L'heure de vérité sonnera ce soir pour la JS Kabylie qui affrontera, à partir de 20h15, au stade du 1er-Novembre de Tizi-Ouzou, le Tout puissant Mazembe en match retour des demi-finales de la Ligue des champions africaine. L'heure de vérité sonnera ce soir pour la JS Kabylie qui affrontera, à partir de 20h15, au stade du 1er-Novembre de Tizi-Ouzou, le Tout puissant Mazembe en match retour des demi-finales de la Ligue des champions africaine. Après plus de dix jours de préparations, les Kabyles sont fin prêts. Côté effectif, la concentration a atteint son pic, mis à part la blessure inattendue de Saïd Belkalem, survenue à la dernière minute, qui chamboulera un peu l'axe défensif en cas de son indisponibilité, ce qui mettra certainement l'entraîneur kabyle, Alain Geiger, dans l'obligation de renouveler la confiance au jeune Malien Idrissa Coulibaly qui a regagné ses coéquipiers à Tizi-Ouzou après avoir passé presque une semaine avec l'équipe nationale malienne qui participe actuellement aux éliminatoires da la Coupe d'Afrique des nations 2012. Ce qui est rassurant, c'est que les solutions de rechange existent ; le coach a des doublures pour chaque poste. L'une des particularités de cette rencontre de ce soir, c'est le retour de l'élément indispensable Saâd Tadjer, la force kabyle, sur le côé droit. Le staff technique a beaucoup compté sur les services de ce jeune joueur pour faire souffrir la défense adverse. Mis à part le cas Belkalem, et qui n'est pas vraiment out officiellement, tous les joueurs, sans exception aucune, sont prêts pour cette empoignade très décisive que les Canaris du Djurdjura doivent gagner au moins avec deux buts s'ils veulent jouer pour la première fois de leur histoire la finale de la plus prisée des compétitions continentales. Et comment ? En 2000, ce fut cette même équipe de la JSK qui coupa le souffle long de cette équipe congolaise, en l'empêchant d'enchaîner ses exploits et ses succès. Dix ans plus tard, l'histoire se répète entre les deux équipes mais ne reproduit plus les mêmes résultats puisque une amère défaite a été enregistrée côté JSK au terme du match aller qui était pourtant à son entière portée. Sans donner beaucoup d'importance à ce résultat, les coéquipiers de Laâmara Douicher doivent sortir le grand jeu pour inscrire les deux buts qualificatifs. Pour atteindre cet objectif, la formation de l'entraîneur suisse doit constituer un bloc homogène pouvant se déplacer dans un mouvement d'ensemble cohérent et très concentré afin de mieux occuper le terrain et impressionner l'adversaire dès les premières minutes de jeu. Sans chercher ailleurs, le staff technique doit mettre en place une tactique qui fera la loi du surnombre, notamment dans le camp adverse et chambouler toutes ses cartes. Conscient de la tâche qui les attend, les camarades de Yahia Chérif doivent redoubler d'efforts pour mieux affirmer les prétentions et atteindre les objectifs assignés et tracés auparavant. Avec son expérience dans ce domaine, la JS Kabylie doit hanter l'esprit de son adversaire et le battre avant tout sur tous les plans, surtout psychologique. C'est la seule voie à suivre jusqu'au bout pendant quatre-vingt-dix minutes pour réaliser un rêve tant caressé non seulement par le club lui-même mais également par toute une région. Comment faut-il faire pour inscrire ces deux buts ? Augmenter le rythme de jeu ou bien gérer mi-temps par mi-temps. Au sein du club comme un peu partout dans la ville des Genêts, la pression monte d'un cran. La mission est délicate. Pendant quatre- vingt-dix minutes, les joueurs doivent marquer deux buts et éviter d'encaisser le moindre but. En tout cas, rien n'est impossible d'autant plus que cette rencontre ce jouera au stade du 1er-Movembre qui n'a jamais été avare pour cette jeune formation de la Kabylie qui avait