Sept élus, parmi le staff communal, refusent mordicus d'accréditer toute décision prise par leur président. Ce dernier, selon les élus contestataires, prendrait des décisions de façon unilatérale sans les consulter. Sept élus, parmi le staff communal, refusent mordicus d'accréditer toute décision prise par leur président. Ce dernier, selon les élus contestataires, prendrait des décisions de façon unilatérale sans les consulter. Depuis plusieurs mois maintenant, la vie des citoyens de la commune de Mohammadia à l'est d'Alger est quasiment bloquée à la suite du gel des décisions du staff exécutif - composé de différents partis politiques - de la commune dont sept membres refusent mordicus d'accréditer toute décision prise par leur président. Ce dernier, selon ses pairs, prendrait des décisions de façon unilatérale sans consulter les élus même pas ses propres adjoints. « le P/APC décide seul conseillé par des personnes étrangères à l'APC, cela concernant toutes les affaires de la commune y compris celles financières sans recourir à la commission des études financières ni celle du budget annuel, ce qui nous a obligé à ne pas avaliser les décisions prises en dehors de l'assemblée », nous expliquent les élus contestataires. Il faut noter que ladite localité connaît une grave régression en matière de développement local et ce dans tous les volets. Les résidants et les sept membres de l'assemblée populaire communale de Mohammadia réclament, de ce fait, l'intervention urgente du wali délégué de Dar El-Beïda, sinon le wali d'Alger pour mettre fin aux dépassements du P/APC. Il faut préciser que les affaires de la commune connaissent un véritable blocage, face au refus des membres de l'APC d'avaliser les décisions prises pae le P/APC. « Plusieurs projets sont gelés, même les affaires financières. Le budget de l'année prochaine n'est pas encore débloqué, attendu que l'assemblée n'a pas tenu toutes les réunions réglementaires qui devraient être au nombre de quatre, alors que jusque-là le P/APC en a convoqué deux seulement ». Selon toujours les membres de l'assemblée le responsable aurait présenté des projets ficelés sans même que les membres de l'assemblée ne les discute ou aient à discuter leurs budgets et financement. Tout cela a mené au gel du moindre projet, cela au détriment du développement de la localité. La majorité des projets déjà en cours de réalisation ou ceux prévus sont ainsi à l'arrêt, à l'instar des travaux d'extension du stade communal de Mohammadia dont les capacités d'accueil devaient atteindre à la fin des travaux trente mille spectateurs, soit cinq mille nouvelles places. Il a été, rappelons-le, alloué pour ce projet une enveloppe de six milliards de centimes. Idem pour le projet de réalisation d'une piscine et d'une salle omnisport dans le quartier Mokhtar-Zerhouni, un projet qui aurait pu mettre fin à l'absence d'infrastructures sportives et de loisir dans ce quartier dont les habitants souffrent du vide culturel et sportif et de la régression de leurs conditions de vie. Cette localité souffre ainsi de maints problèmes à cause, entre autres, de la déstabilisation que connaît le staff exécutif communal. Aujourd'hui encore la commune souffre de la régression de son activité commerciale, ce qui participe clairement au ralentissement de la roue du développement économique augmentant par là même les peines des habitants de la commune qui s'avouent « fatigués de l'inexistence d'un marché de proximité et de plusieurs autres services nécessaires à la vie urbaine ». Pourtant, le développement de l'activité commerciale figure parmi les priorités des responsables locaux mais suite aux malentendus installés au sein du staff communal, la vie des citoyens s'en trouve complètement chamboulée et leurs intérêts sont ignorés. Il est également important de signaler que même le secteur de l'habitat, cheval de bataille des plus hautes autorités du pays, reste à la traine et ne connait aucune prise en charge, notamment en matière d'habitat précaire. Les habitants du quartier Les Dunes vivent avec une épée de Damoclès suspendue sur leurs têtes, en effet ils risquent de voir à tout instant s'effondrer leurs pitoyables toits, leurs appartements accusant un état de délabrement très avancé. Particulièrement endommagés au cours du séisme de 2003, les immeubles de cette cité tombent littéralement en ruine et des parties de leurs balcons et de leurs plafonds se détachent chaque jour. Classés orange, ces habitations devaient faire objet de réaménagement et de réfection après qu'une commission soit passée pour évaluer les dégâts et l'état des lieux mais, aucune décision officielle n'a été encore signée. La wilaya déléguée de Dar El-Beïda avait pourtant inscrit plusieurs projets de développement au profit de ladite localité pour lesquels