Ce n'est que vers 22 h que les juges ont clôturé leurs délibérations après des séances marathons qui ont duré treize heures. Les peines ainsi donc prononc ées à l'encontre des neufs prévenus accusés de dilapidation de biens étatiques, de détournements, de faux et usage de faux se situent entre un et quatre ans de prison ferme assortie de cent millions de centimes d'amende. Le directeur de l'agence de Bouteldja a écopé de quatre ans de prison ferme et d'une amende de cent cinquante millions, son comptable, un dénommé Maatallah, devra purger quant à lui un an de prison ferme, l'investisseur tunisien, un certain Megni s'est vu infliger une peine de trois ans de prison et le liquidateur a été condamné à deux ans de prison ferme et à une amende de cent millions de centimes pour le préjudice causé à l'agence. Pour rappel l'investisseur tunisien avait loué pour la somme de quatre vingt-seize millions de centimes en contrepartie desquels il a été remis un chèque sans provision qui se trouve entre les mains du liquidateur. Concernant les cinq autres prévenus, accusés des mêmes griefs, le juge a prononcé leur acquittement attendu qu'aucune preuve n'a pu être retenue contre eux. Notons que tous les avocats de la défense se sont posés la seule et même questions, à savoir pourquoi les autres personnes impliquées dans cette affaire n'ont pas été appelées à la barre ? Le directeur clame à qui veut l'entendre qu'il a agi sur l'ordre de l'ex-wali d'El Tarf, en l'occurrence Djilali Araar poursuivi par la Cour des comptes pour une autre affaire : Une affaire de détournement au niveau de l'Agence foncière d'El Kala et qui passera prochainement devant le même tribunal. Outre les trois principaux accusés ont défilé à la barre une vingtaine de témoins parmi lesquels l'absence des ex-responsables reste pour le moins énigmatique. Ce n'est que vers 22 h que les juges ont clôturé leurs délibérations après des séances marathons qui ont duré treize heures. Les peines ainsi donc prononc ées à l'encontre des neufs prévenus accusés de dilapidation de biens étatiques, de détournements, de faux et usage de faux se situent entre un et quatre ans de prison ferme assortie de cent millions de centimes d'amende. Le directeur de l'agence de Bouteldja a écopé de quatre ans de prison ferme et d'une amende de cent cinquante millions, son comptable, un dénommé Maatallah, devra purger quant à lui un an de prison ferme, l'investisseur tunisien, un certain Megni s'est vu infliger une peine de trois ans de prison et le liquidateur a été condamné à deux ans de prison ferme et à une amende de cent millions de centimes pour le préjudice causé à l'agence. Pour rappel l'investisseur tunisien avait loué pour la somme de quatre vingt-seize millions de centimes en contrepartie desquels il a été remis un chèque sans provision qui se trouve entre les mains du liquidateur. Concernant les cinq autres prévenus, accusés des mêmes griefs, le juge a prononcé leur acquittement attendu qu'aucune preuve n'a pu être retenue contre eux. Notons que tous les avocats de la défense se sont posés la seule et même questions, à savoir pourquoi les autres personnes impliquées dans cette affaire n'ont pas été appelées à la barre ? Le directeur clame à qui veut l'entendre qu'il a agi sur l'ordre de l'ex-wali d'El Tarf, en l'occurrence Djilali Araar poursuivi par la Cour des comptes pour une autre affaire : Une affaire de détournement au niveau de l'Agence foncière d'El Kala et qui passera prochainement devant le même tribunal. Outre les trois principaux accusés ont défilé à la barre une vingtaine de témoins parmi lesquels l'absence des ex-responsables reste pour le moins énigmatique.