Elu personnalité sportive de l'année 2010 en Algérie par le sondage "Brahim-Dahmani" organisé par l'APS, le président de la FAF, Mohamed Raouraoua, est, aux côtés de l'ancien sélectionneur Rabah Saâdane, l'homme qui a permis au football algérien de revenir sur le devant de la scène internationale en arrachant une qualification à un Mondial, après 24 ans de disette. Agé de 65 ans, ce personnage charismatique est décrit par bon nombre de ses proches comme un organisateur hors-pair, très exigeant et un homme de contact rompu aux affaires du football. Après un premier passage à la tête de la Fédération algérienne de football (FAF) de 2001 à 2005, M. Raouraoua est revenu présider aux destinées de la balle ronde algérienne en 2009 avec un objectif bien précis : redorer le blason passablement terni du football national. "El-Hadj", comme aiment l'appeler ses proches, peut se targuer d'avoir permis à des centaines de jeunes joueurs de porter le "maillot du cœur" après avoir représenté leur pays d'adoption, en faisant voter favorablement lors du congrès de la Fédération internationale de football (FIFA), fin mai 2009 aux Bahamas, une nouvelle disposition concernant les bi-nationaux. Cette dernière permet dorénavant aux joueurs qui ont évolué dans les jeunes catégories (U15 ou U17) de leur pays d'adoption de rendosser le maillot national de leur pays d'origine. Elu personnalité sportive de l'année 2010 en Algérie par le sondage "Brahim-Dahmani" organisé par l'APS, le président de la FAF, Mohamed Raouraoua, est, aux côtés de l'ancien sélectionneur Rabah Saâdane, l'homme qui a permis au football algérien de revenir sur le devant de la scène internationale en arrachant une qualification à un Mondial, après 24 ans de disette. Agé de 65 ans, ce personnage charismatique est décrit par bon nombre de ses proches comme un organisateur hors-pair, très exigeant et un homme de contact rompu aux affaires du football. Après un premier passage à la tête de la Fédération algérienne de football (FAF) de 2001 à 2005, M. Raouraoua est revenu présider aux destinées de la balle ronde algérienne en 2009 avec un objectif bien précis : redorer le blason passablement terni du football national. "El-Hadj", comme aiment l'appeler ses proches, peut se targuer d'avoir permis à des centaines de jeunes joueurs de porter le "maillot du cœur" après avoir représenté leur pays d'adoption, en faisant voter favorablement lors du congrès de la Fédération internationale de football (FIFA), fin mai 2009 aux Bahamas, une nouvelle disposition concernant les bi-nationaux. Cette dernière permet dorénavant aux joueurs qui ont évolué dans les jeunes catégories (U15 ou U17) de leur pays d'adoption de rendosser le maillot national de leur pays d'origine.