Si l'hygiène et la propreté sont deux mentions attribuées à la ville de Sétif, cela relève de la tradition des citoyens à contribuer activement à l'embellissement urbain de leur cité. Une sorte d'orgueil et de fierté du Sétifien voué à sa ville. Les responsables ainsi que les services communaux sont constamment « interpellés » afin de venir à bout des défaillances enregistrées dans la gestion des affaires des quartiers, notamment dans les domaines du nettoiement et de l'hygiène loin de toute organisation citoyenne officielle en comités de quartier. Même si les pouvoirs publics estiment que les structures des comités de quartier sont inévitables pour l'organisation citoyenne, du côté des riverains cette formule est jugée désormais comme désuète, circonstancielle et loin de répondre aux attentes des habitants, car orientée vers d'autres impératifs, tel que les opérations de distribution de logements sociaux ainsi que la mobilisation citoyenne à l'occasion des échéances électorales. Du côté de l'APC, les manœuvres les plus actives sont notées en période estivale et notamment au mois de Ramadhan où les services sont doublés. Selon le responsable du parc communal, des programmes spéciaux d'hygiène sont mis en œuvre en cette période au niveau de tous les quartiers, sous-tendus par un vaste travail de sensibilisation entrepris par le moyen de communication de proximité privilégié, à savoir la radio locale, Hidhab de Sétif. Une démarche jugée positive et opportune malgré le manque de civisme et de discipline urbaine constaté essentiellement au niveau des populations des nouvelles zones d'habitations urbaines, mais cela n'altère, outre mesure, en rien l'image marquante de "Sétif ville propre", nous déclare le vice-président d'APC chargé de l'urbanisme. Si la propreté est légion à Sétif, il faut bien rendre hommage aux travailleurs de l'ombre, ceux qui entament leur mission aux premières heures du matin, avant même l'appel du muezzin. En fait, ces travailleurs structurés au parc communal central de la ville qui demeure véritablement le « poumon » de la ville de Sétif en matière de gestion des travaux d'hygiène et de propreté urbaine. Implanté au centre de la ville sur plusieurs hectares, et structuré en 13 services dont celui de la propreté, de l'éclairage, de la peinture, de l'assainissement, l'action du parc vise quotidiennement à gérer les problèmes de la ville.. La stratégie adoptée pour la prise en charge de la gestion de l'hygiène de la ville relève inévitablement du mode d'organisation instauré au niveau du parc communal et le succès de « l'opération Ville propre» lancé en 1997 reflète bien son image et sa structure. En dehors de la gestion des affaires courantes de la ville, le chef de service nettoiement et hygiène est le plus sollicité à juste titre, en ce mois de Ramadhan, car il doit superviser le travail accompli par les équipes de nettoiement et veiller à leur renforcement grâce au système d'équipes « volantes » dans certaines zones sensibles de la ville. Si l'hygiène et la propreté sont deux mentions attribuées à la ville de Sétif, cela relève de la tradition des citoyens à contribuer activement à l'embellissement urbain de leur cité. Une sorte d'orgueil et de fierté du Sétifien voué à sa ville. Les responsables ainsi que les services communaux sont constamment « interpellés » afin de venir à bout des défaillances enregistrées dans la gestion des affaires des quartiers, notamment dans les domaines du nettoiement et de l'hygiène loin de toute organisation citoyenne officielle en comités de quartier. Même si les pouvoirs publics estiment que les structures des comités de quartier sont inévitables pour l'organisation citoyenne, du côté des riverains cette formule est jugée désormais comme désuète, circonstancielle et loin de répondre aux attentes des habitants, car orientée vers d'autres impératifs, tel que les opérations de distribution de logements sociaux ainsi que la mobilisation citoyenne à l'occasion des échéances électorales. Du côté de l'APC, les manœuvres les plus actives sont notées en période estivale et notamment au mois de Ramadhan où les services sont doublés. Selon le responsable du parc communal, des programmes spéciaux d'hygiène sont mis en œuvre en cette période au niveau de tous les quartiers, sous-tendus par un vaste travail de sensibilisation entrepris par le moyen de communication de proximité privilégié, à savoir la radio locale, Hidhab de Sétif. Une démarche jugée positive et opportune malgré le manque de civisme et de discipline urbaine constaté essentiellement au niveau des populations des nouvelles zones d'habitations urbaines, mais cela n'altère, outre mesure, en rien l'image marquante de "Sétif ville propre", nous déclare le vice-président d'APC chargé de l'urbanisme. Si la propreté est légion à Sétif, il faut bien rendre hommage aux travailleurs de l'ombre, ceux qui entament leur mission aux premières heures du matin, avant même l'appel du muezzin. En fait, ces travailleurs structurés au parc communal central de la ville qui demeure véritablement le « poumon » de la ville de Sétif en matière de gestion des travaux d'hygiène et de propreté urbaine. Implanté au centre de la ville sur plusieurs hectares, et structuré en 13 services dont celui de la propreté, de l'éclairage, de la peinture, de l'assainissement, l'action du parc vise quotidiennement à gérer les problèmes de la ville.. La stratégie adoptée pour la prise en charge de la gestion de l'hygiène de la ville relève inévitablement du mode d'organisation instauré au niveau du parc communal et le succès de « l'opération Ville propre» lancé en 1997 reflète bien son image et sa structure. En dehors de la gestion des affaires courantes de la ville, le chef de service nettoiement et hygiène est le plus sollicité à juste titre, en ce mois de Ramadhan, car il doit superviser le travail accompli par les équipes de nettoiement et veiller à leur renforcement grâce au système d'équipes « volantes » dans certaines zones sensibles de la ville.