Leur expérience, riche de plusieurs années, acquise sur le terrain, sera d'un apport certain et précieux pour les services de sécurité dans la lutte contre le terrorisme. Les plus aptes d'entre eux seront donc appelés à servir dans le corps de l'Armée nationale populaire Leur expérience, riche de plusieurs années, acquise sur le terrain, sera d'un apport certain et précieux pour les services de sécurité dans la lutte contre le terrorisme. Les plus aptes d'entre eux seront donc appelés à servir dans le corps de l'Armée nationale populaire Les deux tiers de l'effectif de la Garde communale seront incorporés dans les rangs de l'Armée nationale populaire (ANP), a indiqué, jeudi, à Alger le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Daho Ould Kablia en marge de la cérémonie de sortie de la 12e promotion des agents femmes de l'ordre public à l'école de police d'Aïn Benian. Ils étaient aux avant-postes dans la lutte contre le terrorisme. Leur effectif est près de 95.000 éléments à émarger dans ce corps en vertu du décret exécutif numéro 96-265 du 5 août 1996 portant création d'un corps de Garde communale et déterminant ses missions et son organisation. Ils, ce sont les gardes communaux. Ils ont payé de leur personne, et souvent de leurs biens, leur participation à traquer les groupes armés à travers l'ensemble du pays. La paix retrouvée, le problème de leur réinsertion s'est posé. Leur expérience, riche de plusieurs années, acquise sur le terrain, sera d'un apport certain et précieux pour les services de sécurité dans la lutte contre le terrorisme. Les plus aptes d'entre eux seront donc appelés a servir dans le corps de l'Armée nationale populaire (ANP), « quant au tiers restant, il y a une partie qui est déjà touchée par la retraite, une autre va être admise en congé de maladie de longue durée et il y a ceux qui seront déployés au sein de la Police communale », a précisé le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales qui souligne que l'ANP avait utilisé l'ensemble du corps de la Garde communale « dans toutes les opérations sécuritaires menées sur l'ensemble du territoire national dans le cadre du redéploiement ». Selon Daho Ould Kablia, « une première tranche de 3.300 gardes communaux va être suivie par une dizaine de milliers d'autres après leur formation et leur recyclage ». Quant aux autres, toujours selon le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locale, ils « seront affectés à des tâches pour lesquelles ils ont été préparés comme la surveillance, la sécurité au niveau de certains corps qui ont en fait la demande, tels que les forestiers et les entreprises de surveillance ». Autre sujet qui fait débat, la restitution des armes aux citoyens ayant fait la demande pour participer à la lutte contre le terrorisme et auquel Daho Ould Kablia a apporté une réponse. Sans être très précis dans sa repartie, le ministre indique que « c'est une éventualité qui a été examinée et sur laquelle il y a une possibilité de décision positive ». Une décision positive sera donnée aux demandeurs dans les quelques zones où «le terrorisme continue à sévir », précise Daho Ould Kablia qui souligne que « cette décision sera, en tout état de cause, examinée et décidée en fonction de la situation sécuritaire », rappelant que ces armes avaient été retirées dans le cadre de la proclamation de l'état d'urgence dans les années 90. Cette décision « n'est pas venue pénaliser les citoyens mais pour empêcher que ces armes ne soient prises par les mouvements terroristes qui étaient assez nombreux à l'époque ». Les deux tiers de l'effectif de la Garde communale seront incorporés dans les rangs de l'Armée nationale populaire (ANP), a indiqué, jeudi, à Alger le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Daho Ould Kablia en marge de la cérémonie de sortie de la 12e promotion des agents femmes de l'ordre public à l'école de police d'Aïn Benian. Ils étaient aux avant-postes dans la lutte contre le terrorisme. Leur effectif est près de 95.000 éléments à émarger dans ce corps en vertu du décret exécutif numéro 96-265 du 5 août 1996 portant création d'un corps de Garde communale et déterminant ses missions et son organisation. Ils, ce sont les gardes communaux. Ils ont payé de leur personne, et souvent de leurs biens, leur participation à traquer les groupes armés à travers l'ensemble du pays. La paix retrouvée, le problème de leur réinsertion s'est posé. Leur expérience, riche de plusieurs années, acquise sur le terrain, sera d'un apport certain et précieux pour les services de sécurité dans la lutte contre le terrorisme. Les plus aptes d'entre eux seront donc appelés a servir dans le corps de l'Armée nationale populaire (ANP), « quant au tiers restant, il y a une partie qui est déjà touchée par la retraite, une autre va être admise en congé de maladie de longue durée et il y a ceux qui seront déployés au sein de la Police communale », a précisé le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales qui souligne que l'ANP avait utilisé l'ensemble du corps de la Garde communale « dans toutes les opérations sécuritaires menées sur l'ensemble du territoire national dans le cadre du redéploiement ». Selon Daho Ould Kablia, « une première tranche de 3.300 gardes communaux va être suivie par une dizaine de milliers d'autres après leur formation et leur recyclage ». Quant aux autres, toujours selon le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locale, ils « seront affectés à des tâches pour lesquelles ils ont été préparés comme la surveillance, la sécurité au niveau de certains corps qui ont en fait la demande, tels que les forestiers et les entreprises de surveillance ». Autre sujet qui fait débat, la restitution des armes aux citoyens ayant fait la demande pour participer à la lutte contre le terrorisme et auquel Daho Ould Kablia a apporté une réponse. Sans être très précis dans sa repartie, le ministre indique que « c'est une éventualité qui a été examinée et sur laquelle il y a une possibilité de décision positive ». Une décision positive sera donnée aux demandeurs dans les quelques zones où «le terrorisme continue à sévir », précise Daho Ould Kablia qui souligne que « cette décision sera, en tout état de cause, examinée et décidée en fonction de la situation sécuritaire », rappelant que ces armes avaient été retirées dans le cadre de la proclamation de l'état d'urgence dans les années 90. Cette décision « n'est pas venue pénaliser les citoyens mais pour empêcher que ces armes ne soient prises par les mouvements terroristes qui étaient assez nombreux à l'époque ».