Cette assemblée générale ordinaire de la chambre régionale des huissiers de justice, qui a regroupé 670 participants, à été, entre autres, consacrée à l'évaluation des activités du bureau et la préparation du nouveau programme d'actions. Cette assemblée générale ordinaire de la chambre régionale des huissiers de justice, qui a regroupé 670 participants, à été, entre autres, consacrée à l'évaluation des activités du bureau et la préparation du nouveau programme d'actions. La situation de la profession d'huissier de justice en Algérie a été qualifiée de «très satisfaisante» par maître Cherif Mohamed, président de la Chambre nationale des huissiers de justice. Dans une déclaration à l'APS en marge des travaux de la rencontre de la chambre régionale centre des huissiers à Tipasa, maître Chérif Mohamed, également vice-président de l'Union internationale des huissiers de justice, a estimé que la situation de la profession s'est beaucoup améliorée depuis l'adoption de la loi sur la réforme de la justice. Un constat qui, poursuit-il, s'en veut pour preuve le règlement définitif, par les nouvelles dispositions, du problème de la non exécution des jugements auxquels était souvent confronté le citoyen. «Ce problème n'est plus à l'ordre du jour actuellement», commente-t-il. Pour mieux étayer ses propos, maître Cherif Mohamed évoque le chiffre recensé par son organisation durant le mois de septembre 2010, relatif à l'exécution des jugements de justice qui a atteint le taux de 94% alors qu'il n'était que de 30% auparavant. Ces 94% d'exécution des jugements représentent, poursuit-il, un record appréciable étant donné que la moyenne mondiale est actuellement de 60%. De plus, tiendra t-il à préciser, la présence de l'Algérie dans le bureau exécutif de l'Union internationale des huissiers de justice, en tant que vice-présidente (UIHJ) est un gage de sérieux et de crédibilité de la profession. A une question de l'agence portant sur les problèmes qui restent à résoudre au sein de la corporation, le président de la Chambre nationale des huissiers de justice est claire : «Il n'y en a pas». Il émettra toutefois le souhait que les pouvoirs publics les impliquent davantage dans d'autres missions «comme celle du recouvrement des amendes par exemple pour venir en appoint au Trésor public». Cette assemblée générale ordinaire de la chambre régionale des huissiers de justice, qui a regroupé 670 participants, à été, entre autres, consacrée à l'évaluation des activités du bureau et la préparation du nouveau programme d'actions. Selon le président de la chambre régionale, maître Mahmoudi Ahmed, celle-ci regroupe les huissiers de 12 cours des wilayas d'Alger, Blida, Boumerdès, Bouira, Chlef, Djelfa, Médéa, Tamanrasset, Tizi Ouzou, Laghouat, Ghardaïa et M'sila. L'Algérie compte 1.800 huissiers de justice ce qui la place en deuxième position au niveau mondial juste après la France qui occupe la première place avec 3.600 huissiers en exercice selon le même responsable. Cette rencontre sera par ailleurs sanctionnée par l'adoption des bilans moral et financier et la lecture des recommandations. La situation de la profession d'huissier de justice en Algérie a été qualifiée de «très satisfaisante» par maître Cherif Mohamed, président de la Chambre nationale des huissiers de justice. Dans une déclaration à l'APS en marge des travaux de la rencontre de la chambre régionale centre des huissiers à Tipasa, maître Chérif Mohamed, également vice-président de l'Union internationale des huissiers de justice, a estimé que la situation de la profession s'est beaucoup améliorée depuis l'adoption de la loi sur la réforme de la justice. Un constat qui, poursuit-il, s'en veut pour preuve le règlement définitif, par les nouvelles dispositions, du problème de la non exécution des jugements auxquels était souvent confronté le citoyen. «Ce problème n'est plus à l'ordre du jour actuellement», commente-t-il. Pour mieux étayer ses propos, maître Cherif Mohamed évoque le chiffre recensé par son organisation durant le mois de septembre 2010, relatif à l'exécution des jugements de justice qui a atteint le taux de 94% alors qu'il n'était que de 30% auparavant. Ces 94% d'exécution des jugements représentent, poursuit-il, un record appréciable étant donné que la moyenne mondiale est actuellement de 60%. De plus, tiendra t-il à préciser, la présence de l'Algérie dans le bureau exécutif de l'Union internationale des huissiers de justice, en tant que vice-présidente (UIHJ) est un gage de sérieux et de crédibilité de la profession. A une question de l'agence portant sur les problèmes qui restent à résoudre au sein de la corporation, le président de la Chambre nationale des huissiers de justice est claire : «Il n'y en a pas». Il émettra toutefois le souhait que les pouvoirs publics les impliquent davantage dans d'autres missions «comme celle du recouvrement des amendes par exemple pour venir en appoint au Trésor public». Cette assemblée générale ordinaire de la chambre régionale des huissiers de justice, qui a regroupé 670 participants, à été, entre autres, consacrée à l'évaluation des activités du bureau et la préparation du nouveau programme d'actions. Selon le président de la chambre régionale, maître Mahmoudi Ahmed, celle-ci regroupe les huissiers de 12 cours des wilayas d'Alger, Blida, Boumerdès, Bouira, Chlef, Djelfa, Médéa, Tamanrasset, Tizi Ouzou, Laghouat, Ghardaïa et M'sila. L'Algérie compte 1.800 huissiers de justice ce qui la place en deuxième position au niveau mondial juste après la France qui occupe la première place avec 3.600 huissiers en exercice selon le même responsable. Cette rencontre sera par ailleurs sanctionnée par l'adoption des bilans moral et financier et la lecture des recommandations.