Les deux responsables politiques ont coprésidé la première session de la Grande commission mixte algéro-iranienne, axée sur la coopération économique entre les deux pays. Les deux responsables politiques ont coprésidé la première session de la Grande commission mixte algéro-iranienne, axée sur la coopération économique entre les deux pays. Le Premier ministre Ahmed Ouyahia, accompagné d'une délégation économique de haut rang, est depuis dimanche à Téhéran à l'invitation du Premier vice-président iranien Mohamed Redha Rahimi. Les deux responsables politiques ont coprésidé la première session de la Grande commission mixte algéro-iranienne, axée sur la coopération économique entre les deux pays. Les travaux de la haute commission, qui ont débuté le jour même de l'arrivée de la délégation algérienne, ont permis d'évoquer l'établissement d'une feuille de route pour revigorer les relations bilatérales et à plaider au renforcement de leur partenariat et à l'échange de leurs expériences dans différents domaines de coopération. Les secteurs de l'habitat, de l'agriculture et de l'industrie figurent parmi les domaines dans lesquels les deux pays œuvrent à renforcer leur coopération en vue d'atteindre les objectifs escomptés et de la hisser au niveau des potentialités que recèlent les deux parties. Dans une déclaration à la presse, le ministre de l'Habitat et de l'Urbanisme, Nourredine Moussa, a souligné que " trois points sur les huit du programme d'action 2008-2010 ont été réalisés " dans le secteur de l'habitat rappelant la visite en Iran d'experts algériens dans le domaine des constructions parasismiques pour prendre connaissance de l'expérience de ce pays en la matière. Dans ce cadre, le ministre de l'Habitat et de l'Urbanisme a observé que " la récente visite à Téhéran de P-dg de bureaux d'études publics algériens leur a permis de prendre connaissance des progrès réalisés par ce pays dans le domaine du génie civil, de l'architecture et des méthodes de travail en matière de construction et de planification des villes ". Noureddine Moussa a, dans ce contexte, annoncé que deux ateliers étaient programmés en Algérie au mois de décembre. Le premier, a-t-il précisé, sur l'expérience algérienne et iranienne en matière de vieux bâti et le deuxième sur les systèmes d'informations géographiques. Sur la coopération agricole, le ministre de l'Agriculture et du Développement rural, Rachid Benaïssa, a quant à lui, souligné que la première session de la haute commission mixte algéro-iranienne constituait " un cadre qui met en avant certaines questions d'intérêt commun à l'instar de l'augmentation du rendement des récoltes stratégiques comme les céréales et le renforcement de la coopération dans le domaine de l'irrigation et de la lutte contre la désertification ". Autre secteur qui a été évoqué, l'industrie. Selon le ministre de l'Industrie, de la PME et de la Promotion de l'investissement, les mécanismes de coopération entre les deux pays dans le domaine de l'industrie et de l'investissement "existent à travers le mémorandum d'entente dans le domaine des PME, mais les projets en la matière pâtissaient du manque de garanties aux investissements ". Un manque que sera corrigé, a-t-il affirmé par " la création d'un fonds commun d'investissement qui accompagnera les investisseurs iraniens (...) et permettra ainsi à l'investissement de participer au développement de la coopération bilatérale ". Le Premier ministre Ahmed Ouyahia, accompagné d'une délégation économique de haut rang, est depuis dimanche à Téhéran à l'invitation du Premier vice-président iranien Mohamed Redha Rahimi. Les deux responsables politiques ont coprésidé la première session de la Grande commission mixte algéro-iranienne, axée sur la coopération économique entre les deux pays. Les travaux de la haute commission, qui ont débuté le jour même de l'arrivée de la délégation algérienne, ont permis d'évoquer l'établissement d'une feuille de route pour revigorer les relations bilatérales et à plaider au renforcement de leur partenariat et à l'échange de leurs expériences dans différents domaines de coopération. Les secteurs de l'habitat, de l'agriculture et de l'industrie figurent parmi les domaines dans lesquels les deux pays œuvrent à renforcer leur coopération en vue d'atteindre les objectifs escomptés et de la hisser au niveau des potentialités que recèlent les deux parties. Dans une déclaration à la presse, le ministre de l'Habitat et de l'Urbanisme, Nourredine Moussa, a souligné que " trois points sur les huit du programme d'action 2008-2010 ont été réalisés " dans le secteur de l'habitat rappelant la visite en Iran d'experts algériens dans le domaine des constructions parasismiques pour prendre connaissance de l'expérience de ce pays en la matière. Dans ce cadre, le ministre de l'Habitat et de l'Urbanisme a observé que " la récente visite à Téhéran de P-dg de bureaux d'études publics algériens leur a permis de prendre connaissance des progrès réalisés par ce pays dans le domaine du génie civil, de l'architecture et des méthodes de travail en matière de construction et de planification des villes ". Noureddine Moussa a, dans ce contexte, annoncé que deux ateliers étaient programmés en Algérie au mois de décembre. Le premier, a-t-il précisé, sur l'expérience algérienne et iranienne en matière de vieux bâti et le deuxième sur les systèmes d'informations géographiques. Sur la coopération agricole, le ministre de l'Agriculture et du Développement rural, Rachid Benaïssa, a quant à lui, souligné que la première session de la haute commission mixte algéro-iranienne constituait " un cadre qui met en avant certaines questions d'intérêt commun à l'instar de l'augmentation du rendement des récoltes stratégiques comme les céréales et le renforcement de la coopération dans le domaine de l'irrigation et de la lutte contre la désertification ". Autre secteur qui a été évoqué, l'industrie. Selon le ministre de l'Industrie, de la PME et de la Promotion de l'investissement, les mécanismes de coopération entre les deux pays dans le domaine de l'industrie et de l'investissement "existent à travers le mémorandum d'entente dans le domaine des PME, mais les projets en la matière pâtissaient du manque de garanties aux investissements ". Un manque que sera corrigé, a-t-il affirmé par " la création d'un fonds commun d'investissement qui accompagnera les investisseurs iraniens (...) et permettra ainsi à l'investissement de participer au développement de la coopération bilatérale ".