Le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, a appelé, à New York, les pays non-alignés à défendre les principes du droit international face aux graves bouleversements et déficiences dans les relations internationales. « Les pays non-alignés sont appelés, aujourd'hui plus qu'hier, à défendre les principes du droit international, notamment l'adoption de mesures concrètes pour faire face aux actes d'agression, la condamnation de la menace et l'usage de la force contre l'intégrité territoriale ou l'indépendance politique des Etats, la résolution pacifique des conflits, la défense du principe d'autodétermination des peuples, la promotion de la coopération internationale pour résoudre les problèmes socio-économiques et endiguer les crises internationales multiformes », a-t-il indiqué lors de la réunion du bureau de coordination du mouvement des pays non-alignés (PNA), tenue en marge des travaux de la 65e session de l'Assemblée générale de l'ONU. A ce propos, le ministre a considéré que le Mouvement des non-alignés ne pouvait demeurer indifférent devant les conflits qui guettent les pays membres et fragilisent leur cohésion, en particulier la situation au Moyen-Orient, en Irak, en Afghanistan, au Soudan et le reste de l'Afrique. Medelci a alors soutenu que ce mouvement devrait continuer à soutenir les droits inaliénables du peuple palestinien à vivre dans un Etat indépendant et souverain avec El Qods comme capitale et la nécessité du retrait israélien de tous les territoires arabes occupés depuis 1967, y compris du Liban et du Golan syrien. Rappelant l'importance que revêt le principe d'autodétermination des peuples qui a permis à l'écrasante majorité des Etats membres d'acquérir leur indépendance, le chef de la diplomatie algérienne a regretté, néanmoins, qu'il subsistait, à ce jour, un certain nombre de situations où ce principe se heurte à des obstacles. Cela est singulièrement le cas du Sahara Occidental dont « le processus de décolonisation connaît de graves entraves en dépit des résolutions pertinentes des Nations unies qui consacrent le droit à l'autodétermination du peuple sahraoui », a-t-il insisté. Ainsi, le mouvement des PNA « ne peut que réaffirmer son soutien au droit inaliénable du peuple sahraoui à l'autodétermination et devrait, à cet effet, exhorter les Nations unies et le Conseil de sécurité à mettre en œuvre les engagements de la communauté internationale en faveur de la décolonisation et de la libération des peuples, afin de permettre au peuple sahraoui d'exercer son droit universellement reconnu », a souligné Mourad Medelci. S'exprimant sur les questions socio-économiques, il a considéré que les efforts des PNA devraient être orientés encore plus en direction de la réalisation de projets concrets visant à atteindre les Objectifs du millénaire pour le développement (OMD) dont l'atténuation de la pauvreté, le développement des ressources humaines et le renforcement des capacités en matière de santé et d'éducation. Le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, a appelé, à New York, les pays non-alignés à défendre les principes du droit international face aux graves bouleversements et déficiences dans les relations internationales. « Les pays non-alignés sont appelés, aujourd'hui plus qu'hier, à défendre les principes du droit international, notamment l'adoption de mesures concrètes pour faire face aux actes d'agression, la condamnation de la menace et l'usage de la force contre l'intégrité territoriale ou l'indépendance politique des Etats, la résolution pacifique des conflits, la défense du principe d'autodétermination des peuples, la promotion de la coopération internationale pour résoudre les problèmes socio-économiques et endiguer les crises internationales multiformes », a-t-il indiqué lors de la réunion du bureau de coordination du mouvement des pays non-alignés (PNA), tenue en marge des travaux de la 65e session de l'Assemblée générale de l'ONU. A ce propos, le ministre a considéré que le Mouvement des non-alignés ne pouvait demeurer indifférent devant les conflits qui guettent les pays membres et fragilisent leur cohésion, en particulier la situation au Moyen-Orient, en Irak, en Afghanistan, au Soudan et le reste de l'Afrique. Medelci a alors soutenu que ce mouvement devrait continuer à soutenir les droits inaliénables du peuple palestinien à vivre dans un Etat indépendant et souverain avec El Qods comme capitale et la nécessité du retrait israélien de tous les territoires arabes occupés depuis 1967, y compris du Liban et du Golan syrien. Rappelant l'importance que revêt le principe d'autodétermination des peuples qui a permis à l'écrasante majorité des Etats membres d'acquérir leur indépendance, le chef de la diplomatie algérienne a regretté, néanmoins, qu'il subsistait, à ce jour, un certain nombre de situations où ce principe se heurte à des obstacles. Cela est singulièrement le cas du Sahara Occidental dont « le processus de décolonisation connaît de graves entraves en dépit des résolutions pertinentes des Nations unies qui consacrent le droit à l'autodétermination du peuple sahraoui », a-t-il insisté. Ainsi, le mouvement des PNA « ne peut que réaffirmer son soutien au droit inaliénable du peuple sahraoui à l'autodétermination et devrait, à cet effet, exhorter les Nations unies et le Conseil de sécurité à mettre en œuvre les engagements de la communauté internationale en faveur de la décolonisation et de la libération des peuples, afin de permettre au peuple sahraoui d'exercer son droit universellement reconnu », a souligné Mourad Medelci. S'exprimant sur les questions socio-économiques, il a considéré que les efforts des PNA devraient être orientés encore plus en direction de la réalisation de projets concrets visant à atteindre les Objectifs du millénaire pour le développement (OMD) dont l'atténuation de la pauvreté, le développement des ressources humaines et le renforcement des capacités en matière de santé et d'éducation.