Durant ces journées de disette caractérisées par d'abondantes chutes de pluie, les Guelmis appréhendaient une rupture de la conduite d'eau à partir du barrage de Bouhamdane, à une vingtaine de kilomètres de la ville, comme cela s'était produit voilà sept ans en occasionnant une rupture de distribution d'une douzaine de jours. Durant ces journées de disette caractérisées par d'abondantes chutes de pluie, les Guelmis appréhendaient une rupture de la conduite d'eau à partir du barrage de Bouhamdane, à une vingtaine de kilomètres de la ville, comme cela s'était produit voilà sept ans en occasionnant une rupture de distribution d'une douzaine de jours. Le chef-lieu de wilaya est confronté, depuis jeudi matin, à une rupture d'alimentation en eau potable au grand dam de la population habituée à une distribution régulière et conséquente de ce précieux liquide. Cette situation a pénalisé la qualité de vie des familles dans leur quotidien car les lessives, les nettoyages et les douches ou bains ont été annulés durant ce week-end où les maitresses de maison s'adonnent à ces tâches ménagères. Les jerrycans et autres ustensiles hétéroclites ont fait leur réapparition et d'aucuns sillonnaient les environs de la ville pour se ravitailler au niveau des fontaines publiques et sources . La vente des bouteilles d'eau minérale s'est accrue et les packs se vendaient comme des petits pains. Même les foyers de condition modeste achetaient cette eau auprès des magasins, supérettes et boutiques pour la consommation domestique. Durant ces journées de disette caractérisées par d'abondantes chutes de pluie, les Guelmis appréhendaient une rupture de la conduite d'eau à partir du barrage de Bouhamdane, à une vingtaine de kilomètres de la ville comme cela s'était produit voilà sept ans en occasionnant une rupture de distribution d'une douzaine de jours. Contacté, le directeur de l'ADE nous apprendra que des équipements de la station de traitement du barrage de Bouhamdane ont grillé et qu'il fallait procéder à leur remplacement. Cette démarche s'est avérée ardue et contraignante car il fallait acquérir un autre poste de transformateur, des fusibles spéciaux et autres équipements spécifiques. Au prix d'une course marathon, les équipes de l' ADE, mobilisées depuis jeudi, ont installé ces équipements durant la journée du samedi et c'est en début d'après-midi que les agents de la Sonelgaz ont rétabli l'énergie électrique . M. Chaalel Mohamed, directeur de l' ADE, qui supervisait toutes ces opérations, ordonnera la reprise du pompage de la station de traitement pour alimenter les châteaux d'eau du chef-lieu de wilaya. La distribution de cette denrée précieuse a repris progressivement dès dimanche après-midi au niveau des divers quartiers de Guelma. Les robinets qui étaient à sec depuis quatre jours ont repris leur office à la grande satisfaction des familles . A l'approche de l'AId El-Adha La mercuriale en folie Les bourses modestes sont confrontées à la cherté de la vie depuis ces derniers jours et ce, à l'approche de la fête du sacrifice qui est une aubaine pour des commerçants peu scrupuleux qui saisissent cette opportunité pour s'enrichir illicitement. Pour ne pas déroger à une règle bien établie, les prix des produits de première nécessité sont pris d'une frénésie sans pareille au grand dam des ménagères et des pères de famille. Un petit tour au niveau des marchés de la ville nous permet de prendre la température des fruits et légumes. A titre illustratif, la pomme de terre nouvelle est proposée à 60 dinars le kilogramme, la salade verte à 80 dinars, les piments sous serre à 150 dinars, la tomate à 85 dinars, l'ail à 450 dinars, les carottes, navets à 50 dinars, les poivrons à 120 dinars, les artichauts à 180 dinars, les haricots verts à 120 dinars, les courgettes à 100 dinars, les petits-pois à 140 dinars le kilogramme, etc. Quant aux fruits de saison, ils n'ont