Les fellahs ont exprimé le vœu de s'installer sur leurs terres et ils sont encouragés par les autorités locales qui leur ont accordé des subventions conséquentes pour ériger leurs habitations. Plus de 320 logements ruraux ont été finalisés ces dernières années et distribués à des familles initialement recensées et méritantes. Les fellahs ont exprimé le vœu de s'installer sur leurs terres et ils sont encouragés par les autorités locales qui leur ont accordé des subventions conséquentes pour ériger leurs habitations. Plus de 320 logements ruraux ont été finalisés ces dernières années et distribués à des familles initialement recensées et méritantes. Perchée à 1.195 mètres d'altitude, réputée pour ses hivers rigoureux, la localité enclavée de Aïn-Sandel, rattachée à la daïra de Khézaras, distante de 35 kilomètres de Guelma, couvre une superficie de 71,47 km2 et abrite plus de 5.400 âmes, dont la majorité réside dans les mechtas éparses. En dépit de son relief montagneux, cette commune, qui regroupe les agglomérations de Aïn-Sandel, Aïn-Souda, Sebaâ Ayoune et les principales dechras de Maârouf, Djenane Rakhous et Ouidène Laâdjoul, jouit de bonnes conditions sécuritaires, sachant qu'elle a été épargnée par les hordes terroristes durant les années de braise. Le relief accidenté et montagneux ne se prête pas aux cultures intensives céréalières et 80% de cette population rurale vivant dans les mechtas s'adonnent aux cultures maraîchères et à l'élevage. Les fellahs ont exprimé le vœu de s'installer sur leurs terres et ils sont encouragés par les autorités locales qui leur ont accordé des subventions conséquentes pour ériger leurs habitations. Plus de 320 logements ruraux ont été finalisés ces dernières années et distribués à des familles initialement recensées et méritantes. Région agropastorale, ses habitants ont obtenu des micro-crédits auprès de l'Ansej pour se livrer essentiellement à l'élevage des vaches laitières, à l'apiculture et à l'aviculture. Concernant l'alimentation en eau potable, la couverture, selon les édiles, couvre 70 à 75% des besoins des administrés, puisque des fontaines publiques ont été réalisées au niveau des mechtas. Deux stations de pompage à mechta Djenane Rakhma alimentent un château d'eau de 250 m3 et un autre de 150 m3 à Aïn-Sandel. Cette localité a accompli d'énormes progrès en électrification (95% de couverture) et seules les mechtas El-Gourbadj et Rahli, totalisant 17 foyers, ne sont pas encore alimentées. Le gaz butane est disponible car il existe cinq dépôts de vente. Il a été retenu une opération d'alimentation en gaz naturel à partir de la commune limitrophe de Aïn-Larbi qui a bénéficié de cette source d'énergie suite au programme complémentaire octroyé par le Président de la République lors de sa visite officielle fin juin 2003 dans la wilaya de Guelma. Aïn-Sandel dispose d'un central téléphonique de 256 lignes numériques, et plus de 200 demandes pour le téléphone sans fil (WLL) formulées par les fellahs ont été honorées. L'APC peut se targuer d'occuper la première place quant au désenclavement, car 68 kilomètres de pistes carrossables ont été réalisées au profit des mechtas isolées. Trois autres pistes, totalisant une quinzaine de kilomètres, sont programmées pour rattacher les dechras restantes. Allouée dans le cadre du programme complémentaire, une enveloppe de 1,9 milliard de centimes a contribué à l'amélioration du cadre de vie des citoyens : assainissement, éclairage public, alimentation en eau potable, revêtement des rues des principales bourgades et ouverture de pistes. Dans le cadre du programme quinquennal, cette commune a bénéficié d'un lycée, d'un collège, d'une école primaire, de deux cantines scolaires, d'un stade, d'une maison de jeunes, d'un centre de santé, d'une bibliothèque, de terrains matéco et de quotas importants de logements ruraux, LSP et sociaux à caractère locatif. Aïn-Sandel, petite localité enclavée, administre une magistrale leçon de civisme et d'engagement aux APC de la wilaya, dont certaines sont confrontées à des dissensions partisanes qui entravent le décollage économique. Perchée à 1.195 mètres d'altitude, réputée pour ses hivers rigoureux, la localité enclavée de Aïn-Sandel, rattachée à la daïra de Khézaras, distante de 35 kilomètres de Guelma, couvre une superficie de 71,47 km2 et abrite plus de 5.400 âmes, dont la majorité réside dans les mechtas éparses. En dépit de son relief montagneux, cette commune, qui regroupe les agglomérations de Aïn-Sandel, Aïn-Souda, Sebaâ Ayoune et les principales dechras de Maârouf, Djenane Rakhous et Ouidène Laâdjoul, jouit de bonnes conditions sécuritaires, sachant qu'elle a été épargnée par les hordes terroristes durant les années de braise. Le relief accidenté et montagneux ne se prête pas aux cultures intensives céréalières et 80% de cette population rurale vivant dans les mechtas s'adonnent aux cultures maraîchères et à l'élevage. Les fellahs ont exprimé le vœu de s'installer sur leurs terres et ils sont encouragés par les autorités locales qui leur ont accordé des subventions conséquentes pour ériger leurs habitations. Plus de 320 logements ruraux ont été finalisés ces dernières années et distribués à des familles initialement recensées et méritantes. Région agropastorale, ses habitants ont obtenu des micro-crédits auprès de l'Ansej pour se livrer essentiellement à l'élevage des vaches laitières, à l'apiculture et à l'aviculture. Concernant l'alimentation en eau potable, la couverture, selon les édiles, couvre 70 à 75% des besoins des administrés, puisque des fontaines publiques ont été réalisées au niveau des mechtas. Deux stations de pompage à mechta Djenane Rakhma alimentent un château d'eau de 250 m3 et un autre de 150 m3 à Aïn-Sandel. Cette localité a accompli d'énormes progrès en électrification (95% de couverture) et seules les mechtas El-Gourbadj et Rahli, totalisant 17 foyers, ne sont pas encore alimentées. Le gaz butane est disponible car il existe cinq dépôts de vente. Il a été retenu une opération d'alimentation en gaz naturel à partir de la commune limitrophe de Aïn-Larbi qui a bénéficié de cette source d'énergie suite au programme complémentaire octroyé par le Président de la République lors de sa visite officielle fin juin 2003 dans la wilaya de Guelma. Aïn-Sandel dispose d'un central téléphonique de 256 lignes numériques, et plus de 200 demandes pour le téléphone sans fil (WLL) formulées par les fellahs ont été honorées. L'APC peut se targuer d'occuper la première place quant au désenclavement, car 68 kilomètres de pistes carrossables ont été réalisées au profit des mechtas isolées. Trois autres pistes, totalisant une quinzaine de kilomètres, sont programmées pour rattacher les dechras restantes. Allouée dans le cadre du programme complémentaire, une enveloppe de 1,9 milliard de centimes a contribué à l'amélioration du cadre de vie des citoyens : assainissement, éclairage public, alimentation en eau potable, revêtement des rues des principales bourgades et ouverture de pistes. Dans le cadre du programme quinquennal, cette commune a bénéficié d'un lycée, d'un collège, d'une école primaire, de deux cantines scolaires, d'un stade, d'une maison de jeunes, d'un centre de santé, d'une bibliothèque, de terrains matéco et de quotas importants de logements ruraux, LSP et sociaux à caractère locatif. Aïn-Sandel, petite localité enclavée, administre une magistrale leçon de civisme et d'engagement aux APC de la wilaya, dont certaines sont confrontées à des dissensions partisanes qui entravent le décollage économique.
