Suite à un contrôle effectué jeudi passé sur un navire marchand à quai battant pavillon panaméen, le Ribal-Cruss, avec à son bord sept membres d'équipage de nationalité syrienne, les services de la station maritime des gardes-côtes de Ténès ont relevé vingt infractions à la navigation maritime, a-t-on appris de source crédible. Il s'agit, entre autres de divers documents dont la date de validité a expiré, tels que les certificats de sécurité et de sûreté, et de l'armement du navire qui n'est pas opérationnel. Sur ce dernier point, notre source fait part d'un groupe électrogène défaillant. L'autre infraction notifiée au Cdt du navire est le non-respect du règlement GMDSS (Global Maritime Distress and Safety System). Un procédé qui réglemente les systèmes, méthodes et appareils de communication surtout ce qui concerne la sécurité maritime et la détresse. Par ailleurs, afin de ne pas pénaliser l'entreprise importatrice, le déchargement de la cargaison constituée de bois a été autorisé. Quant aux poursuites judicaires, notre source nous a indiqué qu'un procès-verbal a été transmis au procureur de la République près le tribunal de Ténès qui devra statuer sur ces infractions. Le verdict est attendu pour aujourd'hui. Le navire est retenu jusqu'à prononciation de la décision de la juridiction compétente. Il faut dire que de plus en plus de "bateaux poubelles" accostent au port de Ténès, avec toutes les conséquences qui en découlent. Le cas de l'échouement du navire togolais, le Karim Junior, en novembre 2009 dans le port de Ténès est encore vivace dans les esprits. En effet, ce bateau qui figurait déjà sur la liste noire, donc non autorisé à la navigation maritime, a échoué à l'entrée du port occasionnant la mort de 2 marins, tandis que 6 autres sont toujours portés disparus. A ce sujet, on croit savoir que devant l'impossibilité de l'entreprise portuaire de Ténès de financer les opérations de renflouage du navire, estimées à plus de 8 milliards de centimes, il a été décidé la création d'un fonds auquel participeront la wilaya, les directions des travaux publics, de l'environnement et de la pêche. Cette opération, signale-t-on, est primordiale et revêt un caractère d'urgence car l'épave du Karim Junior menace à tout moment d'obstruer l'entrée principale du port de Ténès. Suite à un contrôle effectué jeudi passé sur un navire marchand à quai battant pavillon panaméen, le Ribal-Cruss, avec à son bord sept membres d'équipage de nationalité syrienne, les services de la station maritime des gardes-côtes de Ténès ont relevé vingt infractions à la navigation maritime, a-t-on appris de source crédible. Il s'agit, entre autres de divers documents dont la date de validité a expiré, tels que les certificats de sécurité et de sûreté, et de l'armement du navire qui n'est pas opérationnel. Sur ce dernier point, notre source fait part d'un groupe électrogène défaillant. L'autre infraction notifiée au Cdt du navire est le non-respect du règlement GMDSS (Global Maritime Distress and Safety System). Un procédé qui réglemente les systèmes, méthodes et appareils de communication surtout ce qui concerne la sécurité maritime et la détresse. Par ailleurs, afin de ne pas pénaliser l'entreprise importatrice, le déchargement de la cargaison constituée de bois a été autorisé. Quant aux poursuites judicaires, notre source nous a indiqué qu'un procès-verbal a été transmis au procureur de la République près le tribunal de Ténès qui devra statuer sur ces infractions. Le verdict est attendu pour aujourd'hui. Le navire est retenu jusqu'à prononciation de la décision de la juridiction compétente. Il faut dire que de plus en plus de "bateaux poubelles" accostent au port de Ténès, avec toutes les conséquences qui en découlent. Le cas de l'échouement du navire togolais, le Karim Junior, en novembre 2009 dans le port de Ténès est encore vivace dans les esprits. En effet, ce bateau qui figurait déjà sur la liste noire, donc non autorisé à la navigation maritime, a échoué à l'entrée du port occasionnant la mort de 2 marins, tandis que 6 autres sont toujours portés disparus. A ce sujet, on croit savoir que devant l'impossibilité de l'entreprise portuaire de Ténès de financer les opérations de renflouage du navire, estimées à plus de 8 milliards de centimes, il a été décidé la création d'un fonds auquel participeront la wilaya, les directions des travaux publics, de l'environnement et de la pêche. Cette opération, signale-t-on, est primordiale et revêt un caractère d'urgence car l'épave du Karim Junior menace à tout moment d'obstruer l'entrée principale du port de Ténès.