Le vice-Premier ministre a indiqué qu'il se suffisait amplement de l'équipe qui va travailler avec lui à l'avenir. «Ça me suffit» a déclaré hier à l'APN NouredineYazid Zerhouni, en marge des travaux consacrés au débat portant sur la déclaration de politique générale, présentée jeudi dernier par le Premier ministre, Ahmed Ouyahia. Zerhouni était interpellé par les journalistes à propos du dernier décret présidentiel qui a précisé la composante de son cabinet, mais qui n'a nullement fait mention de ses nouvelles prérogatives. Des prérogatives qui restent à ce jour inconnues puisque non définies officiellement, ce qui suscite, à juste titre d'ailleurs, moult interrogations. Par cette réponse laconique, Zerhouni a sans doute voulu éviter d'alimenter davantage les spéculations politico- médiatiques. Car sa désignation au poste de vice-Premier ministre à la faveur du remaniement gouvernemental intervenu au mois de mai dernier et donc son départ du ministère de l'Intérieur après pratiquement une dizaine d'années à la tête de cet important département, a été interprété par certains comme une «disgrâce» alors que pour d'autres il s'agirait plutôt «d'une promotion». Ces spéculations ont été, de plus, alimentées par le fait que Zerhouni a été chargé de cette nouvelle fonction sans prérogatives précises. «J'attends toujours de connaître mes prérogatives», avait-il indiqué au mois de juillet passé. Et il n' y a que quelques jours seulement que le décret présidentiel n° 10-221 du 28 septembre 2010 publié au Journal officiel a précisé la composante du cabinet du vice-Premier ministre. Ainsi, Zerhouni aura 11 assistants. Cette équipe sera ainsi formée d'un chef de cabinet, de deux chargés de mission, de trois directeurs d'études, de trois chargés d'études et de synthèse et de deux chefs d'études. Le vice-Premier ministre a indiqué qu'il se suffisait amplement de l'équipe qui va travailler avec lui à l'avenir. «Ça me suffit» a déclaré hier à l'APN NouredineYazid Zerhouni, en marge des travaux consacrés au débat portant sur la déclaration de politique générale, présentée jeudi dernier par le Premier ministre, Ahmed Ouyahia. Zerhouni était interpellé par les journalistes à propos du dernier décret présidentiel qui a précisé la composante de son cabinet, mais qui n'a nullement fait mention de ses nouvelles prérogatives. Des prérogatives qui restent à ce jour inconnues puisque non définies officiellement, ce qui suscite, à juste titre d'ailleurs, moult interrogations. Par cette réponse laconique, Zerhouni a sans doute voulu éviter d'alimenter davantage les spéculations politico- médiatiques. Car sa désignation au poste de vice-Premier ministre à la faveur du remaniement gouvernemental intervenu au mois de mai dernier et donc son départ du ministère de l'Intérieur après pratiquement une dizaine d'années à la tête de cet important département, a été interprété par certains comme une «disgrâce» alors que pour d'autres il s'agirait plutôt «d'une promotion». Ces spéculations ont été, de plus, alimentées par le fait que Zerhouni a été chargé de cette nouvelle fonction sans prérogatives précises. «J'attends toujours de connaître mes prérogatives», avait-il indiqué au mois de juillet passé. Et il n' y a que quelques jours seulement que le décret présidentiel n° 10-221 du 28 septembre 2010 publié au Journal officiel a précisé la composante du cabinet du vice-Premier ministre. Ainsi, Zerhouni aura 11 assistants. Cette équipe sera ainsi formée d'un chef de cabinet, de deux chargés de mission, de trois directeurs d'études, de trois chargés d'études et de synthèse et de deux chefs d'études.