pas échappé à ces augmentations programmées à savoir raisin à 160 dinars le kilogramme, poires à 140 dinars, pommes à 180 dinars, oranges et mandarines précoces à 160 dinars le kg, etc. Chez les bouchers, les viandes d'agneau et de veau sont respectivement taxées à 840 et 880 dinars le kilogramme et l'escalope de dinde est cédée à raison de 750 dinars le kg. Le plateau d'une trentaine d'œufs est proposé à 300 dinars, soit une augmentation de 60 dinars en l'espace d'une semaine car ils sont prisés pour la confection des gâteaux et des pâtisseries à l'approche de l'Aïd. Les viandes blanches sont logées à la même enseigne car le kilogramme de poulet dépasse allègrement les 250 dinars. Au rayon alimentation générale, les consommateurs sont soumis au même traitement puisque le sucre cristallisé ou en morceaux, l'huile de table, le café moulu ou en vrac, le beurre, les haricots blancs, les lentilles, les pois-chiches ont enregistré de substancielles augmentations ces dernières semaines. Même la semoule, abondante sur les étals récemment, a mystérieusement disparu pour des raisons inexpliquées, créant une certaine panique auprès des ménagères qui affectionnent ce produit indispensable dans la préparation des makrouds, de la trida, de la chakhchoukha et de la naâma, des plats traditionnels incontournables. Le client lambda se débat péniblement dans cette véritable jungle des prix et il est contraint d'accepter ces tarifs exorbitants qui grèvent son maigre budget familial. BENI MEZLINE Le second souffle de la commune Rattachée à la daira de Guelaat Bou-Sbaa, distante d'une vingtaine de kilomètres de Guelma, la localité rurale de Béni Mezline, qui abrite 2.700 âmes, résidant essentiellement dans des mechtas éparses, poursuit inlassablement son essor économique. Les fellahs qui ont regagné en famille leurs terres ont bénéficié de logements ruraux et d'une aide conséquente pour s'adonner aux travaux agricoles et à l'élevage d'ovins et bovins. A la faveur d'une visite de travail et d'inspection de l'exécutif de wilaya, les citoyens ont dialogué à bâtons rompus avec le wali auquel ils ont présenté leurs doléances. Ils ont insisté sur la faiblesse caractérisée de la distribution d'eau potable à savoir un jour sur quatre avec une plage horaire insignifiante. Cette gestion incombe à l' APC qui ne maitrise pas la situation car le château d'eau ne reçoit que 30 m3 , quantité insuffisante pour le chef-lieu de commune et l'agglomération de Nador. Faute de compteurs, les abonnés rechignent à s'acquitter de la facture forfaitaire annuelle d'un montant de 1.780 dinars. Le wali a instruit le chef de daira, le P/APC et les directeurs de l'hydraulique et de l' ADE pour concrétiser le projet d'AEP à partir de Bouchegouf et la réalisation d'un autre réservoir de 50 m3 . A un père de famille qui se plaignait des dépenses onéreuses relatives à l'achat de bouteilles de butane, le chef de l'exécutif rétorquera que le gaz de ville est prévu en 2012 dans le cadre du programme quinquennal 2010-2014. Concernant le manque de transport public dans cette région enclavée, il proposera l'attribution de lignes à des candidats du secteur privé possédant des bus et des taxis. Le wali ordonnera la remise en état des routes et trottoirs par les entreprises de travaux publics dès l'achèvement des chantiers. A des citoyens qui réclamaient des équipements publics, à savoir une maternité, une polyclinique, un stade, le premier magistrat de la wilaya affirmera que ces attributions obéissent à des critères rigoureux, ce qui n'est pas le cas pour une localité d'à peine 2.700 âmes. Toutefois, il déclare qu'il est disposé à contribuer efficacement à l'amélioration du cadre de vie des citoyens. NECHMAYA Inspection des projets socio-économiques Accompagné du président de l'APW, des directeurs de l'exécutif et des élus locaux, le wali de Guelma a bouclé sa dixième sortie sur le terrain