Les collégiens et lycéens ont, dans trois localités au moins, séché les cours à la suite de pluies qui se sont abattues la veille et qui continuent encore. Plusieurs localités ont été au cours de la journée d'hier inondées. Les établissements du secondaire au niveau des localités de Tarf chef lieu, d'El Kala au nord est du chef lieu ainsi que celui du « lac des oiseaux » ont fermé leurs portes aux élèves par peur d'incidents. Le lycée du 24 février situé sur les crêtes dans la commune d'El Kala est jugé depuis maintenant cinq à six ans inapte à la scolarisation des lycéens vu son état lamentable de dégradation. Les eaux de pluie débouchent en fin de course dans la cours de l'établissement qui souffre de vétusté . En effet, les chefs d'établissement ont à plusieurs reprises signalé les conditions déplorables de scolarisation des jeunes potaches. Mais il semble, selon les avis des uns et des autres, que les rapports circonstanciés envoyés à la tutelle ne font bouger personne et ce sont nos jeunes lycéens et collégiens qui en subissent les conséquences. Pourtant, le ministre de l'Education a de tout temps instruit ses subordonnés pour qu'ils réunissent toutes les conditions à même de permettre aux élèves de réaliser de bons résultats en fin de parcours scolaire. Si des décisions urgentes ne seront pas prises, les élèves risquent de sécher une fois de plus les cours. Hier, les parents d'élèves étaient dans tous leurs états quant à la situation que vit le secteur éducatif. C'est un problème de gestion qui mine l'avenir de nos jeunes potaches abandonnés à leur triste sort. Il est temps que les pouvoirs publics interviennent pour ne pas compromettre la scolarité des enfants. Les collégiens et lycéens ont, dans trois localités au moins, séché les cours à la suite de pluies qui se sont abattues la veille et qui continuent encore. Plusieurs localités ont été au cours de la journée d'hier inondées. Les établissements du secondaire au niveau des localités de Tarf chef lieu, d'El Kala au nord est du chef lieu ainsi que celui du « lac des oiseaux » ont fermé leurs portes aux élèves par peur d'incidents. Le lycée du 24 février situé sur les crêtes dans la commune d'El Kala est jugé depuis maintenant cinq à six ans inapte à la scolarisation des lycéens vu son état lamentable de dégradation. Les eaux de pluie débouchent en fin de course dans la cours de l'établissement qui souffre de vétusté . En effet, les chefs d'établissement ont à plusieurs reprises signalé les conditions déplorables de scolarisation des jeunes potaches. Mais il semble, selon les avis des uns et des autres, que les rapports circonstanciés envoyés à la tutelle ne font bouger personne et ce sont nos jeunes lycéens et collégiens qui en subissent les conséquences. Pourtant, le ministre de l'Education a de tout temps instruit ses subordonnés pour qu'ils réunissent toutes les conditions à même de permettre aux élèves de réaliser de bons résultats en fin de parcours scolaire. Si des décisions urgentes ne seront pas prises, les élèves risquent de sécher une fois de plus les cours. Hier, les parents d'élèves étaient dans tous leurs états quant à la situation que vit le secteur éducatif. C'est un problème de gestion qui mine l'avenir de nos jeunes potaches abandonnés à leur triste sort. Il est temps que les pouvoirs publics interviennent pour ne pas compromettre la scolarité des enfants.