Les dispositions du décret présidentiel du 7 octobre 2010 "reflètent une volonté de transparence" dans le traitement des dossiers des candidats aux marchés publics, ont affirmé samedi les participants à une journée d'étude organisée autour de ce thème à Mila. Les dispositions du décret présidentiel du 7 octobre 2010 "reflètent une volonté de transparence" dans le traitement des dossiers des candidats aux marchés publics, ont affirmé samedi les participants à une journée d'étude organisée autour de ce thème à Mila. La nouvelle réglementation, en plus du fait d'encourager la production nationale, "introduit de nouvelles mesures susceptibles d'instaurer une plus grande transparence dans la gestion, la passation et l'exécution des marchés publics", a indiqué M. Mohamed Laâlam, de l'Institut supérieur de gestion et de planification de Bordj El-Kifan (Alger), au cours de cette rencontre initiée par la Chambre de commerce et d'industrie "Beni Haroun" et l'Union générale des entrepreneurs algériens. La promulgation du nouveau code des marchés, a-t-il souligné, est intervenue dans une conjoncture marquée par une crise économique mondiale qui dure depuis deux années et qui a conduit plusieurs pays occidentaux à poser des barrières pour protéger leurs économies. Cette situation a poussé l'Algérie, a-t-il expliqué, à réagir en adoptant des mesures nouvelles à même d'encourager la production nationale. "Un recul du volume des investissements directs étrangers (IDE) a été observé durant la même période, en même temps qu'un important transfert de devises par les sociétés étrangères", a estimé à ce propos ce spécialiste, citant un bilan ministériel. De son côté, M. Rachid Laouar, spécialiste dans le même institut, a souligné que le nouveau code "consacre le droit de chaque citoyen habilité, y compris les simples artisans, à accéder à la demande publique sans aucune entrave. Il en est de même de celles contenues dans le cahier des charges". "Ce n'était pas le cas dans la gestion précédente des marchés publics qui posait parfois des clauses ‘'discriminatoires''", a-t-il ajouté. M. Laouar a également estimé que chaque projet ayant ses propres spécificités doit avoir un cahier de charges propre, notant que le nouveau code prévoit quatre types de marchés pour les travaux, l'acquisition de produits, les études et les prestations de services. Dans son allocution d'ouverture de cette rencontre de deux jours qui réunit des opérateurs, des responsables locaux et des élus, le wali de Mila a estimé que le nouveau code s'inscrit dans le cadre de la politique de réforme, en cours dans le pays, pour instaurer une plus grande transparence et favoriser les conditions d'une concurrence honnête tout en prémunissant l'économie contre la corruption et la dilapidation. La nouvelle réglementation, en plus du fait d'encourager la production nationale, "introduit de nouvelles mesures susceptibles d'instaurer une plus grande transparence dans la gestion, la passation et l'exécution des marchés publics", a indiqué M. Mohamed Laâlam, de l'Institut supérieur de gestion et de planification de Bordj El-Kifan (Alger), au cours de cette rencontre initiée par la Chambre de commerce et d'industrie "Beni Haroun" et l'Union générale des entrepreneurs algériens. La promulgation du nouveau code des marchés, a-t-il souligné, est intervenue dans une conjoncture marquée par une crise économique mondiale qui dure depuis deux années et qui a conduit plusieurs pays occidentaux à poser des barrières pour protéger leurs économies. Cette situation a poussé l'Algérie, a-t-il expliqué, à réagir en adoptant des mesures nouvelles à même d'encourager la production nationale. "Un recul du volume des investissements directs étrangers (IDE) a été observé durant la même période, en même temps qu'un important transfert de devises par les sociétés étrangères", a estimé à ce propos ce spécialiste, citant un bilan ministériel. De son côté, M. Rachid Laouar, spécialiste dans le même institut, a souligné que le nouveau code "consacre le droit de chaque citoyen habilité, y compris les simples artisans, à accéder à la demande publique sans aucune entrave. Il en est de même de celles contenues dans le cahier des charges". "Ce n'était pas le cas dans la gestion précédente des marchés publics qui posait parfois des clauses ‘'discriminatoires''", a-t-il ajouté. M. Laouar a également estimé que chaque projet ayant ses propres spécificités doit avoir un cahier de charges propre, notant que le nouveau code prévoit quatre types de marchés pour les travaux, l'acquisition de produits, les études et les prestations de services. Dans son allocution d'ouverture de cette rencontre de deux jours qui réunit des opérateurs, des responsables locaux et des élus, le wali de Mila a estimé que le nouveau code s'inscrit dans le cadre de la politique de réforme, en cours dans le pays, pour instaurer une plus grande transparence et favoriser les conditions d'une concurrence honnête tout en prémunissant l'économie contre la corruption et la dilapidation.