Le secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem, aura à examiner les rapports effectués par des membres du Bureau politique et du Comité central sur les irrégularités ayant entaché les élections des bureaux de kasmas dans plusieurs localités du pays. Le secrétaire général du FLN, Abdelaziz Belkhadem, aura à examiner les rapports effectués par des membres du Bureau politique et du Comité central sur les irrégularités ayant entaché les élections des bureaux de kasmas dans plusieurs localités du pays. Le Front de Libération nationale vient de convoquer une réunion générale pour ce samedi à Alger, afin de faire le point de la situation sur l'opération de renouvellement des structures de base du parti. Parlementaires, élus locaux, cadres dirigeants et militants du vieux parti se rencontreront en effet dans la capitale dans une tentative de contenir la situation qui risque le dérapage dans plusieurs wilayas. Selon des sources très proches du parti, le secrétaire général Abdelaziz Belkhadem aura à examiner les rapports effectués par des membres du Bureau politique et du Comité central sur les irrégularités ayant entaché les élections des bureaux de kasmas dans plusieurs localités à travers le pays. La situation est grave et les dirigeants du parti en sont visiblement conscients. Le scénario de 2004 est en train de se reproduire La base est en ébullition et les vieilles guéguerres refont surface. La réunion de samedi prochain se veut un rappel à l'ordre dans la maison FLN livrée à toutes formes d'anarchie depuis le début de l'opération de renouvellement des structures de base. Une opération qui devait prendre fin le mois dernier dans les kasmas pour entamer ensuite l'élection des bureaux de mouhafadhas. Ce n'est pas le cas. Le processus traîne retardé par de graves crises internes. Dans certaines wilayas, des militants du vieux parti, ne voulant en aucun cas ne pas figurer dans les bureaux de kasmas, la tension est montée d'un cran, créant un climat des plus électriques. Cela rappelle les péripéties qui ont conduit à l'éviction de Ali Benflis et ses partisans de la direction du parti. Les « redresseurs » d'alors ont usé de tous les moyens pour reprendre les rênes du FLN, mais, apparemment, on a pas pris le soin d'assainir définitivement les rangs. Les clivages réapparaissent et les esprits s'exacerbent à mesure que les élections législatives et municipales approchent. L'élaboration des listes électorales prévue pour le début de l'année prochaine risque également de traîner en longueur, compte tenu du retard dans l'élection des bureaux de kasmas et de mouhafadhas. C'est à toutes ces questions et bien d'autres auxquelles tenteront de répondre les dirigeants du parti lors de la rencontre de samedi prochain. Ce qui explique en partie l'échec des émissaires de Belkhadem dans leur mission d'aplanir les différends entre militants dans certains bureaux de wilayas. Quelle stratégie adoptera-t-on pour sortir le FLN de cette impasse ? Les solutions ne semblent pas nombreuses, face à l'acharnement de certains militants, ou plutôt, qui ont clairement affiché leur hostilité à l'actuelle direction du parti. Le Front de Libération nationale vient de convoquer une réunion générale pour ce samedi à Alger, afin de faire le point de la situation sur l'opération de renouvellement des structures de base du parti. Parlementaires, élus locaux, cadres dirigeants et militants du vieux parti se rencontreront en effet dans la capitale dans une tentative de contenir la situation qui risque le dérapage dans plusieurs wilayas. Selon des sources très proches du parti, le secrétaire général Abdelaziz Belkhadem aura à examiner les rapports effectués par des membres du Bureau politique et du Comité central sur les irrégularités ayant entaché les élections des bureaux de kasmas dans plusieurs localités à travers le pays. La situation est grave et les dirigeants du parti en sont visiblement conscients. Le scénario de 2004 est en train de se reproduire La base est en ébullition et les vieilles guéguerres refont surface. La réunion de samedi prochain se veut un rappel à l'ordre dans la maison FLN livrée à toutes formes d'anarchie depuis le début de l'opération de renouvellement des structures de base. Une opération qui devait prendre fin le mois dernier dans les kasmas pour entamer ensuite l'élection des bureaux de mouhafadhas. Ce n'est pas le cas. Le processus traîne retardé par de graves crises internes. Dans certaines wilayas, des militants du vieux parti, ne voulant en aucun cas ne pas figurer dans les bureaux de kasmas, la tension est montée d'un cran, créant un climat des plus électriques. Cela rappelle les péripéties qui ont conduit à l'éviction de Ali Benflis et ses partisans de la direction du parti. Les « redresseurs » d'alors ont usé de tous les moyens pour reprendre les rênes du FLN, mais, apparemment, on a pas pris le soin d'assainir définitivement les rangs. Les clivages réapparaissent et les esprits s'exacerbent à mesure que les élections législatives et municipales approchent. L'élaboration des listes électorales prévue pour le début de l'année prochaine risque également de traîner en longueur, compte tenu du retard dans l'élection des bureaux de kasmas et de mouhafadhas. C'est à toutes ces questions et bien d'autres auxquelles tenteront de répondre les dirigeants du parti lors de la rencontre de samedi prochain. Ce qui explique en partie l'échec des émissaires de Belkhadem dans leur mission d'aplanir les différends entre militants dans certains bureaux de wilayas. Quelle stratégie adoptera-t-on pour sortir le FLN de cette impasse ? Les solutions ne semblent pas nombreuses, face à l'acharnement de certains militants, ou plutôt, qui ont clairement affiché leur hostilité à l'actuelle direction du parti.