réussi toutes ses confrontations sans exception aucune à Tizi-Ouzou, mais il faut le signaler, le club phare de la Kabylie n'a jamais inscrit plus d'un but dans toutes les rencontres depuis le début de la phase des poules. Après plus de dix jours de préparations, les Kabyles sont fin prêts. Côté effectif, la concentration a atteint son pic, mis à part la blessure inattendue de Saïd Belkalem, survenue à la dernière minute, qui chamboulera un peu l'axe défensif en cas de son indisponibilité, ce qui mettra certainement l'entraîneur kabyle, Alain Geiger, dans l'obligation de renouveler la confiance au jeune Malien Idrissa Coulibaly qui a regagné ses coéquipiers à Tizi-Ouzou après avoir passé presque une semaine avec l'équipe nationale malienne qui participe actuellement aux éliminatoires da la Coupe d'Afrique des nations 2012. Ce qui est rassurant, c'est que les solutions de rechange existent ; le coach a des doublures pour chaque poste. L'une des particularités de cette rencontre de ce soir, c'est le retour de l'élément indispensable Saâd Tadjer, la force kabyle, sur le côé droit. Le staff technique a beaucoup compté sur les services de ce jeune joueur pour faire souffrir la défense adverse. Mis à part le cas Belkalem, et qui n'est pas vraiment out officiellement, tous les joueurs, sans exception aucune, sont prêts pour cette empoignade très décisive que les Canaris du Djurdjura doivent gagner au moins avec deux buts s'ils veulent jouer pour la première fois de leur histoire la finale de la plus prisée des compétitions continentales. Et comment ? En 2000, ce fut cette même équipe de la JSK qui coupa le souffle long de cette équipe congolaise, en l'empêchant d'enchaîner ses exploits et ses succès. Dix ans plus tard, l'histoire se répète entre les deux équipes mais ne reproduit plus les mêmes résultats puisque une amère défaite a été enregistrée côté JSK au terme du match aller qui était pourtant à son entière portée. Sans donner beaucoup d'importance à ce résultat, les coéquipiers de Laâmara Douicher doivent sortir le grand jeu pour inscrire les deux buts qualificatifs. Pour atteindre cet objectif, la formation de l'entraîneur suisse doit constituer un bloc homogène pouvant se déplacer dans un mouvement d'ensemble cohérent et très concentré afin de mieux occuper le terrain et impressionner l'adversaire dès les premières minutes de jeu. Sans chercher ailleurs, le staff technique doit mettre en place une tactique qui fera la loi du surnombre, notamment dans le camp adverse et chambouler toutes ses cartes. Conscient de la tâche qui les attend, les camarades de Yahia Chérif doivent redoubler d'efforts pour mieux affirmer les prétentions et atteindre les objectifs assignés et tracés auparavant. Avec son expérience dans ce domaine, la JS Kabylie doit hanter l'esprit de son adversaire et le battre avant tout sur tous les plans, surtout psychologique. C'est la seule voie à suivre jusqu'au bout pendant quatre-vingt-dix minutes pour réaliser un rêve tant caressé non seulement par le club lui-même mais également par toute une région. Comment faut-il faire pour inscrire ces deux buts ? Augmenter le rythme de jeu ou bien gérer mi-temps par mi-temps. Au sein du club comme un peu partout dans la ville des Genêts, la pression monte d'un cran. La mission est délicate. Pendant quatre- vingt-dix minutes, les joueurs doivent marquer deux buts et éviter d'encaisser le moindre but. En tout cas, rien n'est impossible d'autant plus que cette rencontre ce jouera au stade du 1er-Movembre qui n'a jamais été avare pour cette jeune formation de la Kabylie qui avait réussi toutes ses confrontations sans exception aucune à Tizi-Ouzou, mais il faut le signaler, le club phare de la Kabylie n'a jamais inscrit plus d'un but dans toutes les rencontres depuis le début de la phase des poules.