en consacrant ce samedi une visite de travail et d'inspection à la daïra de Guelaât-Bou-Sbaâ. A la faveur des visites des communes de Béni-Mezline, Djeballa Khémissi et Guelaat-Bou-Sbaâ, le cortège a rallié en fin d'après midi la localité de Nechmaya, traversée par la RN 21 menant à Annaba, et distante d'une vingtaine de kilomètres du chef-lieu de wilaya. La délégation a inspecté le projet de 100 locaux professionnels, le projet de réhabilitation de la route Nechmaya-Hammam Ouled Ali sur 12 kilomètres, le projet de réalisation d'un lycée type 1.000/300 dont la prochaine réception mettra un terme au calvaire enduré par quelques centaines de jeunes gens scolarisés au chef-lieu de daïra, le projet de réalisation de 100 logements RHP destinés à des familles recensées et vivant dans des bidonvilles. La cité Tazir-Ramdane a accueilli ce cortège et a offert l'opportunité de visiter l'habitat rural en direction des fellahs qui ont regagné en famille leurs terres, le PPDRI (programme de proximité du développement rural intégré) qui englobe l'AEP, l'assainissement, l'éclairage public et enfin le projet d'amélioration urbaine dans la zone rurale de ce site. Comme à l'accoutumée, le nouveau wali s'est entretenu avec de nombreux citoyens qui ont exposé leurs préoccupations quotidiennes. Des locataires de nouveaux logements collectifs se sont plaint des infiltrations d'eaux pluviales dans leurs appartements au niveau des plafonds et des fenêtres par suite d'une étanchéité défectueuse. Dans ce contexte, le chef de l'exécutif a ordonné la mise en place dès dimanche matin d'une commission d'experts aux fins d'établir un constat qui permettra de prendre en charge ces lacunes. Les citoyens ont réclamé l'alimentation en gaz naturel à l'instar des autres communes de la wilaya et il leur a été promis de concrétiser cette attente en 2013, sachant que cette opération est inscrite dans le programme quinquennal 2010-2014. Ils ont demandé la remise en état des rues qui sont actuellement dans un état déplorable et l'amélioration de la distribution d'eau potable. Un dialogue fructueux et constructif a permis au wali de connaître les légitimes attentes de cette population rurale qui a cependant bénéficié de maints projets qui ont notablement amélioré son cadre de vie . Le chef-lieu de wilaya est confronté, depuis jeudi matin, à une rupture d'alimentation en eau potable au grand dam de la population habituée à une distribution régulière et conséquente de ce précieux liquide. Cette situation a pénalisé la qualité de vie des familles dans leur quotidien car les lessives, les nettoyages et les douches ou bains ont été annulés durant ce week-end où les maitresses de maison s'adonnent à ces tâches ménagères. Les jerrycans et autres ustensiles hétéroclites ont fait leur réapparition et d'aucuns sillonnaient les environs de la ville pour se ravitailler au niveau des fontaines publiques et sources . La vente des bouteilles d'eau minérale s'est accrue et les packs se vendaient comme des petits pains. Même les foyers de condition modeste achetaient cette eau auprès des magasins, supérettes et boutiques pour la consommation domestique. Durant ces journées de disette caractérisées par d'abondantes chutes de pluie, les Guelmis appréhendaient une rupture de la conduite d'eau à partir du barrage de Bouhamdane, à une vingtaine de kilomètres de la ville comme cela s'était produit voilà sept ans en occasionnant une rupture de distribution d'une douzaine de jours. Contacté, le directeur de l'ADE nous apprendra que des équipements de la station de traitement du barrage de Bouhamdane ont grillé et qu'il fallait procéder à leur remplacement. Cette démarche s'est avérée ardue et contraignante car il fallait acquérir un autre poste de transformateur, des fusibles spéciaux et autres équipements spécifiques. Au prix d'une course marathon, les équipes de l' ADE, mobilisées depuis jeudi, ont