par ce "panorama de désolation", tout en soulignant que"les événements qu'avait connus la région ne doivent plus servir de prétexte, pour justifier cette situation, comme le font certains". APS Ce constat peut être aisément vérifié par le commun des mortels au niveau du boulevard Lamali, longeant le CHU et menant vers le Campus universitaire de Hasnaoua I, baptisé par la vox populi de "Boulevard-plage", appellation fantaisiste mais assez significative pour rendre compte de la grande anarchie y régnant à longueur d'année. Cette appellation, ce lieu la doit aux nombreux parasols et tentes dressés par des vendeurs occasionnels sur les trottoirs bordant le boulevard, pour y étaler leurs marchandises, où se côtoient articles d'habillement, quincaillerie, fournitures scolaires, accessoires de plages, denrées alimentaires et autres produits de pacotille, occupant le moindre recoin de ce bazar à ciel ouvert, et obligeant souvent les passants à slalomer entre des objets hétéroclites pour se frayer un chemin, tout en prenant garde de ne pas cogner contre le "butin" au risque de s'attirer les foudres du propriétaire. Seul le gain semble compter pour ces vendeurs, s'insurgent des citoyens. En squattant cet axe et en y entravant la circulation, déplorent nombre d'entre eux, ils ne se rendent même pas compte que "leur incivisme doublé de cupidité" peut entraîner la mort de malades évacués en urgence par des ambulances vers ce CHU, à vocation régionale et sollicité par un bassin de population de plus de 4 millions de personnes. Pourtant, nul n'ignore qu'une minute de gagnée dans la prise en charge d'un malade peut sauver une vie, alors que la perte du même intervalle de temps pourrait être fatale pour un blessé atteint d'hémorragie, a-t-on relevé. Malheureusement, ces "commerçants demeurent insensibles" devant le hurlement des sirènes des ambulances, déclenché dans le but de dégager la voie à la circulation. Le même "spectacle" prévaut également au niveau de la rue Chafai jouxtant la polyclinique Nabila Djahnine de M'douha, où l'évacuation des malades est devenue, de par l'encombrement y sévissant, un exercice périlleux, une course contre la montre et la mort, particulièrement pour les femmes transportées pour y accoucher. Cette situation est également préjudiciable, à plus d'un titre, pour la santé et la sécurité des consommateurs, sans compter les multiples nuisances et atteintes à l'environnement et à l'ordre public, ainsi que le manque à gagner pour le fisc et l'APC de Tizi-Ouzou, qui semble, en tout cas, déplorent beaucoup de citoyens, avoir définitivement perdu le contrôle de ces espaces devenus, par habitude et la force des choses, des "no man's land" très sollicités par les gens de petite condition à la recherche d'une "bonne affaire" qu'ils ne peuvent dénicher au niveau des magasins, pratiquant des prix jugés inabordables. Pourtant, ces vendeurs ont été chassés à plusieurs reprises par la police de ces lieux publics, mais ils finissent toujours par s'y réinstaller, à la moindre occasion, confirmant ainsi l'adage disant "chasser le naturel il revient au galop". Devant la persistance de ce phénomène et à défaut de pouvoir restituer ces lieux à leur vocation initiale, d'aucuns vont jusqu'à suggérer de "délocaliser" l'hôpital et la polyclinique. D'autres soulignent la nécessité de réaliser des espaces commerciaux appropriés pour l'accueil et la régularisation de ces activités informelles. "Quand devra-t-on réagir pour que la ville de Tizi-Ouzou retrouve son lustre d'antan et ne devienne pas un dépotoir ?", s'interrogent de nombreux citoyens indisposés par ce "panorama de désolation", tout en soulignant que"les événements qu'avait connus la région ne doivent plus servir de prétexte, pour justifier cette situation, comme le font certains". APS