La justice française, par le biais de la cour d'arbitrage de Paris, tranche en faveur de Sonatrach concernant le conflit l'opposant depuis 2007 à l'entreprise espagnole Gas Natural relatif au prix du gaz livré à la péninsule ibérique. La justice française, par le biais de la cour d'arbitrage de Paris, tranche en faveur de Sonatrach concernant le conflit l'opposant depuis 2007 à l'entreprise espagnole Gas Natural relatif au prix du gaz livré à la péninsule ibérique. Selon un communiqué du groupe espagnol, cette entreprise gazière va analyser la décision arbitrale rendue à Paris pour pouvoir déterminer les éventuelles actions à entreprendre dans l'objectif de protéger ses intérêts et ses droits. On ignore jusqu'à présent les détails exacts de cette décision de justice, mais selon le quotidien français "L'Expansion'', Gas Natural pourrait être contrainte de verser rétroactivement approximativement 1,5 milliard d'euros à l'entreprise algérienne des hydrocarbures sachant que cette arbitrage impartial de la cour de Paris a force de loi, donc sa décision ne pourrait être que loyale. La genèse de cette scabreuse affaire de guerre des prix entre les deux compagnies pétrolières a réellement commencé depuis l'année 2007 où Gas Natural a émis des contestations inhérentes aux hausses des tarifs du gaz naturel pratiqués par Sonatrach qui alimente la péninsule ibérique en gaz naturel par le gazoduc Maghreb-Europe et qui approvisionne principalement l'Espagne à hauteur d'un quart de sa consommation totale énergétique. Les informations dont on dispose actuellement font état d'une augmentation par Sonatrach des tarifs du gaz naturel livré à l'Espagne équivalents à 25 % des valeurs d'importations de l'Espagne à compter de l'année 2005. Mais les Espagnol ne veulent pas céder rapidement car il s'agit du deuxième jugement arbitral dans ce vieux contentieux, même si la firme ibérique Gas Natural a enregistré une baisse significative hier à la Bourse de Madrid. Dans l'esprit de la justice, Sonatrach a obtenu gain de cause et doit être dédommagée par la firme espagnole, en ce sens que la justice helvétique a déjà rendu une décision par le tribunal de Genève indiquant que Sonatrach n'avait pas à indemniser Gas Natural et le pétrolier Repsol à la suite de la dénonciation, il y a trois années, d'un accord relatif au projet de liquéfaction de gaz naturel de Gassi Touil (au sud de Hassi Messaoud). Selon un communiqué du groupe espagnol, cette entreprise gazière va analyser la décision arbitrale rendue à Paris pour pouvoir déterminer les éventuelles actions à entreprendre dans l'objectif de protéger ses intérêts et ses droits. On ignore jusqu'à présent les détails exacts de cette décision de justice, mais selon le quotidien français "L'Expansion'', Gas Natural pourrait être contrainte de verser rétroactivement approximativement 1,5 milliard d'euros à l'entreprise algérienne des hydrocarbures sachant que cette arbitrage impartial de la cour de Paris a force de loi, donc sa décision ne pourrait être que loyale. La genèse de cette scabreuse affaire de guerre des prix entre les deux compagnies pétrolières a réellement commencé depuis l'année 2007 où Gas Natural a émis des contestations inhérentes aux hausses des tarifs du gaz naturel pratiqués par Sonatrach qui alimente la péninsule ibérique en gaz naturel par le gazoduc Maghreb-Europe et qui approvisionne principalement l'Espagne à hauteur d'un quart de sa consommation totale énergétique. Les informations dont on dispose actuellement font état d'une augmentation par Sonatrach des tarifs du gaz naturel livré à l'Espagne équivalents à 25 % des valeurs d'importations de l'Espagne à compter de l'année 2005. Mais les Espagnol ne veulent pas céder rapidement car il s'agit du deuxième jugement arbitral dans ce vieux contentieux, même si la firme ibérique Gas Natural a enregistré une baisse significative hier à la Bourse de Madrid. Dans l'esprit de la justice, Sonatrach a obtenu gain de cause et doit être dédommagée par la firme espagnole, en ce sens que la justice helvétique a déjà rendu une décision par le tribunal de Genève indiquant que Sonatrach n'avait pas à indemniser Gas Natural et le pétrolier Repsol à la suite de la dénonciation, il y a trois années, d'un accord relatif au projet de liquéfaction de gaz naturel de Gassi Touil (au sud de Hassi Messaoud).