installé ces équipements durant la journée du samedi et c'est en début d'après-midi que les agents de la Sonelgaz ont rétabli l'énergie électrique . M. Chaalel Mohamed, directeur de l' ADE, qui supervisait toutes ces opérations, ordonnera la reprise du pompage de la station de traitement pour alimenter les châteaux d'eau du chef-lieu de wilaya. La distribution de cette denrée précieuse a repris progressivement dès dimanche après-midi au niveau des divers quartiers de Guelma. Les robinets qui étaient à sec depuis quatre jours ont repris leur office à la grande satisfaction des familles . A l'approche de l'AId El-Adha La mercuriale en folie Les bourses modestes sont confrontées à la cherté de la vie depuis ces derniers jours et ce, à l'approche de la fête du sacrifice qui est une aubaine pour des commerçants peu scrupuleux qui saisissent cette opportunité pour s'enrichir illicitement. Pour ne pas déroger à une règle bien établie, les prix des produits de première nécessité sont pris d'une frénésie sans pareille au grand dam des ménagères et des pères de famille. Un petit tour au niveau des marchés de la ville nous permet de prendre la température des fruits et légumes. A titre illustratif, la pomme de terre nouvelle est proposée à 60 dinars le kilogramme, la salade verte à 80 dinars, les piments sous serre à 150 dinars, la tomate à 85 dinars, l'ail à 450 dinars, les carottes, navets à 50 dinars, les poivrons à 120 dinars, les artichauts à 180 dinars, les haricots verts à 120 dinars, les courgettes à 100 dinars, les petits-pois à 140 dinars le kilogramme, etc. Quant aux fruits de saison, ils n'ont pas échappé à ces augmentations programmées à savoir raisin à 160 dinars le kilogramme, poires à 140 dinars, pommes à 180 dinars, oranges et mandarines précoces à 160 dinars le kg, etc. Chez les bouchers, les viandes d'agneau et de veau sont respectivement taxées à 840 et 880 dinars le kilogramme et l'escalope de dinde est cédée à raison de 750 dinars le kg. Le plateau d'une trentaine d'œufs est proposé à 300 dinars, soit une augmentation de 60 dinars en l'espace d'une semaine car ils sont prisés pour la confection des gâteaux et des pâtisseries à l'approche de l'Aïd. Les viandes blanches sont logées à la même enseigne car le kilogramme de poulet dépasse allègrement les 250 dinars. Au rayon alimentation générale, les consommateurs sont soumis au même traitement puisque le sucre cristallisé ou en morceaux, l'huile de table, le café moulu ou en vrac, le beurre, les haricots blancs, les lentilles, les pois-chiches ont enregistré de substancielles augmentations ces dernières semaines. Même la semoule, abondante sur les étals récemment, a mystérieusement disparu pour des raisons inexpliquées, créant une certaine panique auprès des ménagères qui affectionnent ce produit indispensable dans la préparation des makrouds, de la trida, de la chakhchoukha et de la naâma, des plats traditionnels incontournables. Le client lambda se débat péniblement dans cette véritable jungle des prix et il est contraint d'accepter ces tarifs exorbitants qui grèvent son maigre budget familial. BENI MEZLINE Le second souffle de la commune Rattachée à la daira de Guelaat Bou-Sbaa, distante d'une vingtaine de kilomètres de Guelma, la localité rurale de Béni Mezline, qui abrite 2.700 âmes, résidant essentiellement dans des mechtas éparses, poursuit inlassablement son essor économique. Les fellahs qui ont regagné en famille leurs terres ont bénéficié de logements ruraux et d'une aide conséquente pour s'adonner aux travaux agricoles et à l'élevage d'ovins et bovins. A la faveur d'une visite de travail et d'inspection de l'exécutif de wilaya, les citoyens ont dialogué à bâtons rompus avec le wali auquel ils ont présenté leurs doléances. Ils ont insisté sur la faiblesse caractérisée de la distribution d'eau potable à savoir un jour sur quatre avec une plage horaire