Le chef-lieu de wilaya abrite plus de 180 mille âmes, car ces dernières années des réalisations importantes ont été concrétisées consécutivement aux divers programmes de développement initiés par les pouvoirs publics. La ville de Guelma n'est plus le chef-lieu de daïra des années 70, elle est devenue une grande métropole qui n'a rien à envier aux autres wilayas puisque les urbanistes ont conçu de larges boulevards, des avenues, des voies de communications et des rues pour assurer la fluidité de la circulation routière intra-muros. Toutefois, ces réalisations louables n'ont pas été suivies par la réactualisation du plan de circulation qui est désormais dépassé et ne répond plus aux problèmes de l'heure. En effet, les feux tricolores mis en place durant les années 80 sont les seuls qui fonctionnent, hormis ceux du carrefour du cimetière des Chouhada, en service voilà à peine quelques mois. Selon des professionnels, il est temps d'installer des feux tricolores au niveau de Bab Annaba, Bab Constantine, Bab Souk-Ahras et des carrefours des boulevards du Volontariat, du 1er-Novembre, Souidani-Boudjemaâ, de la place du 19-Mars, des cités Aïn-Defla, Hadj Embarek, Gahdour, Emir Abdelkader où des embouteillages et des bouchons sont quotidiennement enregistrés, surtout aux heures de pointe. Qu'il pleuve, vente ou neige, ce sont les agents de la sûreté de wilaya qui sont mobilisés pour réguler la circulation ! Il est temps de se mettre au diapason et d'installer des équipements modernes et de pointe car la ville étouffe sous le flux des véhicules ! Les panneaux de signalisation gagneraient à être réactualisés par la commission pluridisciplinaire qui doit être sur le terrain pour mettre un terme aux anomalies et aberrations auxquelles sont confrontés les automobilistes et même les piétons. En effet, les sens interdits des rues Patrice-Lumumba, Djouadi-Mohamed, Zaïmia-Azzedine et autres ne sont pas matérialisés par les panneaux obligatoires, et cette carence engendre des déboires aux citoyens. D'aucuns se demandent pourquoi les stationnements autorisés les jours pairs et impairs ne sont pas appliqués par les services compétents au niveau des rues commerçantes, voies principales pour assurer la fluidité de la circulation. De toute évidence, ce dossier sensible a été maintes fois évoqué par les élus de l'APW et les représentants de la société civile lors des rencontres périodiques avec les autorités locales. Il reste à espérer que ces légitimes attentes citoyennes seront prises en charge dans un avenir proche par les responsables concernés. Le chef-lieu de wilaya abrite plus de 180 mille âmes, car ces dernières années des réalisations importantes ont été concrétisées consécutivement aux divers programmes de développement initiés par les pouvoirs publics. La ville de Guelma n'est plus le chef-lieu de daïra des années 70, elle est devenue une grande métropole qui n'a rien à envier aux autres wilayas puisque les urbanistes ont conçu de larges boulevards, des avenues, des voies de communications et des rues pour assurer la fluidité de la circulation routière intra-muros. Toutefois, ces réalisations louables n'ont pas été suivies par la réactualisation du plan de circulation qui est désormais dépassé et ne répond plus aux problèmes de l'heure. En effet, les feux tricolores mis en place durant les années 80 sont les seuls qui fonctionnent, hormis ceux du carrefour du cimetière des Chouhada, en service voilà à peine quelques mois. Selon des professionnels, il est temps d'installer des feux tricolores au niveau de Bab Annaba, Bab Constantine, Bab Souk-Ahras et des carrefours des boulevards du Volontariat, du 1er-Novembre, Souidani-Boudjemaâ, de la place du 19-Mars, des cités Aïn-Defla, Hadj Embarek, Gahdour, Emir Abdelkader où des embouteillages et des bouchons sont quotidiennement enregistrés, surtout aux heures de pointe. Qu'il pleuve, vente ou neige, ce sont les agents de la sûreté de wilaya qui sont mobilisés pour réguler la circulation ! Il est temps de se mettre au diapason et d'installer des équipements modernes et de pointe car la ville étouffe sous le flux des véhicules ! Les panneaux de signalisation gagneraient à être réactualisés par la commission pluridisciplinaire qui doit être sur le terrain pour mettre un terme aux anomalies et aberrations auxquelles sont confrontés les automobilistes et même les piétons. En effet, les sens interdits des rues Patrice-Lumumba, Djouadi-Mohamed, Zaïmia-Azzedine et autres ne sont pas matérialisés par les panneaux obligatoires, et cette carence engendre des déboires aux citoyens. D'aucuns se demandent pourquoi les stationnements autorisés les jours pairs et impairs ne sont pas appliqués par les services compétents au niveau des rues commerçantes, voies principales pour assurer la fluidité de la circulation. De toute évidence, ce dossier sensible a été maintes fois évoqué par les élus de l'APW et les représentants de la société civile lors des rencontres périodiques avec les autorités locales. Il reste à espérer que ces légitimes attentes citoyennes seront prises en charge dans un avenir proche par les responsables concernés.