Plusieurs édifices d'intérêt public ont été saccagés par des jeunes dans la nuit de jeudi à vendredi, dans plusieurs villes de l'est du pays, en signe de protestation contre la cherté de la vie. Scandant des slogans "contre les augmentations des prix des denrées et le chômage", les manifestants s'en sont surtout pris aux sièges d'institutions publiques, à l'exemple des sièges communaux, banques et bureaux de poste après avoir bloqué de nombreux accès à l'aide de pneumatiques en feu. A Ras El Oued, deuxième ville de la wilaya de Bordj Bou Arreridj, où les premiers signes de protestation avaient été constatés dès jeudi, l'agitation s'est poursuivie vendredi matin par l'occupation des artères principales où l'on a constaté que des édifices publics ont été gravement endommagés pour certains, comme la Sonelgaz, les sièges de l'APC et de la daïra, la direction des impôts, les locaux de la CNEP et des Postes et télécommunications (ACTEL), et plusieurs établissements solaires. Plusieurs édifices d'intérêt public ont été saccagés par des jeunes dans la nuit de jeudi à vendredi, dans plusieurs villes de l'est du pays, en signe de protestation contre la cherté de la vie. Scandant des slogans "contre les augmentations des prix des denrées et le chômage", les manifestants s'en sont surtout pris aux sièges d'institutions publiques, à l'exemple des sièges communaux, banques et bureaux de poste après avoir bloqué de nombreux accès à l'aide de pneumatiques en feu. A Ras El Oued, deuxième ville de la wilaya de Bordj Bou Arreridj, où les premiers signes de protestation avaient été constatés dès jeudi, l'agitation s'est poursuivie vendredi matin par l'occupation des artères principales où l'on a constaté que des édifices publics ont été gravement endommagés pour certains, comme la Sonelgaz, les sièges de l'APC et de la daïra, la direction des impôts, les locaux de la CNEP et des Postes et télécommunications (ACTEL), et plusieurs établissements solaires.