insignifiante. Cette gestion incombe à l' APC qui ne maitrise pas la situation car le château d'eau ne reçoit que 30 m3 , quantité insuffisante pour le chef-lieu de commune et l'agglomération de Nador. Faute de compteurs, les abonnés rechignent à s'acquitter de la facture forfaitaire annuelle d'un montant de 1.780 dinars. Le wali a instruit le chef de daira, le P/APC et les directeurs de l'hydraulique et de l' ADE pour concrétiser le projet d'AEP à partir de Bouchegouf et la réalisation d'un autre réservoir de 50 m3 . A un père de famille qui se plaignait des dépenses onéreuses relatives à l'achat de bouteilles de butane, le chef de l'exécutif rétorquera que le gaz de ville est prévu en 2012 dans le cadre du programme quinquennal 2010-2014. Concernant le manque de transport public dans cette région enclavée, il proposera l'attribution de lignes à des candidats du secteur privé possédant des bus et des taxis. Le wali ordonnera la remise en état des routes et trottoirs par les entreprises de travaux publics dès l'achèvement des chantiers. A des citoyens qui réclamaient des équipements publics, à savoir une maternité, une polyclinique, un stade, le premier magistrat de la wilaya affirmera que ces attributions obéissent à des critères rigoureux, ce qui n'est pas le cas pour une localité d'à peine 2.700 âmes. Toutefois, il déclare qu'il est disposé à contribuer efficacement à l'amélioration du cadre de vie des citoyens. NECHMAYA Inspection des projets socio-économiques Accompagné du président de l'APW, des directeurs de l'exécutif et des élus locaux, le wali de Guelma a bouclé sa dixième sortie sur le terrain en consacrant ce samedi une visite de travail et d'inspection à la daïra de Guelaât-Bou-Sbaâ. A la faveur des visites des communes de Béni-Mezline, Djeballa Khémissi et Guelaat-Bou-Sbaâ, le cortège a rallié en fin d'après midi la localité de Nechmaya, traversée par la RN 21 menant à Annaba, et distante d'une vingtaine de kilomètres du chef-lieu de wilaya. La délégation a inspecté le projet de 100 locaux professionnels, le projet de réhabilitation de la route Nechmaya-Hammam Ouled Ali sur 12 kilomètres, le projet de réalisation d'un lycée type 1.000/300 dont la prochaine réception mettra un terme au calvaire enduré par quelques centaines de jeunes gens scolarisés au chef-lieu de daïra, le projet de réalisation de 100 logements RHP destinés à des familles recensées et vivant dans des bidonvilles. La cité Tazir-Ramdane a accueilli ce cortège et a offert l'opportunité de visiter l'habitat rural en direction des fellahs qui ont regagné en famille leurs terres, le PPDRI (programme de proximité du développement rural intégré) qui englobe l'AEP, l'assainissement, l'éclairage public et enfin le projet d'amélioration urbaine dans la zone rurale de ce site. Comme à l'accoutumée, le nouveau wali s'est entretenu avec de nombreux citoyens qui ont exposé leurs préoccupations quotidiennes. Des locataires de nouveaux logements collectifs se sont plaint des infiltrations d'eaux pluviales dans leurs appartements au niveau des plafonds et des fenêtres par suite d'une étanchéité défectueuse. Dans ce contexte, le chef de l'exécutif a ordonné la mise en place dès dimanche matin d'une commission d'experts aux fins d'établir un constat qui permettra de prendre en charge ces lacunes. Les citoyens ont réclamé l'alimentation en gaz naturel à l'instar des autres communes de la wilaya et il leur a été promis de concrétiser cette attente en 2013, sachant que cette opération est inscrite dans le programme quinquennal 2010-2014. Ils ont demandé la remise en état des rues qui sont actuellement dans un état déplorable et l'amélioration de la distribution d'eau potable. Un dialogue fructueux et constructif a permis au wali de connaître les légitimes attentes de cette population rurale qui a cependant bénéficié de maints projets qui ont notablement amélioré son cadre de vie .