un budget de plus de quatre milliards de centimes a été débloqué. Les citoyens demeurent les premières et uniques victimes de cette situation et pour cela l'intervention de la tutelle est impérative et salutaire. Depuis plusieurs mois maintenant, la vie des citoyens de la commune de Mohammadia à l'est d'Alger est quasiment bloquée à la suite du gel des décisions du staff exécutif - composé de différents partis politiques - de la commune dont sept membres refusent mordicus d'accréditer toute décision prise par leur président. Ce dernier, selon ses pairs, prendrait des décisions de façon unilatérale sans consulter les élus même pas ses propres adjoints. « le P/APC décide seul conseillé par des personnes étrangères à l'APC, cela concernant toutes les affaires de la commune y compris celles financières sans recourir à la commission des études financières ni celle du budget annuel, ce qui nous a obligé à ne pas avaliser les décisions prises en dehors de l'assemblée », nous expliquent les élus contestataires. Il faut noter que ladite localité connaît une grave régression en matière de développement local et ce dans tous les volets. Les résidants et les sept membres de l'assemblée populaire communale de Mohammadia réclament, de ce fait, l'intervention urgente du wali délégué de Dar El-Beïda, sinon le wali d'Alger pour mettre fin aux dépassements du P/APC. Il faut préciser que les affaires de la commune connaissent un véritable blocage, face au refus des membres de l'APC d'avaliser les décisions prises pae le P/APC. « Plusieurs projets sont gelés, même les affaires financières. Le budget de l'année prochaine n'est pas encore débloqué, attendu que l'assemblée n'a pas tenu toutes les réunions réglementaires qui devraient être au nombre de quatre, alors que jusque-là le P/APC en a convoqué deux seulement ». Selon toujours les membres de l'assemblée le responsable aurait présenté des projets ficelés sans même que les membres de l'assemblée ne les discute ou aient à discuter leurs budgets et financement. Tout cela a mené au gel du moindre projet, cela au détriment du développement de la localité. La majorité des projets déjà en cours de réalisation ou ceux prévus sont ainsi à l'arrêt, à l'instar des travaux d'extension du stade communal de Mohammadia dont les capacités d'accueil devaient atteindre à la fin des travaux trente mille spectateurs, soit cinq mille nouvelles places. Il a été, rappelons-le, alloué pour ce projet une enveloppe de six milliards de centimes. Idem pour le projet de réalisation d'une piscine et d'une salle omnisport dans le quartier Mokhtar-Zerhouni, un projet qui aurait pu mettre fin à l'absence d'infrastructures sportives et de loisir dans ce quartier dont les habitants souffrent du vide culturel et sportif et de la régression de leurs conditions de vie. Cette localité souffre ainsi de maints problèmes à cause, entre autres, de la déstabilisation que connaît le staff exécutif communal. Aujourd'hui encore la commune souffre de la régression de son activité commerciale, ce qui participe clairement au ralentissement de la roue du développement économique augmentant par là même les peines des habitants de la commune qui s'avouent « fatigués de l'inexistence d'un marché de proximité et de plusieurs autres services nécessaires à la vie urbaine ». Pourtant, le développement de l'activité commerciale figure parmi les priorités des responsables locaux mais suite aux malentendus installés au sein du staff communal, la vie des citoyens s'en trouve complètement chamboulée et leurs intérêts sont ignorés. Il est également important de signaler que même le secteur de l'habitat, cheval de bataille des plus hautes autorités du pays, reste à la traine et ne connait aucune prise en charge, notamment en matière d'habitat précaire. Les habitants du quartier Les Dunes vivent avec une épée de Damoclès suspendue sur leurs têtes, en effet ils risquent de voir à tout instant s'effondrer leurs pitoyables toits, leurs appartements accusant un état de délabrement très avancé. Particulièrement endommagés au cours du séisme de 2003, les immeubles de cette cité tombent littéralement en ruine et des parties de leurs balcons et de leurs plafonds se détachent chaque jour. Classés orange, ces habitations devaient faire objet de réaménagement et de réfection après qu'une commission soit passée pour évaluer les dégâts et l'état des lieux mais, aucune décision officielle n'a été encore signée. La wilaya déléguée de Dar El-Beïda avait pourtant inscrit plusieurs projets de développement au profit de ladite localité pour lesquels un budget de plus de quatre milliards de centimes a été débloqué. Les citoyens demeurent les premières et uniques victimes de cette situation et pour cela l'intervention de la tutelle est impérative et salutaire.