Le comédien Olivier Martin-Salvan tient à souligner dans cet entretien qu'il a bien vouu accorder au midi Libre en marge de la pièce théâtrale « Ô Carmen » joué au Centre Culturel Français (CCF) sa ferme intention de travailler avec la comédienne française d'origine algérienne Nouara Naghouche dans une prochaine création Est-il difficile de jouer tous les rôles ? Olivier M.S : En fait, la difficulté est de passer d'un signe à un autre avec précision pour que les gens ne se posent pas la question qu'il s'agit bien de lui et pas de quelqu'un d'autre. Et puis c'est difficile de bien implanter le décor parce qu'il n'y a pas de décor. Les gens imaginent et moi je suis juste le vecteur. Que pensez-vous des comédiens algériens ? Olivier M.S : Je travaille au théâtre du Rond Point des Champs Elysées accompagné d'un pianiste, là j'ai rencontré Fellag. C'est un artiste qui joue en solo qui excelle sur scène et qui m'a beaucoup parlé des artistes algériens.J'ai, à travers lui, découvrir et les apprécier. Est ce que vous avez songez à jouer avec des artistes algériens ? Olivier M.S : Oui, j'aimerai bien jouer avec Nouara Naghrouche. Elle a beaucoup de talant. En ce moment elle joue dans « Sacrifice ». Une pièce qui raconte l'histoire d'une femme mariée de force et qui s'est révoltée. Elle a eu un grand succès. A quelques heures de votre spectacle, quelles sont vos appréhensions ? J'ai quelques appréhensions mais rien de particulier un peu le trac comme tout le monde. Carmen campe le rôle d'une femme libérée, c'est vrai que peut être les gens vont être un peu choqués mais ça reste une vision clownesque de la vie. Il faut aller au charbon voilà. C'est votre premier voyage en Algérie. Quelles sont vos impressions ? Olivier M.S : c'est la première fois que je rends au Maghreb . La casbah est magnifique. Et quand des vieux vous disent ‘‘vous êtres chez vous'', étant français c'est fort c'est chaud au coeur. L'école nous a cachés beaucoup de choses sur les évènements d'Algérie. Et grâce à des artistes comme Nouara Naghrouche et Fellag, je sais ce qui s'est réellement passé ici : l'histoire, la colonisation et le mal que cela a fait. Qu'ils nous disent quand on vient en Algériet !! Je trouve que c'est d'une intelligence incroyable. Le comédien Olivier Martin-Salvan tient à souligner dans cet entretien qu'il a bien vouu accorder au midi Libre en marge de la pièce théâtrale « Ô Carmen » joué au Centre Culturel Français (CCF) sa ferme intention de travailler avec la comédienne française d'origine algérienne Nouara Naghouche dans une prochaine création Est-il difficile de jouer tous les rôles ? Olivier M.S : En fait, la difficulté est de passer d'un signe à un autre avec précision pour que les gens ne se posent pas la question qu'il s'agit bien de lui et pas de quelqu'un d'autre. Et puis c'est difficile de bien implanter le décor parce qu'il n'y a pas de décor. Les gens imaginent et moi je suis juste le vecteur. Que pensez-vous des comédiens algériens ? Olivier M.S : Je travaille au théâtre du Rond Point des Champs Elysées accompagné d'un pianiste, là j'ai rencontré Fellag. C'est un artiste qui joue en solo qui excelle sur scène et qui m'a beaucoup parlé des artistes algériens.J'ai, à travers lui, découvrir et les apprécier. Est ce que vous avez songez à jouer avec des artistes algériens ? Olivier M.S : Oui, j'aimerai bien jouer avec Nouara Naghrouche. Elle a beaucoup de talant. En ce moment elle joue dans « Sacrifice ». Une pièce qui raconte l'histoire d'une femme mariée de force et qui s'est révoltée. Elle a eu un grand succès. A quelques heures de votre spectacle, quelles sont vos appréhensions ? J'ai quelques appréhensions mais rien de particulier un peu le trac comme tout le monde. Carmen campe le rôle d'une femme libérée, c'est vrai que peut être les gens vont être un peu choqués mais ça reste une vision clownesque de la vie. Il faut aller au charbon voilà. C'est votre premier voyage en Algérie. Quelles sont vos impressions ? Olivier M.S : c'est la première fois que je rends au Maghreb . La casbah est magnifique. Et quand des vieux vous disent ‘‘vous êtres chez vous'', étant français c'est fort c'est chaud au coeur. L'école nous a cachés beaucoup de choses sur les évènements d'Algérie. Et grâce à des artistes comme Nouara Naghrouche et Fellag, je sais ce qui s'est réellement passé ici : l'histoire, la colonisation et le mal que cela a fait. Qu'ils nous disent quand on vient en Algériet !! Je trouve que c'est d'une intelligence incroyable.